Le président du Forum des chefs d'entreprise (FCE), Réda Hamiani, a estimé que «de manière générale, si des décisions prises sont acceptables et les bienvenues, en revanche, d'autres fragilisent les fondements même d'une économie de marché ouverte et, en particulier, ont un effet destabilisateur sur les producteurs et sur les investisseurs nationaux, notamment ceux du secteur privé». Le président du Forum des chefs d'entreprise (FCE), Réda Hamiani, a estimé que «de manière générale, si des décisions prises sont acceptables et les bienvenues, en revanche, d'autres fragilisent les fondements même d'une économie de marché ouverte et, en particulier, ont un effet destabilisateur sur les producteurs et sur les investisseurs nationaux, notamment ceux du secteur privé». Depuis quelque temps, le FCE multiplie les rencontres et les discussions avec des experts afin de décortiquer la problématique générale de la PME et ses incuries dans un environnement économique et financier international de plus en plus difficile et compétitif. En effet, l'organisation de Hamiani organisera, mardi prochain, une rencontre-débat autour du thème récurrent de ‘'Quel avenir pour l'entreprise algérienne ?'' sachant que la PME locale n'est pas bien préparée pour évoluer dans le contexte de la libéralisation et des zones de libre-échange (ZALE, accord d'association avec l'Union européenne, AELE regroupant la Norvège, la Suisse, l'Islande et le Liechtenstein). L'objectif de cette rencontre qui sera parrainée conjointement avec le programme Optimexport, partenaire du FCE, consiste notamment à permettre aux participants et aux opérateurs économiques de s'exprimer sur ce sujet d'importance capitale et majeure pour le devenir de l'entreprise algérienne et a fortiori pour les exportateurs, sélectionnés (ou ceux non retenus) par le programme de soutien à l'export du challenge d'Optimexport. Les organisateurs de cet évènement soulignent que cette manifestation économique a pour rôle d'initier un large débat entre les entreprises et les différents acteurs de la scène économique sur un certain nombre de questions et d'orientations particulièrement discutables de la politique économique nationale dont les autorités du pays ont décidé de promouvoir. S'estimant lésés et marginalisés dans le processus de prise de décisions économiques stratégiques, telle que l'adhésion à la ZALE, les responsables des associations patronales affirment que «jusqu'à présent, très peu d'explications ont été données par les autorités concernées sur les justifications ayant présidé au virage ainsi pris vers des restrictions administratives accrues à la liberté de commerce et d'industrie, jusqu'ici socle de l'organisation de notre nouveau système économique». Constatant que la situation économique des entreprises est en péril, l'inquiétude des responsables du FCE est justifiée notamment par le fait que les mesures prises par les pouvoirs publics pénalisent sévèrement la croissance de l'économie nationale. Mais, selon cette organisation, elles contribuent également à la marginalisation de l'entreprise alors qu'elle est placée par tous les pays du monde (notamment ceux où les richesses et les emplois sont générés par les PME comme c'est le cas aux Etats-Unis d'Amérique et en Italie) au centre de leurs préoccupations et de leurs stratégies industrielles et de leurs politiques économiques. Durant cette rencontre, des experts et consultants interviendront pour apporter un éclairage relatif aux facteurs de la croissance économique en Algérie impliquant l'entreprise (Abdelmadjid Bouzidi), l'entreprise et l'environnement des affaires (Mouloud Hedir, consultant). Pour sa part, Omar Ramdane, président d'honneur du FCE, abordera le sujet inhérent à une appréciation globale sur la situation actuelle de l'entreprise algérienne. Par ailleurs, d'autres intervenants examineront les problématiques liées aux facteurs de croissance et le climat des affaires dans divers secteurs économiques, tels que les céréales (M'hamed Metidji), les technologies de l'information et de la communication (Nassim Kerdjoudj) et les produits pharmaceutiques et le médicament (Nabil Mellah). A. A. Depuis quelque temps, le FCE multiplie les rencontres et les discussions avec des experts afin de décortiquer la problématique générale de la PME et ses incuries dans un environnement économique et financier international de plus en plus difficile et compétitif. En effet, l'organisation de Hamiani organisera, mardi prochain, une rencontre-débat autour du thème récurrent de ‘'Quel avenir pour l'entreprise algérienne ?'' sachant que la PME locale n'est pas bien préparée pour évoluer dans le contexte de la libéralisation et des zones de libre-échange (ZALE, accord d'association avec l'Union européenne, AELE regroupant la Norvège, la Suisse, l'Islande et le Liechtenstein). L'objectif de cette rencontre qui sera parrainée conjointement avec le programme Optimexport, partenaire du FCE, consiste notamment à permettre aux participants et aux opérateurs économiques de s'exprimer sur ce sujet d'importance capitale et majeure pour le devenir de l'entreprise algérienne et a fortiori pour les exportateurs, sélectionnés (ou ceux non retenus) par le programme de soutien à l'export du challenge d'Optimexport. Les organisateurs de cet évènement soulignent que cette manifestation économique a pour rôle d'initier un large débat entre les entreprises et les différents acteurs de la scène économique sur un certain nombre de questions et d'orientations particulièrement discutables de la politique économique nationale dont les autorités du pays ont décidé de promouvoir. S'estimant lésés et marginalisés dans le processus de prise de décisions économiques stratégiques, telle que l'adhésion à la ZALE, les responsables des associations patronales affirment que «jusqu'à présent, très peu d'explications ont été données par les autorités concernées sur les justifications ayant présidé au virage ainsi pris vers des restrictions administratives accrues à la liberté de commerce et d'industrie, jusqu'ici socle de l'organisation de notre nouveau système économique». Constatant que la situation économique des entreprises est en péril, l'inquiétude des responsables du FCE est justifiée notamment par le fait que les mesures prises par les pouvoirs publics pénalisent sévèrement la croissance de l'économie nationale. Mais, selon cette organisation, elles contribuent également à la marginalisation de l'entreprise alors qu'elle est placée par tous les pays du monde (notamment ceux où les richesses et les emplois sont générés par les PME comme c'est le cas aux Etats-Unis d'Amérique et en Italie) au centre de leurs préoccupations et de leurs stratégies industrielles et de leurs politiques économiques. Durant cette rencontre, des experts et consultants interviendront pour apporter un éclairage relatif aux facteurs de la croissance économique en Algérie impliquant l'entreprise (Abdelmadjid Bouzidi), l'entreprise et l'environnement des affaires (Mouloud Hedir, consultant). Pour sa part, Omar Ramdane, président d'honneur du FCE, abordera le sujet inhérent à une appréciation globale sur la situation actuelle de l'entreprise algérienne. Par ailleurs, d'autres intervenants examineront les problématiques liées aux facteurs de croissance et le climat des affaires dans divers secteurs économiques, tels que les céréales (M'hamed Metidji), les technologies de l'information et de la communication (Nassim Kerdjoudj) et les produits pharmaceutiques et le médicament (Nabil Mellah). A. A.