La compagnie aérienne nationale Air Algérie a repris hier ses vols à destination de plusieurs villes du sud de l'Europe et celle de Pékin (Chine) à partir d'Alger, de Constantine, d'Oran et de Bejaia, a annoncé la compagnie dans un communiqué. La compagnie aérienne nationale Air Algérie a repris hier ses vols à destination de plusieurs villes du sud de l'Europe et celle de Pékin (Chine) à partir d'Alger, de Constantine, d'Oran et de Bejaia, a annoncé la compagnie dans un communiqué. «La compagnie Air Algérie informe l‘ensemble de ses passagers de la reprise des vols (vers ces destinations) suite à la réouverture partielle de l‘espace aérien du sud de l‘Europe», souligne le communiqué repris par l‘APS. De son côté, la compagnie aérienne privée Aigle Azur a annoncé hier dans un communiqué avoir effectué, avant-hier, 18 avril 2010, à 19h00, un vol de contrôle d‘une heure et quart afin d‘évaluer l‘impact du nuage de cendres volcaniques sur le trafic aérien. En effet, munie d‘une autorisation de la DGAC, Aigle Azur a assuré ce vol à vide avec un Airbus A319, sa toute dernière acquisition. Cet appareil neuf est équipé de moteurs CFM 56 et configuré bi-classes. Quatrième avion de ce type, il a rejoint en avril 2010 la flotte d‘Aigle Azur composée de onze appareils de la famille Airbus A320. L‘Airbus d‘Aigle Azur a décollé dimanche 18 avril à 19h00 de l‘aéroport d‘Orly pour se diriger vers celui de Mulhouse puis redescendre vers Lyon avant de regagner Orly, pour un temps de vol d‘une heure et quart. Le dirigeant - responsable de la compagnie Aigle Azur, M. François Hersen, a pris place à bord de l‘appareil en plus du chef pilote et d‘un co-pilote : «Nous avons fait en sorte de vérifier les pires conditions, à des niveaux où l‘on pensait qu‘il pouvait y avoir des concentrations de poussières», explique M. Hersen. Mais «nous n‘avons rien remarqué de visible et le vol s‘est déroulé parfaitement.». «Aigle Azur participe ainsi à une série de vols de contrôle pour évaluer les risques liés à la dissémination de cendres volcaniques dans le ciel européen» déclare Meziane Idjerouidene, directeur général de la Compagnie aérienne. Et d‘ajouter que «l‘ensemble des données techniques collectées à l‘issue de ce vol d‘intérêt général sont partagées avec la communauté scientifique et aéronautique européenne, la DGAC, ainsi que les équipes d‘Airbus et d‘Aigle Azur». «La compagnie Air Algérie informe l‘ensemble de ses passagers de la reprise des vols (vers ces destinations) suite à la réouverture partielle de l‘espace aérien du sud de l‘Europe», souligne le communiqué repris par l‘APS. De son côté, la compagnie aérienne privée Aigle Azur a annoncé hier dans un communiqué avoir effectué, avant-hier, 18 avril 2010, à 19h00, un vol de contrôle d‘une heure et quart afin d‘évaluer l‘impact du nuage de cendres volcaniques sur le trafic aérien. En effet, munie d‘une autorisation de la DGAC, Aigle Azur a assuré ce vol à vide avec un Airbus A319, sa toute dernière acquisition. Cet appareil neuf est équipé de moteurs CFM 56 et configuré bi-classes. Quatrième avion de ce type, il a rejoint en avril 2010 la flotte d‘Aigle Azur composée de onze appareils de la famille Airbus A320. L‘Airbus d‘Aigle Azur a décollé dimanche 18 avril à 19h00 de l‘aéroport d‘Orly pour se diriger vers celui de Mulhouse puis redescendre vers Lyon avant de regagner Orly, pour un temps de vol d‘une heure et quart. Le dirigeant - responsable de la compagnie Aigle Azur, M. François Hersen, a pris place à bord de l‘appareil en plus du chef pilote et d‘un co-pilote : «Nous avons fait en sorte de vérifier les pires conditions, à des niveaux où l‘on pensait qu‘il pouvait y avoir des concentrations de poussières», explique M. Hersen. Mais «nous n‘avons rien remarqué de visible et le vol s‘est déroulé parfaitement.». «Aigle Azur participe ainsi à une série de vols de contrôle pour évaluer les risques liés à la dissémination de cendres volcaniques dans le ciel européen» déclare Meziane Idjerouidene, directeur général de la Compagnie aérienne. Et d‘ajouter que «l‘ensemble des données techniques collectées à l‘issue de ce vol d‘intérêt général sont partagées avec la communauté scientifique et aéronautique européenne, la DGAC, ainsi que les équipes d‘Airbus et d‘Aigle Azur».