Réagissant à la protestation des souscripteurs aux logements de l'Agence d'Amélioration et de Développement du Logement (AADL), qui n'ont pas obtenu leur quota de logement depuis 2001, le ministre de l'Habitat et de l'Urbanisme, M.Nouredine Moussa, a indiqué que ses contestataires, premiers prétendants à cette formule, ne répondaient pas aux critères d'éligibilité conditionnés par l'AADL. « Nous n'avons pas délibérément exclu ces souscripteurs d'un programme qui existe. Nous leur avons dit que le jour où toutes les conditions de construction seront réunies, ils auront leurs logements », a-t-il déclaré, jeudi à Alger, en marge d'une visite de travail dans la wilaya d'Alger. Le premier responsable du secteur a précisé que les programmes AADL fins prêts sont attribués aux souscripteurs prioritaires, répondant aux critères de d'éligibilité. Les mécontents qui ont, rappelons-le, observé des sit-in de contestation devant le ministère de l'habitat, n'ont pas payé les charges financières nécessaires, a-t-il ajouté. « On les a reçus au ministère, on les a écouté tout en leur expliquant la situation mais la protestation a perduré », a-t-il regretté. Et de continuer : «Ce sont des demandeurs de logements traités comme tous les autres. L'étude de leurs dossiers a été effectuée avec beaucoup d'attention selon les donnés du secteur de l'habitat », a-t-il insisté. «La réalisation d'un quota de logements, poursuit-t-il, nécessite de réunir plusieurs éléments, à l'instar du terrain de construction en principal lieu, la mobilisation des entreprises du bâtiment et autre moyens financiers nécessaire. Ce qui n'a pas été le cas avec le programme de 2001. Par ailleurs, et concernant le volet de l'habitat précaire, le wali de la wilaya d'Alger, M.Mohamed Kebir Abbou a indiqué, de sa part, que résider dans une habitation précaire ne constitue pas forcément un accès direct au logement. Selon lui, «il existe aujourd'hui un fichier national qui permet de mieux maîtriser la situation et de débusquer les indus demandeurs qui tentent de mettre les pouvoirs publics devant le fait accompli. « Un recensement a été effectué en 2007 et qui définit le nombre exact des familles habitant les bidonvilles. Ce sont ces familles-là qui bénéficieront de logements neufs. En revanche, tous ceux qui ont occupé des sites précaires après 2007 ne sont pas concernés », a-t-il insisté. Ceci dit, les familles exclues du relogement peuvent adresser des recours à la wilaya. Ses recours seront étudiés afin d'en déterminer le besoin de logement. «Les habitations précaires, poursuit-t-il, seront entièrement démolies après le relogement de leurs habitants dans le cadre de la modernisation de la ville. Outre l'habitat précaire, une action de relogement des familles occupant les chalets implantés à Alger Est sera entamée progressivement à partir d'aujourd'hui, a indiqué le wali. Sinistrés depuis le séisme de 2003 de Boumerdes, les habitants des chalets de la région de Bordj El Bahri seront les premiers concernés.. Réagissant à la protestation des souscripteurs aux logements de l'Agence d'Amélioration et de Développement du Logement (AADL), qui n'ont pas obtenu leur quota de logement depuis 2001, le ministre de l'Habitat et de l'Urbanisme, M.Nouredine Moussa, a indiqué que ses contestataires, premiers prétendants à cette formule, ne répondaient pas aux critères d'éligibilité conditionnés par l'AADL. « Nous n'avons pas délibérément exclu ces souscripteurs d'un programme qui existe. Nous leur avons dit que le jour où toutes les conditions de construction seront réunies, ils auront leurs logements », a-t-il déclaré, jeudi à Alger, en marge d'une visite de travail dans la wilaya d'Alger. Le premier responsable du secteur a précisé que les programmes AADL fins prêts sont attribués aux souscripteurs prioritaires, répondant aux critères de d'éligibilité. Les mécontents qui ont, rappelons-le, observé des sit-in de contestation devant le ministère de l'habitat, n'ont pas payé les charges financières nécessaires, a-t-il ajouté. « On les a reçus au ministère, on les a écouté tout en leur expliquant la situation mais la protestation a perduré », a-t-il regretté. Et de continuer : «Ce sont des demandeurs de logements traités comme tous les autres. L'étude de leurs dossiers a été effectuée avec beaucoup d'attention selon les donnés du secteur de l'habitat », a-t-il insisté. «La réalisation d'un quota de logements, poursuit-t-il, nécessite de réunir plusieurs éléments, à l'instar du terrain de construction en principal lieu, la mobilisation des entreprises du bâtiment et autre moyens financiers nécessaire. Ce qui n'a pas été le cas avec le programme de 2001. Par ailleurs, et concernant le volet de l'habitat précaire, le wali de la wilaya d'Alger, M.Mohamed Kebir Abbou a indiqué, de sa part, que résider dans une habitation précaire ne constitue pas forcément un accès direct au logement. Selon lui, «il existe aujourd'hui un fichier national qui permet de mieux maîtriser la situation et de débusquer les indus demandeurs qui tentent de mettre les pouvoirs publics devant le fait accompli. « Un recensement a été effectué en 2007 et qui définit le nombre exact des familles habitant les bidonvilles. Ce sont ces familles-là qui bénéficieront de logements neufs. En revanche, tous ceux qui ont occupé des sites précaires après 2007 ne sont pas concernés », a-t-il insisté. Ceci dit, les familles exclues du relogement peuvent adresser des recours à la wilaya. Ses recours seront étudiés afin d'en déterminer le besoin de logement. «Les habitations précaires, poursuit-t-il, seront entièrement démolies après le relogement de leurs habitants dans le cadre de la modernisation de la ville. Outre l'habitat précaire, une action de relogement des familles occupant les chalets implantés à Alger Est sera entamée progressivement à partir d'aujourd'hui, a indiqué le wali. Sinistrés depuis le séisme de 2003 de Boumerdes, les habitants des chalets de la région de Bordj El Bahri seront les premiers concernés..