Ce débrayage intervient suite à l'absence de réponse aux doléances des fonctionnaires communaux, dont la section syndicale a déposé un préavis auprès du ministère de l'Intérieur et des Collectivités locales et celui du Travail, de l'Emploi et de la Sécurité sociale. Ce débrayage intervient suite à l'absence de réponse aux doléances des fonctionnaires communaux, dont la section syndicale a déposé un préavis auprès du ministère de l'Intérieur et des Collectivités locales et celui du Travail, de l'Emploi et de la Sécurité sociale. Les fonctionnaires municipaux reviennent à la charge. Ils sont quelque 500 mille travailleurs à débrayer aujourd'hui à travers le territoire national. Le Conseil national du secteur des communes (CNSC), affilié au Syndicat national autonome des praticiens de l'administration publique (Snapap), a appelé en effet, à trois jours de grève, pour exprimer le mécontentement des communaux quant à leur situation socioprofessionnelle. Ce débrayage intervient suite à l'absence de réponse aux doléances des fonctionnaires municipaux, dont la section syndicale a déposé un préavis auprès du ministère de l'Intérieur et des Collectivités locales et celui du Travail, de l'Emploi et de la Sécurité sociale, selon le porte-parole du CNSC. Pour rappel, les communaux ont déjà observé une grève de deux jours les 30 et 31 mars dernier, mais depuis leurs revendications sont restées lettre morte. Le porte-parole dudit syndicat, Ali Yahia, a résumé les doléances des fonctionnaires communaux en la détérioration de leur pouvoir d'achat, la dégradation de leurs conditions de travail, la malvie et la précarité socioprofessionnelles, entre autres. Les contestataires semblent cette fois-ci résolus à «arracher» leurs droits, sans pour autant entraver le fonctionnement de certaines sections. Donc, le service minimum sera assuré par les agents de transcription d'actes de décès, de ramassage des ordures des centres hospitaliers et sanitaires, la distribution d'eau potable ainsi que le service des transmissions qui sera également opérationnel, a indiqué Ali Yahia. Sinon, les éboueurs, les préposés aux guichets, les employés de bureaux et les simples agents seront de la partie, a-t-il ajouté. Les fonctionnaires municipaux, qui s'estiment lésés et marginalisés par toutes les augmentations salariales et les indemnités dans le cadre de la Fonction publique, refusent à présent de baisser les bras. Ils envisagent en effet d'entamer un cycle de débrayages de trois jours renouvelables jusqu'à ce que les autorités concernées daignent se pencher sur leurs revendications. En plus de la revendication salariale, le Conseil national du secteur des communes réclame d'être associé aux négociations pour le statut particulier de la corporation et du régime indemnitaire. Ainsi, la spirale des grèves continue de faire tache d'huile n'épargnant désormais aucun secteur. C'est l'expression d'un marasme social profond, accentué encore par la cherté excessive de la vie, que même les récentes augmentations de salaires n'ont pu contenir. Les enseignants, les praticiens de la santé, les dockers, les psychologues, les paramédicaux et voilà maintenant les communaux. Les fonctionnaires municipaux reviennent à la charge. Ils sont quelque 500 mille travailleurs à débrayer aujourd'hui à travers le territoire national. Le Conseil national du secteur des communes (CNSC), affilié au Syndicat national autonome des praticiens de l'administration publique (Snapap), a appelé en effet, à trois jours de grève, pour exprimer le mécontentement des communaux quant à leur situation socioprofessionnelle. Ce débrayage intervient suite à l'absence de réponse aux doléances des fonctionnaires municipaux, dont la section syndicale a déposé un préavis auprès du ministère de l'Intérieur et des Collectivités locales et celui du Travail, de l'Emploi et de la Sécurité sociale, selon le porte-parole du CNSC. Pour rappel, les communaux ont déjà observé une grève de deux jours les 30 et 31 mars dernier, mais depuis leurs revendications sont restées lettre morte. Le porte-parole dudit syndicat, Ali Yahia, a résumé les doléances des fonctionnaires communaux en la détérioration de leur pouvoir d'achat, la dégradation de leurs conditions de travail, la malvie et la précarité socioprofessionnelles, entre autres. Les contestataires semblent cette fois-ci résolus à «arracher» leurs droits, sans pour autant entraver le fonctionnement de certaines sections. Donc, le service minimum sera assuré par les agents de transcription d'actes de décès, de ramassage des ordures des centres hospitaliers et sanitaires, la distribution d'eau potable ainsi que le service des transmissions qui sera également opérationnel, a indiqué Ali Yahia. Sinon, les éboueurs, les préposés aux guichets, les employés de bureaux et les simples agents seront de la partie, a-t-il ajouté. Les fonctionnaires municipaux, qui s'estiment lésés et marginalisés par toutes les augmentations salariales et les indemnités dans le cadre de la Fonction publique, refusent à présent de baisser les bras. Ils envisagent en effet d'entamer un cycle de débrayages de trois jours renouvelables jusqu'à ce que les autorités concernées daignent se pencher sur leurs revendications. En plus de la revendication salariale, le Conseil national du secteur des communes réclame d'être associé aux négociations pour le statut particulier de la corporation et du régime indemnitaire. Ainsi, la spirale des grèves continue de faire tache d'huile n'épargnant désormais aucun secteur. C'est l'expression d'un marasme social profond, accentué encore par la cherté excessive de la vie, que même les récentes augmentations de salaires n'ont pu contenir. Les enseignants, les praticiens de la santé, les dockers, les psychologues, les paramédicaux et voilà maintenant les communaux.