L'investissement dans le secteur agricole algérien sera dorénavant élargi à la faveur des avantages qu'offre la loi algérienne pour encourager les investisseurs arabes à établir de nouveaux projets. C'est ce qu'a indiqué, hier à Alger, le directeur général de l'Organisation arabe du développement agricole (OADA), Tarek Ben Moussa Ezedjali. Selon ce dernier, l'OADA poursuivra ses efforts en Algérie dans le sens de l'accompagnement du ministère de l'Agriculture et du Développement rural, en lui fournissant l'aide technique afin de promouvoir l'élément humain, de développer le programme d'orientation agricole et prodiguer l'aide matérielle et scientifique aux différentes structures activant dans le domaine. «L'activité de l'organisation en Algérie ces dernières années a été caractérisée par l'exécution de nombreux programmes dans le cadre de l'application du plan national de développement agricole et rural dans les wilayas steppiques», a-t-il souligné lors de l'ouverture des travaux de la 31e session de l'assemblée générale de l'OADA. Il a, cependant, affirmé que l'organisation oeuvre à l'application de programmes et projets qui répondent aux exigences du secteur agricole dans le monde arabe afin de faire face aux défis qu'impose la mondialisation. De leur côté, les participants à cette session ont examiné de près de nombreuses questions, dont la sécurité alimentaire arabe, le suivi de l'exécution de la stratégie de développement agricole arabe durable pour les deux prochaines décennies ainsi que la déclaration de Ryadh sur le renforcement de la coopération arabe pour faire face à la crise alimentaire mondiale. Selon les statistiques de l'OADA, les indicateurs de la sécurité alimentaire dans le monde arabe pour la période 2007-2009 relèvent une évolution positive dans la production, le commerce et la consommation des produits alimentaires de base. La production des denrées alimentaires de base dans le monde arabe pour la même période a progressé de 4 % à 12%. L'on note 10,5 % pour les céréales dont la production est passée de 49,7 millions de tonnes à 54,9 millions de tonnes, 8% pour les légumes, 10% pour les fruits et 11,4% pour les poissons. S'agissant de l'évolution du commerce arabe pendant la même période, les statistiques de l'OADA indiquent que les exportations arabes de produits alimentaires de base sont passées de 9,6 milliards de dollars en 2007 à 11,5 milliards de dollars en 2009 soit une hausse de 19,8 %. Quant aux importations, elles sont passées de 34,6 milliards de dollars à 39 milliards de dollars soit une augmentation de 12,7 %. Concernant l'autosuffisance alimentaire, les rapports de l'OADA soulignent que les pays arabes ont réalisé des taux élevés en ce qui concerne certains produits tels les poissons (105,88 %), les légumes (101,9 %), la pomme de terre (100,9 %) et les fruits (97,5 %). Par contre, la moyenne annuelle du déficit de la balance commerciale des produits alimentaires de base a atteint près de 27,4 milliards de dollars pour la période 2007-2009. L'investissement dans le secteur agricole algérien sera dorénavant élargi à la faveur des avantages qu'offre la loi algérienne pour encourager les investisseurs arabes à établir de nouveaux projets. C'est ce qu'a indiqué, hier à Alger, le directeur général de l'Organisation arabe du développement agricole (OADA), Tarek Ben Moussa Ezedjali. Selon ce dernier, l'OADA poursuivra ses efforts en Algérie dans le sens de l'accompagnement du ministère de l'Agriculture et du Développement rural, en lui fournissant l'aide technique afin de promouvoir l'élément humain, de développer le programme d'orientation agricole et prodiguer l'aide matérielle et scientifique aux différentes structures activant dans le domaine. «L'activité de l'organisation en Algérie ces dernières années a été caractérisée par l'exécution de nombreux programmes dans le cadre de l'application du plan national de développement agricole et rural dans les wilayas steppiques», a-t-il souligné lors de l'ouverture des travaux de la 31e session de l'assemblée générale de l'OADA. Il a, cependant, affirmé que l'organisation oeuvre à l'application de programmes et projets qui répondent aux exigences du secteur agricole dans le monde arabe afin de faire face aux défis qu'impose la mondialisation. De leur côté, les participants à cette session ont examiné de près de nombreuses questions, dont la sécurité alimentaire arabe, le suivi de l'exécution de la stratégie de développement agricole arabe durable pour les deux prochaines décennies ainsi que la déclaration de Ryadh sur le renforcement de la coopération arabe pour faire face à la crise alimentaire mondiale. Selon les statistiques de l'OADA, les indicateurs de la sécurité alimentaire dans le monde arabe pour la période 2007-2009 relèvent une évolution positive dans la production, le commerce et la consommation des produits alimentaires de base. La production des denrées alimentaires de base dans le monde arabe pour la même période a progressé de 4 % à 12%. L'on note 10,5 % pour les céréales dont la production est passée de 49,7 millions de tonnes à 54,9 millions de tonnes, 8% pour les légumes, 10% pour les fruits et 11,4% pour les poissons. S'agissant de l'évolution du commerce arabe pendant la même période, les statistiques de l'OADA indiquent que les exportations arabes de produits alimentaires de base sont passées de 9,6 milliards de dollars en 2007 à 11,5 milliards de dollars en 2009 soit une hausse de 19,8 %. Quant aux importations, elles sont passées de 34,6 milliards de dollars à 39 milliards de dollars soit une augmentation de 12,7 %. Concernant l'autosuffisance alimentaire, les rapports de l'OADA soulignent que les pays arabes ont réalisé des taux élevés en ce qui concerne certains produits tels les poissons (105,88 %), les légumes (101,9 %), la pomme de terre (100,9 %) et les fruits (97,5 %). Par contre, la moyenne annuelle du déficit de la balance commerciale des produits alimentaires de base a atteint près de 27,4 milliards de dollars pour la période 2007-2009.