Baya Gacemi a été inhumée, hier, au cimetière de Zahouane dans sa ville natale à Annaba. Un grand monde est venu accompagner la journaliste à sa dernière demeure. Famille, amis, journalistes et autorités locales étaient présents, attristés par la disparition de Baya. Sa dépouille mortelle est arrivée à Annaba, vendredi dernier à 18h30, en provenance de Paris, où elle s'est éteinte, le 25 avril dernier, à l'hôpital Gustave-Rousset de Villejuif, à l'âge de 59 ans des suites d'une maladie. Un hommage lui a été rendu, le 26 avril dernier, à la Maison de la presse Tahar Djaout, où ses collègues de la presse nationale ont tenu à saluer l'engagement de la défunte et ses grandes qualités professionnelles et humaines tout au long de sa carrière journalistique. Baya Gacemi était une fervente militante et une femme de terrain, passionnée par son métier. Après des études en sciences politiques et droit international à La Sorbonne, elle rentre en Algérie en 1985, pour entamer sa carrière journalistique. Elle fut journaliste à Algérie Actualité, membre fondatrice du quotidien la Tribune, puis correspondante du journal français l'Express. Egalement écrivaine, Baya Gacemi était connue non seulement pour ses écrits journalistiques, mais aussi pour son œuvre littéraire. Son roman sur la décennie terroriste : «Moi, Nadia, femme d'un émir du GIA» aux éditions du Seuil en 1998, se révéla un best-seller, et fut traduit dans plusieurs langues. Une œuvre qui a enregistré des ventes record à l'occasion du Salon du livre, organisé en 2000 à Alger. En 2006, elle fut honorée par l'obtention du prix international Omar-Ourtilène, décerné chaque année au meilleur journaliste. Elle compte à son actif plusieurs autres reportages et enquêtes très pertinentes, publiés notamment dans l'Express. Sa disparition a ému plus d'un, en témoigne la grande foule qui l'a accompagnée hier à sa dernière demeure. Baya Gacemi a été inhumée, hier, au cimetière de Zahouane dans sa ville natale à Annaba. Un grand monde est venu accompagner la journaliste à sa dernière demeure. Famille, amis, journalistes et autorités locales étaient présents, attristés par la disparition de Baya. Sa dépouille mortelle est arrivée à Annaba, vendredi dernier à 18h30, en provenance de Paris, où elle s'est éteinte, le 25 avril dernier, à l'hôpital Gustave-Rousset de Villejuif, à l'âge de 59 ans des suites d'une maladie. Un hommage lui a été rendu, le 26 avril dernier, à la Maison de la presse Tahar Djaout, où ses collègues de la presse nationale ont tenu à saluer l'engagement de la défunte et ses grandes qualités professionnelles et humaines tout au long de sa carrière journalistique. Baya Gacemi était une fervente militante et une femme de terrain, passionnée par son métier. Après des études en sciences politiques et droit international à La Sorbonne, elle rentre en Algérie en 1985, pour entamer sa carrière journalistique. Elle fut journaliste à Algérie Actualité, membre fondatrice du quotidien la Tribune, puis correspondante du journal français l'Express. Egalement écrivaine, Baya Gacemi était connue non seulement pour ses écrits journalistiques, mais aussi pour son œuvre littéraire. Son roman sur la décennie terroriste : «Moi, Nadia, femme d'un émir du GIA» aux éditions du Seuil en 1998, se révéla un best-seller, et fut traduit dans plusieurs langues. Une œuvre qui a enregistré des ventes record à l'occasion du Salon du livre, organisé en 2000 à Alger. En 2006, elle fut honorée par l'obtention du prix international Omar-Ourtilène, décerné chaque année au meilleur journaliste. Elle compte à son actif plusieurs autres reportages et enquêtes très pertinentes, publiés notamment dans l'Express. Sa disparition a ému plus d'un, en témoigne la grande foule qui l'a accompagnée hier à sa dernière demeure.