Une trentaine de journalistes a été primée, hier à Alger, par le Rassemblement national démocratique (RND), à l'occasion de la célébration de la journée internationale de la liberté de la presse. Des tableaux d'honneur et des cadeaux symboliques ont été remis par les cadres du parti à plusieurs journalistes de la radio et de la télévision nationales ainsi que de la presse écrite, de même que certains directeurs de publication de quelques organes de la presse écrite. La cérémonie s'est déroulée à l'issue de la Conférence nationale sur «le parcours des médias dans le sillage du pluralisme», organisée à Alger, en présence des cadres et militants du RND, des Secrétaires généraux du Syndicat national des journalistes (SNJ) et de la Fédération nationale des journalistes algériens (FNJA), ainsi que des journalistes de la presse nationale. Le Secrétaire général du RND s'est félicité des avancées considérables réalisées par la presse algérienne après 20 ans d'exercice dans le cadre du pluralisme et de l'ouverture. «Aujourd'hui, il est devenu impossible d'imaginer une Algérie sans liberté, une Algérie sans médias ou bien une Algérie sans une presse libre», a soutenu Ahmed Ouyahia, dans un message lu en son nom par le porte-parole du parti, Miloud Chorfi. «En l'espace de 20 ans seulement, la presse algérienne a su s'adapter avec la réalité nationale, réalisant des progrès très palpables, faisant d'elle une presse consciente et responsable», devait-il enchaîner, non sans évoquer les sacrifices des journalistes algériens, qui ont payé un lourd tribut dans l'exercice de leur fonction. Les acquis de la presse algérienne, qui n'en est qu'à ses balbutiements, sont, certes, énormes, au vu de sa jeune expérience, mais les contraintes demeurent majeures. En chiffres, le paysage médiatique peut s'enorgueillir à présent, de receler pas moins de 300 titres dont 80 quotidiens pour plus de 4.000 journalistes. Cela, sans compter les radios nationales et régionales et les chaînes de télévision. Sans, toutefois, s'exprimer en faveur de l'ouverture du champ audiovisuel, le RND s'est dit favorable à la création de chaînes de télévision supplémentaires dans le cadre d'un partenariat public-privé. Dans son allocution, Ahmed Ouyahia a tenu à «s'incliner devant toutes ces belles plumes» qui ont honoré la presse algérienne et contribué pleinement à son ascension et épanouissement. Par ailleurs, des communications ont été données à l'occasion de la célébration de la journée internationale de la liberté de la presse par les cadres du RND, à l'instar de «la place de la femme dans les médias», présentée par Nacira Merah, et «quelle presse pour quelle liberté ?», du Pr. Rachid Hamlil. A signaler , également, l'intervention du Pr. Morsli Laâradj autour de «la presse nationale et le pluralisme». Une trentaine de journalistes a été primée, hier à Alger, par le Rassemblement national démocratique (RND), à l'occasion de la célébration de la journée internationale de la liberté de la presse. Des tableaux d'honneur et des cadeaux symboliques ont été remis par les cadres du parti à plusieurs journalistes de la radio et de la télévision nationales ainsi que de la presse écrite, de même que certains directeurs de publication de quelques organes de la presse écrite. La cérémonie s'est déroulée à l'issue de la Conférence nationale sur «le parcours des médias dans le sillage du pluralisme», organisée à Alger, en présence des cadres et militants du RND, des Secrétaires généraux du Syndicat national des journalistes (SNJ) et de la Fédération nationale des journalistes algériens (FNJA), ainsi que des journalistes de la presse nationale. Le Secrétaire général du RND s'est félicité des avancées considérables réalisées par la presse algérienne après 20 ans d'exercice dans le cadre du pluralisme et de l'ouverture. «Aujourd'hui, il est devenu impossible d'imaginer une Algérie sans liberté, une Algérie sans médias ou bien une Algérie sans une presse libre», a soutenu Ahmed Ouyahia, dans un message lu en son nom par le porte-parole du parti, Miloud Chorfi. «En l'espace de 20 ans seulement, la presse algérienne a su s'adapter avec la réalité nationale, réalisant des progrès très palpables, faisant d'elle une presse consciente et responsable», devait-il enchaîner, non sans évoquer les sacrifices des journalistes algériens, qui ont payé un lourd tribut dans l'exercice de leur fonction. Les acquis de la presse algérienne, qui n'en est qu'à ses balbutiements, sont, certes, énormes, au vu de sa jeune expérience, mais les contraintes demeurent majeures. En chiffres, le paysage médiatique peut s'enorgueillir à présent, de receler pas moins de 300 titres dont 80 quotidiens pour plus de 4.000 journalistes. Cela, sans compter les radios nationales et régionales et les chaînes de télévision. Sans, toutefois, s'exprimer en faveur de l'ouverture du champ audiovisuel, le RND s'est dit favorable à la création de chaînes de télévision supplémentaires dans le cadre d'un partenariat public-privé. Dans son allocution, Ahmed Ouyahia a tenu à «s'incliner devant toutes ces belles plumes» qui ont honoré la presse algérienne et contribué pleinement à son ascension et épanouissement. Par ailleurs, des communications ont été données à l'occasion de la célébration de la journée internationale de la liberté de la presse par les cadres du RND, à l'instar de «la place de la femme dans les médias», présentée par Nacira Merah, et «quelle presse pour quelle liberté ?», du Pr. Rachid Hamlil. A signaler , également, l'intervention du Pr. Morsli Laâradj autour de «la presse nationale et le pluralisme».