La grande majorité des pépinières de cette wilaya est implantée dans la partie Est, plus particulièrement à Hallouiya, Bouinan et Soumaâ, des régions réputées pour leurs activités horticoles à l'échelle nationale. La grande majorité des pépinières de cette wilaya est implantée dans la partie Est, plus particulièrement à Hallouiya, Bouinan et Soumaâ, des régions réputées pour leurs activités horticoles à l'échelle nationale. Pour de nombreuses familles de la wilaya de Blida, les pépinières de production de plants fruitiers et d'ornement constituent un créneau rentable et un moyen de subsistance. La grande majorité des pépinières de cette wilaya est implantée dans la partie est, plus particulièrement à Hallouiya, Bouinan et Soumaâ, des régions réputées pour leurs activités horticoles à l'échelle nationale. "Il existe deux types de pépiniéristes à l'échelle locale, les diplômés, agréés par la Direction des services agricoles (DSA), et les empiristes, dont la compétence repose sur une expérience professionnelle cumulée sur de nombreuses années d'activités dans ce domaine", a indiqué la DSA. Selon le chef du service de production végétale à la DSA, "la wilaya compte actuellement 42 pépinières agréées bénéficiant, notamment, de visites de contrôle de la part des ingénieurs agronomes de la DSA". La tâche de ces derniers consiste, entre autres, à constater "l'état de santé" des plantes et végétaux en serre et de lutter contre les différentes maladies entravant leur bon développement. Lors de leurs visites sur le terrain, les agronomes de la DSA veillent à prendre des échantillons de ces pépinières qui devront obligatoirement être soumis à des analyses au niveau de la station régionale de Boufarik relevant de l'Institut national de production végétale d'El-Harrach, en vue de "déceler une éventuelle atteinte par la CTV, pour ce qui est des agrumes, ou par les cochenilles (de type Saint José, notamment) pour les autres essences arboricoles", selon la DSA. "En cas de détection de l'une de ces affections, l'échantillon en question est immédiatement incinéré", a assuré le même responsable, en faisant également part d'autres prises d'échantillons pour analyses en laboratoires, effectuées d'octobre à décembre, coïncidant avec la période de mise en terre d'arbustes et plantes, puis vers la fin décembre pour constater leur développement et bonne santé. "Pour ouvrir droit à l'agrément de la DSA, une pépinière doit compter une surface de 9 ha de terre dotée d'une source d'irrigation, tout en étant facile d'accès, notamment pour les agents de la DSA", précise le chef du service de production végétale qui ajoute que la structure en question doit être "encadrée par un spécialiste agricole (ingénieur ou technicien), au moment où son promoteur est détenteur d'une carte d'agriculteur". L'une des préoccupations professionnelles des pépiniéristes non agréés est la commercialisation de leurs produits. Actuellement, la seule opportunité offerte à ces producteurs ce sont ces floralies qui se tiennent annuellement au niveau du boulevard Laïchi-Abdellah, au centre-ville, où ils peuvent écouler leurs produits. Pour de nombreuses familles de la wilaya de Blida, les pépinières de production de plants fruitiers et d'ornement constituent un créneau rentable et un moyen de subsistance. La grande majorité des pépinières de cette wilaya est implantée dans la partie est, plus particulièrement à Hallouiya, Bouinan et Soumaâ, des régions réputées pour leurs activités horticoles à l'échelle nationale. "Il existe deux types de pépiniéristes à l'échelle locale, les diplômés, agréés par la Direction des services agricoles (DSA), et les empiristes, dont la compétence repose sur une expérience professionnelle cumulée sur de nombreuses années d'activités dans ce domaine", a indiqué la DSA. Selon le chef du service de production végétale à la DSA, "la wilaya compte actuellement 42 pépinières agréées bénéficiant, notamment, de visites de contrôle de la part des ingénieurs agronomes de la DSA". La tâche de ces derniers consiste, entre autres, à constater "l'état de santé" des plantes et végétaux en serre et de lutter contre les différentes maladies entravant leur bon développement. Lors de leurs visites sur le terrain, les agronomes de la DSA veillent à prendre des échantillons de ces pépinières qui devront obligatoirement être soumis à des analyses au niveau de la station régionale de Boufarik relevant de l'Institut national de production végétale d'El-Harrach, en vue de "déceler une éventuelle atteinte par la CTV, pour ce qui est des agrumes, ou par les cochenilles (de type Saint José, notamment) pour les autres essences arboricoles", selon la DSA. "En cas de détection de l'une de ces affections, l'échantillon en question est immédiatement incinéré", a assuré le même responsable, en faisant également part d'autres prises d'échantillons pour analyses en laboratoires, effectuées d'octobre à décembre, coïncidant avec la période de mise en terre d'arbustes et plantes, puis vers la fin décembre pour constater leur développement et bonne santé. "Pour ouvrir droit à l'agrément de la DSA, une pépinière doit compter une surface de 9 ha de terre dotée d'une source d'irrigation, tout en étant facile d'accès, notamment pour les agents de la DSA", précise le chef du service de production végétale qui ajoute que la structure en question doit être "encadrée par un spécialiste agricole (ingénieur ou technicien), au moment où son promoteur est détenteur d'une carte d'agriculteur". L'une des préoccupations professionnelles des pépiniéristes non agréés est la commercialisation de leurs produits. Actuellement, la seule opportunité offerte à ces producteurs ce sont ces floralies qui se tiennent annuellement au niveau du boulevard Laïchi-Abdellah, au centre-ville, où ils peuvent écouler leurs produits.