Le village de Tizi-Rached est l'une des rares communes de la wilaya de Tizi -Ouzou à avoir la montagne et la plaine et disposer d'une richesse naturelle extraordinaire, qui a de tout temps fait la grandeur des habitants de cette région. Le village de Tizi-Rached est l'une des rares communes de la wilaya de Tizi -Ouzou à avoir la montagne et la plaine et disposer d'une richesse naturelle extraordinaire, qui a de tout temps fait la grandeur des habitants de cette région. Ce village ou est né et grandi Ali Laïmèche, entre autres, est connu pour les variétés de ses arbres fruitiers, ses terres fertiles, l'abondance de ses eaux et surtout sa position en tant que centre urbain favorisant l'établissement de plusieurs genres d'industries, telles que scierie, tannerie, moulins et huilerie. Tizi-Rached, qui se situe seulement à une quinzaine de kilomètres à l'est du chef-lieu de la wilaya de Tizi-Ouzou, possède, en plus du plus grand marché hebdomadaire de toute la Kabylie, des unités économiques et industrielles qui font d'elle la commune la plus riche de toute la wilaya. Ses falaises abruptes, ses monts escarpés et l'immense rempart naturel qui sépare Tizi-Rached du massif du Djurdjura sont tous désignés pour faire d'Ath Akerma (ancienne appellation donnée au village de Tizi-Rached) un important pôle touristique pouvant générer des revenus économiques appréciables. Les responsables de la commune sont conscinets de cette réalité puisqu'on parle déjà de la construction de nouvelles auberges et de sites répondant aux normes requises afin de donner un élan nouveau au développement du tourisme de montagne. Avec une population estimée à dix-neuf mille habitants, la ville de Tizi-Rached n'a pris de l'ampleur que ces dernières années, notamment après la construction sur son territoire administratif de grandes unités économiques, telles que l'ENIEM et l'usine de transformation de bois de Taboukert. Dans le cadre de l'habitat rural, la commune a réalisé, en plus des 60 locaux pour jeunes, initiés dans le programme présidentiel des 100 locaux par commune, et 250 aides dans le cadre de l'habitat rural, la commune vient de bénéficier de l'inscription d'office d'une salle de sport et d'une crèche. Côté éducation, la commune dispose déjà d'un lycée tandis qu'un nouveau est en phase de réalisation à proximité du CEM de la ville. A cela s'ajoutent dix écoles primaires, deux centres de formation professionnelle d'une capacité de 100 places chacune et deux maison de jeunes. Le grand problème de la commune demeure la couverture sanitaire qui reste en deçà des besoins. L'unique centre de santé et les quatre salles de soins existants n'arrivent même pas à contenir le flux quotidien des malades qui viennent en visite chaque jour. Ce village ou est né et grandi Ali Laïmèche, entre autres, est connu pour les variétés de ses arbres fruitiers, ses terres fertiles, l'abondance de ses eaux et surtout sa position en tant que centre urbain favorisant l'établissement de plusieurs genres d'industries, telles que scierie, tannerie, moulins et huilerie. Tizi-Rached, qui se situe seulement à une quinzaine de kilomètres à l'est du chef-lieu de la wilaya de Tizi-Ouzou, possède, en plus du plus grand marché hebdomadaire de toute la Kabylie, des unités économiques et industrielles qui font d'elle la commune la plus riche de toute la wilaya. Ses falaises abruptes, ses monts escarpés et l'immense rempart naturel qui sépare Tizi-Rached du massif du Djurdjura sont tous désignés pour faire d'Ath Akerma (ancienne appellation donnée au village de Tizi-Rached) un important pôle touristique pouvant générer des revenus économiques appréciables. Les responsables de la commune sont conscinets de cette réalité puisqu'on parle déjà de la construction de nouvelles auberges et de sites répondant aux normes requises afin de donner un élan nouveau au développement du tourisme de montagne. Avec une population estimée à dix-neuf mille habitants, la ville de Tizi-Rached n'a pris de l'ampleur que ces dernières années, notamment après la construction sur son territoire administratif de grandes unités économiques, telles que l'ENIEM et l'usine de transformation de bois de Taboukert. Dans le cadre de l'habitat rural, la commune a réalisé, en plus des 60 locaux pour jeunes, initiés dans le programme présidentiel des 100 locaux par commune, et 250 aides dans le cadre de l'habitat rural, la commune vient de bénéficier de l'inscription d'office d'une salle de sport et d'une crèche. Côté éducation, la commune dispose déjà d'un lycée tandis qu'un nouveau est en phase de réalisation à proximité du CEM de la ville. A cela s'ajoutent dix écoles primaires, deux centres de formation professionnelle d'une capacité de 100 places chacune et deux maison de jeunes. Le grand problème de la commune demeure la couverture sanitaire qui reste en deçà des besoins. L'unique centre de santé et les quatre salles de soins existants n'arrivent même pas à contenir le flux quotidien des malades qui viennent en visite chaque jour.