De plus en plus de sociétés d'assurance étrangères s'intéressent au marché algérien. Pour preuve, les nombreuses demandes d'agréments de compagnies d'assurance étrangères actuellement en cours d'études au niveau du ministère des Finances. De plus en plus de sociétés d'assurance étrangères s'intéressent au marché algérien. Pour preuve, les nombreuses demandes d'agréments de compagnies d'assurance étrangères actuellement en cours d'études au niveau du ministère des Finances. «Des demandes d'agréments de plusieurs compagnies d'assurance étrangères pour créer des entreprises en partenariat avec des compagnies algériennes sont en cours d'études au ministère des Finances», a indiqué, mercredi, le président de l'Union algérienne des assurances et réassurances (UAR), Amara Latrous. Ces demandes confirment, selon les experts, l'intérêt porté par les compagnies étrangères au marché d'assurance algérien, en pleine expansion, malgré les dispositions de la loi de Finances complémentaires 2009 sur les investissements directs étrangers, exigeant de l'opérateur étranger de s'associer à un partenaire algérien. M. Latrous, qui s'exprimait lors d'une conférence de presse consacrée à la présentation du bilan du secteur des assurances pour l'exercice 2009, a cité dans ce sens les négociations «presque achevées» sur la création en partenariat d'une compagnie d'assurance de personnes entre la compagnie française la Macif, la SAA, et deux banques (BADR et BDL). La Macif détiendra 34% du capital de la nouvelle compagnie, soit la part majoritaire devant lui permettre d'assurer le management de la compagnie, alors que la présidence du conseil d'administration sera confiée aux actionnaires algériens, a-t-il précisé. Par ailleurs, une autre compagnie française (AXA) a aussi demandé à s'implanter en Algérie. Sa demande d'agrément, est en cours d'examen au ministère de Finances mais sans toutefois préciser le type de risque pour lequel elle a demandé un agrément. Cependant, les organisateurs ont reconnu les lenteurs constatées dans l'indemnisation des clients, expliquant que les lois en vigueur prévoient des sanctions à l'égard des compagnies d'assurance qui ne remboursent pas leurs clients dans les délais, allant jusqu'au paiement de dommages et intérêts aux clients lésés. «Des demandes d'agréments de plusieurs compagnies d'assurance étrangères pour créer des entreprises en partenariat avec des compagnies algériennes sont en cours d'études au ministère des Finances», a indiqué, mercredi, le président de l'Union algérienne des assurances et réassurances (UAR), Amara Latrous. Ces demandes confirment, selon les experts, l'intérêt porté par les compagnies étrangères au marché d'assurance algérien, en pleine expansion, malgré les dispositions de la loi de Finances complémentaires 2009 sur les investissements directs étrangers, exigeant de l'opérateur étranger de s'associer à un partenaire algérien. M. Latrous, qui s'exprimait lors d'une conférence de presse consacrée à la présentation du bilan du secteur des assurances pour l'exercice 2009, a cité dans ce sens les négociations «presque achevées» sur la création en partenariat d'une compagnie d'assurance de personnes entre la compagnie française la Macif, la SAA, et deux banques (BADR et BDL). La Macif détiendra 34% du capital de la nouvelle compagnie, soit la part majoritaire devant lui permettre d'assurer le management de la compagnie, alors que la présidence du conseil d'administration sera confiée aux actionnaires algériens, a-t-il précisé. Par ailleurs, une autre compagnie française (AXA) a aussi demandé à s'implanter en Algérie. Sa demande d'agrément, est en cours d'examen au ministère de Finances mais sans toutefois préciser le type de risque pour lequel elle a demandé un agrément. Cependant, les organisateurs ont reconnu les lenteurs constatées dans l'indemnisation des clients, expliquant que les lois en vigueur prévoient des sanctions à l'égard des compagnies d'assurance qui ne remboursent pas leurs clients dans les délais, allant jusqu'au paiement de dommages et intérêts aux clients lésés.