L'Union Européenne «ne considère pas l'Algérie comme un pays en développement, mais elle le classe parmi ceux en transition économique», a affirmé, l'ambassadrice, chef de la Délégation de l'UE en Algérie, Mme Laura Baeza, lors d'une table ronde organisée jeudi dernier à l'Assemblée populaire nationale (APN) à Alger, portant sur les relations entre l'Algérie et l'UE. L'Union Européenne «ne considère pas l'Algérie comme un pays en développement, mais elle le classe parmi ceux en transition économique», a affirmé, l'ambassadrice, chef de la Délégation de l'UE en Algérie, Mme Laura Baeza, lors d'une table ronde organisée jeudi dernier à l'Assemblée populaire nationale (APN) à Alger, portant sur les relations entre l'Algérie et l'UE. Elle a ajouté que l'Algérie demeure un voisin d'une «importance stratégique et cruciale, un partenaire central dans l'espace euro-méditerranéen et aussi un acteur-clé dans le partenariat de l'UE avec l'Afrique». L'objectif du partenariat entre les deux parties est, selon Mme Beaza, de contribuer à faire de la Méditerranée une zone de paix, de stabilité et de prospérité partagée, et de développer les échanges culturels et humains entre les peuples. Elle a également rappelé que la mise en œuvre de l'accord d'association entre l'Algérie et l'UE, signé en 2002, entré en vigueur en 2005 avec pour objectif la création d'une Zone de libre échange (ZLE), se déroule normalement, soulignant que la préparation du 5ème Conseil d'association, prévu en juin prochain, «avance bien» et que les réunions des hauts fonctionnaires au niveau des divers comités ad hoc et groupes de travail sectoriels se tiennent régulièrement. Le chef de la délégation de l'UE a relevé également la dynamique constatée ces dernières années dans les relations entre l'Algérie et l'Union à travers les visites à Alger de quatre commissaires européens et les entretiens que le ministre des Affaires étrangères, M. Mourad Medelci a eu à Bruxelles. Il s'agit, entre autres, a-t-elle dit, du processus de réformes économiques et de mise en place de l'économie du marché, du développement des infrastructures notamment économiques, de la promotion des ressources humaines ainsi que de la consolidation de l'Etat de droit et de la bonne gouvernance, notant que pour la période 2007-2010, une enveloppe de 220 millions d'euros a été dégagée par l'UE pour l'Algérie, alors que le nouveau programme, pour la période 2011-2013, prévoit un montant de global de 172 millions d'euro. Les relations politiques, quant à elles, sont, selon l'ambassadrice, à l' «image de la coopération globale qui est en plein essor», relevant le fait que l'Algérie joue un rôle «important» et participe à la plupart des programmes et initiatives mis en oeuvre dans le cadre de la coopération régionale du partenariat euro-méditerranéen. Evoquant la question de l'Union pour la Méditerranée (UPM), Mme Baeza, a estimé que «l'Algérie a été un acteur dynamique du processus de Barcelone et a pleinement contribué à la mise en place de l'UPM». Elle a ajouté que l'Algérie demeure un voisin d'une «importance stratégique et cruciale, un partenaire central dans l'espace euro-méditerranéen et aussi un acteur-clé dans le partenariat de l'UE avec l'Afrique». L'objectif du partenariat entre les deux parties est, selon Mme Beaza, de contribuer à faire de la Méditerranée une zone de paix, de stabilité et de prospérité partagée, et de développer les échanges culturels et humains entre les peuples. Elle a également rappelé que la mise en œuvre de l'accord d'association entre l'Algérie et l'UE, signé en 2002, entré en vigueur en 2005 avec pour objectif la création d'une Zone de libre échange (ZLE), se déroule normalement, soulignant que la préparation du 5ème Conseil d'association, prévu en juin prochain, «avance bien» et que les réunions des hauts fonctionnaires au niveau des divers comités ad hoc et groupes de travail sectoriels se tiennent régulièrement. Le chef de la délégation de l'UE a relevé également la dynamique constatée ces dernières années dans les relations entre l'Algérie et l'Union à travers les visites à Alger de quatre commissaires européens et les entretiens que le ministre des Affaires étrangères, M. Mourad Medelci a eu à Bruxelles. Il s'agit, entre autres, a-t-elle dit, du processus de réformes économiques et de mise en place de l'économie du marché, du développement des infrastructures notamment économiques, de la promotion des ressources humaines ainsi que de la consolidation de l'Etat de droit et de la bonne gouvernance, notant que pour la période 2007-2010, une enveloppe de 220 millions d'euros a été dégagée par l'UE pour l'Algérie, alors que le nouveau programme, pour la période 2011-2013, prévoit un montant de global de 172 millions d'euro. Les relations politiques, quant à elles, sont, selon l'ambassadrice, à l' «image de la coopération globale qui est en plein essor», relevant le fait que l'Algérie joue un rôle «important» et participe à la plupart des programmes et initiatives mis en oeuvre dans le cadre de la coopération régionale du partenariat euro-méditerranéen. Evoquant la question de l'Union pour la Méditerranée (UPM), Mme Baeza, a estimé que «l'Algérie a été un acteur dynamique du processus de Barcelone et a pleinement contribué à la mise en place de l'UPM».