Les intervenants ont, à l'unanimité, dénoncé le laisser-aller et le manque flagrant d'hygiène de cette structure qui n'obéit pas au respect des critères essentiels prévus dans les cahiers de charges, à savoir eau courante, toilettes irréprochables, hygiène rigoureuse, tenues de travail, discipline, responsabilité des vétérinaires, armoires de réfrigération et installations adéquates. Les intervenants ont, à l'unanimité, dénoncé le laisser-aller et le manque flagrant d'hygiène de cette structure qui n'obéit pas au respect des critères essentiels prévus dans les cahiers de charges, à savoir eau courante, toilettes irréprochables, hygiène rigoureuse, tenues de travail, discipline, responsabilité des vétérinaires, armoires de réfrigération et installations adéquates. Lors de la première session 2010 de l'APW, de nombreux élus ont saisi l'opportunité de l'étude du dossier "Commerce" pour décrier l'état de déliquescence des abattoirs communaux, en général, et de celui de la ville de Guelma, en particulier. Les intervenants ont, à l'unanimité, dénoncé le laisser-aller et le manque flagrant d'hygiène de cette structure qui n'obéit pas au respect des critères essentiels prévus dans les cahiers de charges, à savoir eau courante, toilettes irréprochables, hygiène rigoureuse, tenues de travail, discipline, responsabilité des vétérinaires, armoires de réfrigération et installations adéquates. Un locataire de l'APW s'étonne de la passivité des édiles du chef-lieu de wilaya qui tolèrent les activités d'abattoirs clandestins au niveau de certaines cités périphériques. Ces abattages illicites, qui se déroulent parfois dans l'impunité totale, sont dangereux pour la santé publique car les bêtes ne sont pas contrôlées par les vétérinaires et les carcasses non estampillées sont de qualité douteuse. Un élu déplore des carences inacceptables au niveau de l'abattoir de Guelma, en l'occurence manque d'eau potable, sanitaires infectes, désordre latent, absence de cohésion, vétérinaires débordés par le volume de travail, etc. Convaincu du bien-fondé de ce tableau peu reluisant, le wali a, d'emblée, affirmé que les abattoirs sont soumis à une règlementation rigoureuse que d'aucuns sonttenus de respecter. La responsabilité de la gestion incombe à l'APC qui est propriétaire de ce patrimoine. Il insiste sur le rôle primordial du BCH (Bureau communal d'hygiène) qui englobe un médecin, un véterinaire, des techniciens de la santé et autres, et dont le rôle est prépondérant. Selon lui, le maire est l'animateur du BCH qui a la faculté de prendre des décisions extrêmes afin de préserver la santé et le bien-être de la population. Par le biais de ses vétérinaires, la Direction des services agricoles est tenue de s'impliquer pour mettre le holà aux dépassements et aux carences. Le chef de l'exécutif déplore que l'abattoir de Guelma soit devenu une annexe du parc communal, ce qui est une aberration ! De toute évidence, le wali a pris des décisions fermes pour réhabiliter les abattoirs qui sont actuellement des tueries inadaptées. Les responsables concernés ont été destinataires d'instructions précises et formelles afin de redresser le cap. Lors de la première session 2010 de l'APW, de nombreux élus ont saisi l'opportunité de l'étude du dossier "Commerce" pour décrier l'état de déliquescence des abattoirs communaux, en général, et de celui de la ville de Guelma, en particulier. Les intervenants ont, à l'unanimité, dénoncé le laisser-aller et le manque flagrant d'hygiène de cette structure qui n'obéit pas au respect des critères essentiels prévus dans les cahiers de charges, à savoir eau courante, toilettes irréprochables, hygiène rigoureuse, tenues de travail, discipline, responsabilité des vétérinaires, armoires de réfrigération et installations adéquates. Un locataire de l'APW s'étonne de la passivité des édiles du chef-lieu de wilaya qui tolèrent les activités d'abattoirs clandestins au niveau de certaines cités périphériques. Ces abattages illicites, qui se déroulent parfois dans l'impunité totale, sont dangereux pour la santé publique car les bêtes ne sont pas contrôlées par les vétérinaires et les carcasses non estampillées sont de qualité douteuse. Un élu déplore des carences inacceptables au niveau de l'abattoir de Guelma, en l'occurence manque d'eau potable, sanitaires infectes, désordre latent, absence de cohésion, vétérinaires débordés par le volume de travail, etc. Convaincu du bien-fondé de ce tableau peu reluisant, le wali a, d'emblée, affirmé que les abattoirs sont soumis à une règlementation rigoureuse que d'aucuns sonttenus de respecter. La responsabilité de la gestion incombe à l'APC qui est propriétaire de ce patrimoine. Il insiste sur le rôle primordial du BCH (Bureau communal d'hygiène) qui englobe un médecin, un véterinaire, des techniciens de la santé et autres, et dont le rôle est prépondérant. Selon lui, le maire est l'animateur du BCH qui a la faculté de prendre des décisions extrêmes afin de préserver la santé et le bien-être de la population. Par le biais de ses vétérinaires, la Direction des services agricoles est tenue de s'impliquer pour mettre le holà aux dépassements et aux carences. Le chef de l'exécutif déplore que l'abattoir de Guelma soit devenu une annexe du parc communal, ce qui est une aberration ! De toute évidence, le wali a pris des décisions fermes pour réhabiliter les abattoirs qui sont actuellement des tueries inadaptées. Les responsables concernés ont été destinataires d'instructions précises et formelles afin de redresser le cap.