Des citoyens de la commune d'El- Asfour, daïra de Ben M'hidi, nous ont signalé que l'eau n'a pas coulé dans les robinets pendant quatre jours, bien que l'on prétende la résolution de ce problème endémique. Il en est de même dans les localités de Loulidja et Aïn Kerma, dans la commune de Zitouna. Des citoyens de la commune d'El- Asfour, daïra de Ben M'hidi, nous ont signalé que l'eau n'a pas coulé dans les robinets pendant quatre jours, bien que l'on prétende la résolution de ce problème endémique. Il en est de même dans les localités de Loulidja et Aïn Kerma, dans la commune de Zitouna. De fréquentes coupures d'alimentation en eau potable sont enregistrées ces deux dernières semaines par les habitants de plusieurs agglomérations de la wilaya. D'autres sont soumises à des mesures restrictives où le liquide précieux n'arrive dans le robinet qu'une heure ou deux tous les deux jours. Des citoyens de la commune d'El- Asfour, daïra de Ben M'hidi, nous ont signalé que l'eau n'a pas coulé dans les robinets pendant quatre jours, bien que l'on prétende la résolution de ce problème endémique. Il en est de même dans les localités de Loulidja, Aïn Kerma, dans la commune de Zitouna. Là c'est vraiment le calvaire pour ce hameau depuis que la municipalité est approvionnée depuis le barrage de Mexa, dans la commune de Bougous. Il est temps de mettre un terme à ce manque surtout quand on sait que la saison estivale s'annonce déjà caniculaire. En outre, la qualité de l'eau au niveau de certaines municipalités demeure douteuse. Elle est d'un goût repoussant et saumâtre, en particulier dans les localités de la plaine ouest, regroupant les daïras de Besbès et Dréan. Les ménagères ne l'utilisent généralement que pour le blanchissage des vêtements. Même dans ce cas de figure, «elle nous pose problème», nous avise un père de famille. Signalons que la population de Asfour est approvisionnée à partir de plusieurs forages traités et d'une des meilleures sources de la région. Les tuyaux alimentant l'unité sidérurgique passe juste à côté, mais il se trouve que plusieurs citoyens ne sont pas raccordés. Les canalisations d'eau captée du barrage Bounamoussa (Cheffia), qui traversent le territoire communal, ne desservent pas les ménagères de cette municipalité. Le barrage alimente en eau industrielle le géant métallurgique SNS El-Hadjar en eau potable, une partie de la ville d'Annaba et assure l'irrigation du périmètre des plaines annabies, en particulier les terres de la daïra de Ben M'hidi. Pour de nombreux citoyens, les réfections des différentes canalisations d'alimentation en eau potable effectuées récemment à coup de millions de centimes ne semblent pas avoir résolu le problème qui s'est posé avec acuité les précédentes années. L'on dénombre sur le tronçon plusieurs fuites d'eau même en milieu urbain. La plus importante est celle qui dure un peu plus de deux trimestres. En effet, sur l'autre tronçon Zitouna-El Tarf, l'eau continue de couler inutilement dans la nature au grand bonheur des éleveurs de bétail. Récemment, l'on a enregistré plus d'une vingtaine de fuites à travers la wilaya. Les ressources en eau sont disponibles au niveau de cette wilaya mais le problème qui se pose presque pour tous les secteurs c'est savoir les gérer. De fréquentes coupures d'alimentation en eau potable sont enregistrées ces deux dernières semaines par les habitants de plusieurs agglomérations de la wilaya. D'autres sont soumises à des mesures restrictives où le liquide précieux n'arrive dans le robinet qu'une heure ou deux tous les deux jours. Des citoyens de la commune d'El- Asfour, daïra de Ben M'hidi, nous ont signalé que l'eau n'a pas coulé dans les robinets pendant quatre jours, bien que l'on prétende la résolution de ce problème endémique. Il en est de même dans les localités de Loulidja, Aïn Kerma, dans la commune de Zitouna. Là c'est vraiment le calvaire pour ce hameau depuis que la municipalité est approvionnée depuis le barrage de Mexa, dans la commune de Bougous. Il est temps de mettre un terme à ce manque surtout quand on sait que la saison estivale s'annonce déjà caniculaire. En outre, la qualité de l'eau au niveau de certaines municipalités demeure douteuse. Elle est d'un goût repoussant et saumâtre, en particulier dans les localités de la plaine ouest, regroupant les daïras de Besbès et Dréan. Les ménagères ne l'utilisent généralement que pour le blanchissage des vêtements. Même dans ce cas de figure, «elle nous pose problème», nous avise un père de famille. Signalons que la population de Asfour est approvisionnée à partir de plusieurs forages traités et d'une des meilleures sources de la région. Les tuyaux alimentant l'unité sidérurgique passe juste à côté, mais il se trouve que plusieurs citoyens ne sont pas raccordés. Les canalisations d'eau captée du barrage Bounamoussa (Cheffia), qui traversent le territoire communal, ne desservent pas les ménagères de cette municipalité. Le barrage alimente en eau industrielle le géant métallurgique SNS El-Hadjar en eau potable, une partie de la ville d'Annaba et assure l'irrigation du périmètre des plaines annabies, en particulier les terres de la daïra de Ben M'hidi. Pour de nombreux citoyens, les réfections des différentes canalisations d'alimentation en eau potable effectuées récemment à coup de millions de centimes ne semblent pas avoir résolu le problème qui s'est posé avec acuité les précédentes années. L'on dénombre sur le tronçon plusieurs fuites d'eau même en milieu urbain. La plus importante est celle qui dure un peu plus de deux trimestres. En effet, sur l'autre tronçon Zitouna-El Tarf, l'eau continue de couler inutilement dans la nature au grand bonheur des éleveurs de bétail. Récemment, l'on a enregistré plus d'une vingtaine de fuites à travers la wilaya. Les ressources en eau sont disponibles au niveau de cette wilaya mais le problème qui se pose presque pour tous les secteurs c'est savoir les gérer.
