Le film «Hors la loi», de Rachid Bouchareb sera projeté en avant-première, le 21 mai, simultanément à la salle El Mouggar et au Festival de Cannes. Par ailleurs, on apprend que l'Italienne, Sandra Belluci, remplacera la comédienne française d'origine algérienne, Isabelle Adjani, dans «Parfums d'Alger» de Rachid Benhadj. Le film «Hors la loi», de Rachid Bouchareb sera projeté en avant-première, le 21 mai, simultanément à la salle El Mouggar et au Festival de Cannes. Par ailleurs, on apprend que l'Italienne, Sandra Belluci, remplacera la comédienne française d'origine algérienne, Isabelle Adjani, dans «Parfums d'Alger» de Rachid Benhadj. Le cinéma algérien ne cesse de faire parler de lui depuis quelques jours. Cela vaut surtout pour le film de Rachid Bouchareb qui soulève actuellement la polémique alors qu'il est programmé au festival de Cannes. S'ajoute le départ inattendu de la comédienne française d'origine algérienne Isabelle Adjani qui a provoqué l'arrêt du tournage de «Parfums d'Alger», de Rachid Benhadj. Ce dernier, pour rappel, a appelé dernièrement à la sagesse en précisant que le débat malsain a été engagé par des personnes qui n'ont pas vu le film. «Hors la loi, a-t-il soutenu, est un film de fiction, une saga qui raconte l'histoire de trois frères algériens et de leur mère sur une période de plus de trente-cinq ans, du milieu des années trente à l'indépendance de l'Algérie en 1962». Il faut dire que la sélection de Hors la loi au festival de Cannes, sous la bannière de l'Algérie, et qui concourt pour la Palme d'or, soulève des vagues, l'extrême droite et la presse française ne voyant pas ce film d'un bon œil. Pour les néocolonialistes, les associations de harkis et les pieds noirs, ce film est la résultante d' une «falsification de l'histoire». La presse française, quant à elle, ne lâche pas du lest, l'encre ne cesse de noircir des pages entières de journaux, à l'image du magazine Le Point qui revient sur le financement du film. Selon cette publication, «même s'il concourt à Cannes sous les couleurs de l'Algérie, "Hors la loi", de Rachid Bouchareb, est un film majoritairement français». D'après ce journal et selon les critères du Centre national du cinéma et de l'image animée (CNC) «le financement du film provient à 59 % de la France, à 21 % de l'Algérie, à 10 % de la Tunisie et à 10 % de la Belgique. Le devis du film atteint, au total, 20,55 millions d'euros. Il s'agit du quatrième devis français en 2009. Le CNC a fourni une aide sous la forme d'une avance sur recette de 650.000 euros. La commission de la diversité a apporté, quant à elle, 50.000 euros. Le film est également soutenu par les filiales cinéma de France 2, France 3 et StudioCanal». Nonobstant toutes ces accusations et attaques, le film sera projeté simultanément le vendredi 21 mai au festival de Cannes et à la salle El Mouggar à partir de 9 heures. Un second film fait aussi les choux gras de la presse : il s'agit de «Parfums d'Alger» dont le tournage vient de subir un arrêt brutal suite au départ d'Isabelle Adjani. C'est l'Italienne Sandra Belluci qui la remplacerai. Le cinéma algérien ne cesse de faire parler de lui depuis quelques jours. Cela vaut surtout pour le film de Rachid Bouchareb qui soulève actuellement la polémique alors qu'il est programmé au festival de Cannes. S'ajoute le départ inattendu de la comédienne française d'origine algérienne Isabelle Adjani qui a provoqué l'arrêt du tournage de «Parfums d'Alger», de Rachid Benhadj. Ce dernier, pour rappel, a appelé dernièrement à la sagesse en précisant que le débat malsain a été engagé par des personnes qui n'ont pas vu le film. «Hors la loi, a-t-il soutenu, est un film de fiction, une saga qui raconte l'histoire de trois frères algériens et de leur mère sur une période de plus de trente-cinq ans, du milieu des années trente à l'indépendance de l'Algérie en 1962». Il faut dire que la sélection de Hors la loi au festival de Cannes, sous la bannière de l'Algérie, et qui concourt pour la Palme d'or, soulève des vagues, l'extrême droite et la presse française ne voyant pas ce film d'un bon œil. Pour les néocolonialistes, les associations de harkis et les pieds noirs, ce film est la résultante d' une «falsification de l'histoire». La presse française, quant à elle, ne lâche pas du lest, l'encre ne cesse de noircir des pages entières de journaux, à l'image du magazine Le Point qui revient sur le financement du film. Selon cette publication, «même s'il concourt à Cannes sous les couleurs de l'Algérie, "Hors la loi", de Rachid Bouchareb, est un film majoritairement français». D'après ce journal et selon les critères du Centre national du cinéma et de l'image animée (CNC) «le financement du film provient à 59 % de la France, à 21 % de l'Algérie, à 10 % de la Tunisie et à 10 % de la Belgique. Le devis du film atteint, au total, 20,55 millions d'euros. Il s'agit du quatrième devis français en 2009. Le CNC a fourni une aide sous la forme d'une avance sur recette de 650.000 euros. La commission de la diversité a apporté, quant à elle, 50.000 euros. Le film est également soutenu par les filiales cinéma de France 2, France 3 et StudioCanal». Nonobstant toutes ces accusations et attaques, le film sera projeté simultanément le vendredi 21 mai au festival de Cannes et à la salle El Mouggar à partir de 9 heures. Un second film fait aussi les choux gras de la presse : il s'agit de «Parfums d'Alger» dont le tournage vient de subir un arrêt brutal suite au départ d'Isabelle Adjani. C'est l'Italienne Sandra Belluci qui la remplacerai.