Une pépinière capable de produire un million de plants d'arbres forestiers par année, fonctionnant selon des procédés modernes, sera opérationnelle au cours du 2e semestre 2010 à Khenchela, apprend-on, samedi, de la Conservation des forêts. Inscrite en 2006 au titre du programme de relance économique, cette pépinière de 40 hectares est implantée sur les hauteurs de la région de Chabor surplombant la ville de Khenchela. Elle est appelée, à terme, à satisfaire les besoins locaux et régionaux en plants d'essences forestières, dont le cèdre de l'Atlas et le pin d'Alep pour les actions de reboisement, de réhabilitation des aires forestières ravagées par des incendies et d'embellissement des espaces et jardins publics. Un intérêt "particulier" est actuellement accordé par la Conservation des forêts à la production des plants de cèdre de l'Atlas, nécessaires pour la régénération de cédraies affectées par les coupes illicites ou les feux, notamment dans les massifs de Beni Oudjana et Beni Melloul. Les graines utilisées par la pépinière proviendront des meilleures variétés d'arbres peuplant les forêts locales, tandis que les techniques modernes qui y seront utilisées permettront de produire des plants "prêts à mettre en terre en 9 mois" contre 18 mois selon la technique traditionnelle, affirment les techniciens du secteur forestier. A terme, la pépinière sera parallèlement utilisée comme champ d'expériences pour les étudiants de la future école nationale des forêts dont les travaux de réalisation ont été lancés en mars dernier. Cette école accueillera un millier d'étudiants et disposera d'une résidence de 500 lits, rappelle-t-on. APS Une pépinière capable de produire un million de plants d'arbres forestiers par année, fonctionnant selon des procédés modernes, sera opérationnelle au cours du 2e semestre 2010 à Khenchela, apprend-on, samedi, de la Conservation des forêts. Inscrite en 2006 au titre du programme de relance économique, cette pépinière de 40 hectares est implantée sur les hauteurs de la région de Chabor surplombant la ville de Khenchela. Elle est appelée, à terme, à satisfaire les besoins locaux et régionaux en plants d'essences forestières, dont le cèdre de l'Atlas et le pin d'Alep pour les actions de reboisement, de réhabilitation des aires forestières ravagées par des incendies et d'embellissement des espaces et jardins publics. Un intérêt "particulier" est actuellement accordé par la Conservation des forêts à la production des plants de cèdre de l'Atlas, nécessaires pour la régénération de cédraies affectées par les coupes illicites ou les feux, notamment dans les massifs de Beni Oudjana et Beni Melloul. Les graines utilisées par la pépinière proviendront des meilleures variétés d'arbres peuplant les forêts locales, tandis que les techniques modernes qui y seront utilisées permettront de produire des plants "prêts à mettre en terre en 9 mois" contre 18 mois selon la technique traditionnelle, affirment les techniciens du secteur forestier. A terme, la pépinière sera parallèlement utilisée comme champ d'expériences pour les étudiants de la future école nationale des forêts dont les travaux de réalisation ont été lancés en mars dernier. Cette école accueillera un millier d'étudiants et disposera d'une résidence de 500 lits, rappelle-t-on. APS
