Le projet des 100 locaux commerciaux, lancé depuis plus de sept ans, n'a malheureusement pas connu sa vitesse de coisière. Le projet des 100 locaux commerciaux, lancé depuis plus de sept ans, n'a malheureusement pas connu sa vitesse de coisière. Ce projet visant à faire diminuer le chômage peine à être finalisé dans certaines communes tandis que d'autres n'ont même pas entamé les travaux pour la réalisation de ces locaux pour de multiples raisons ; manque de foncier, absence de moyens ou encore parce que le feu vert de la wilaya ne leur a pas été encore donné. Destinée normalement à relancer l'activité dans les communes algéroises, l'opération "100 locaux par commune" enregistre un immense retard. Ces locaux devraient participer à créer plus de 11.400 postes de travail à travers la capitale au profit des chômeurs de 18 à 50 ans dans divers créneaux de services et d'artisanat et avec une moyenne de deux personnes par commerce. Pour la commune de Sidi Mhamed par exemple la rareté du foncier a, selon Salah Oubahi, secrétaire général de la commune, réellement retardé le projet. Il faut dire que sur les 5.200 locaux accordés, seuls 2.100 sont achevés et presque le même chiffre est toujours en cours de réalisation, nous a indiqué ce responsable. Cette opération a pour but d'atténuer, un tant soit peu, le taux de chômage et encourager les jeunes dotés d'une formation professionnelle à pouvoir exercer leur profession, tout en recrutant un ou deux autres chômeurs. Ces locaux leur permettent ainsi de démarrer des petites entreprises. En dépit que ce projet connaîsse un grand engouement à travers l'ensemble des communes de la capitale : rares sont celles qui l'ont finalisé. Baraki, Kouba, Ouled Chbel, Rouiba, Birtouta, Zéralda et Tessala El Merdja ont réussi à le mener à bien. D'autres communes ont rencontré certains problèmes qui ont ralenti la réalisation de ces locaux ou leur attribution. Des conditions strictes sont en effet édictées pour pouvoir bénéficier de ces locaux, ce qui augmente le désarroi des jeunes qui ont tellement attendu la réalisation de ce projet pour sortir du chômage, à l'instar des jeunes de la commune de Bab Ezzouar qui attendent en vain l'achèvement de leur quota qui semble trainer en longueur depuis plus de trois ans à cause du manque de professionalisme de certaines entreprises retenues pour la réalisation et qui se sont succédé sur ce projet depuis maintenant un an. Il faut aussi noter qu'au début, ce projet a connu un grand engouement à travers l'ensemble des communes de la capitale, mais la désillusion a été au bout de l'attente et la désillution a été au prorata des espoirs. Force est de constater que les bénéficiaires n'ont pas été, du moins pour la plupart d'entre eux, des jeunes nécessiteux et aussi et jusqu'aujourd'hui aucun local n'a été accordé à personne pour de diverses raisons, telle la découverte des faux bénéficiaires n'ouvrant pas droit à ce programme. A ce sujet, il est utile de préciser que la commune de Belouizdad a dû reporter la distribution de ses locaux après avoir découvert, sur la liste des futurs bénéficiaires, des intrus n'ouvrant pas droit à ce programme, apprend-on auprès des responsables de cette localité. D'autres communes, elles, ont eu du mal à réaliser ces locaux à cause du problème du foncier à l'instar de Bir Mourad Raïs, Hraoua et Khraissia qui se plaignent à ce jour d'un véritable problème du foncier participant à faire ralentir de nombreux projets.Le résultat est là, à savoir la frustration et privation des jeunes de leur droit à l'emploi en les laissant livrés à eux-mêmes sans perspective qui puisse leur faire éviter les griffes des divers fléaux les guettant. Le plus désolant est aussi la situation déplorable des locaux abandonnés dans la nature, sans assainissement ni voirie. Il est à souligner également que le retard, qui marque jusqu'à aujourd'hui, la distribution de ces locaux participe beaucoup dans l'échec de se programme et la déception des jeunes chômeurs notamment ceux diplômés. Il faut dire aussi que les modalités et les critères d'acquisition sont loins d'être clairs, même les commissions, installées au niveau des chaque commune, «éprouvent les plus grandes difficultés à déterminer qui ouvre droit à ces locaux et donc à établir la liste des bénéficiaires», nous explique-t-on. Le nombre des demandeurs dépasse en fait largement, pratiquement dans toutes les communes, le nombre de locaux existants, ce qui génère l'ire des jeunes exclus de ces listes, qui n'ont pas vraiment de recours . Ce projet visant à faire diminuer le chômage peine à être finalisé dans certaines communes tandis que d'autres n'ont même pas entamé les travaux pour la réalisation de ces locaux pour de multiples raisons ; manque de foncier, absence de moyens ou encore parce que le feu vert de la wilaya ne leur a pas été encore donné. Destinée normalement à relancer l'activité dans les communes algéroises, l'opération "100 locaux par commune" enregistre un immense retard. Ces locaux devraient participer à créer plus de 11.400 postes de travail à travers la capitale au profit des chômeurs de 18 à 50 ans dans divers créneaux de services et d'artisanat et avec une moyenne de deux personnes par commerce. Pour la commune de Sidi Mhamed par exemple la rareté du foncier a, selon Salah Oubahi, secrétaire général de la commune, réellement retardé le projet. Il faut dire que sur les 5.200 locaux accordés, seuls 2.100 sont achevés et presque le même chiffre est toujours en cours de réalisation, nous a indiqué ce responsable. Cette opération a pour but d'atténuer, un tant soit peu, le taux de chômage et encourager les jeunes dotés d'une formation professionnelle à pouvoir exercer leur profession, tout en recrutant un ou deux autres chômeurs. Ces locaux leur permettent ainsi de démarrer des petites entreprises. En dépit que ce projet connaîsse un grand engouement à travers l'ensemble des communes de la capitale : rares sont celles qui l'ont finalisé. Baraki, Kouba, Ouled Chbel, Rouiba, Birtouta, Zéralda et Tessala El Merdja ont réussi à le mener à bien. D'autres communes ont rencontré certains problèmes qui ont ralenti la réalisation de ces locaux ou leur attribution. Des conditions strictes sont en effet édictées pour pouvoir bénéficier de ces locaux, ce qui augmente le désarroi des jeunes qui ont tellement attendu la réalisation de ce projet pour sortir du chômage, à l'instar des jeunes de la commune de Bab Ezzouar qui attendent en vain l'achèvement de leur quota qui semble trainer en longueur depuis plus de trois ans à cause du manque de professionalisme de certaines entreprises retenues pour la réalisation et qui se sont succédé sur ce projet depuis maintenant un an. Il faut aussi noter qu'au début, ce projet a connu un grand engouement à travers l'ensemble des communes de la capitale, mais la désillusion a été au bout de l'attente et la désillution a été au prorata des espoirs. Force est de constater que les bénéficiaires n'ont pas été, du moins pour la plupart d'entre eux, des jeunes nécessiteux et aussi et jusqu'aujourd'hui aucun local n'a été accordé à personne pour de diverses raisons, telle la découverte des faux bénéficiaires n'ouvrant pas droit à ce programme. A ce sujet, il est utile de préciser que la commune de Belouizdad a dû reporter la distribution de ses locaux après avoir découvert, sur la liste des futurs bénéficiaires, des intrus n'ouvrant pas droit à ce programme, apprend-on auprès des responsables de cette localité. D'autres communes, elles, ont eu du mal à réaliser ces locaux à cause du problème du foncier à l'instar de Bir Mourad Raïs, Hraoua et Khraissia qui se plaignent à ce jour d'un véritable problème du foncier participant à faire ralentir de nombreux projets.Le résultat est là, à savoir la frustration et privation des jeunes de leur droit à l'emploi en les laissant livrés à eux-mêmes sans perspective qui puisse leur faire éviter les griffes des divers fléaux les guettant. Le plus désolant est aussi la situation déplorable des locaux abandonnés dans la nature, sans assainissement ni voirie. Il est à souligner également que le retard, qui marque jusqu'à aujourd'hui, la distribution de ces locaux participe beaucoup dans l'échec de se programme et la déception des jeunes chômeurs notamment ceux diplômés. Il faut dire aussi que les modalités et les critères d'acquisition sont loins d'être clairs, même les commissions, installées au niveau des chaque commune, «éprouvent les plus grandes difficultés à déterminer qui ouvre droit à ces locaux et donc à établir la liste des bénéficiaires», nous explique-t-on. Le nombre des demandeurs dépasse en fait largement, pratiquement dans toutes les communes, le nombre de locaux existants, ce qui génère l'ire des jeunes exclus de ces listes, qui n'ont pas vraiment de recours .