Azzeffoun, cette cité légendaire, est sans nul doute l'une des plus belles villes côtières d'Algérie. Une région où se côtoie, dans une parfaite symbiose, la montagne et la mer et où les hautes cimes disputent à la Grande Bleue sa splendeur et la beauté de ses sites. Azzeffoun, cette cité légendaire, est sans nul doute l'une des plus belles villes côtières d'Algérie. Une région où se côtoie, dans une parfaite symbiose, la montagne et la mer et où les hautes cimes disputent à la Grande Bleue sa splendeur et la beauté de ses sites. Des paysages restés pour la plupart à l'état vierge, entourent une ville accueillante et prospère, témoin d'un riche patrimoine et d'une histoire aux racines profondes. La présence de l'homme dans cette région, remonte à des temps immémoriaux, la découverte des dolmens dans le village d'Ait Rahouna en est une preuve édifiante. D'ailleurs chercheurs historiens et archéologues sont unanimes à souligner que l'antique Ruzasus, sur laquelle sera construit par la suite le village kabyle ‘‘Thaddart Ouzzeffoun'', a été édifiée par les Romains à l'époque de l'invasion de l'Afrique du Nord. Ces derniers, fidèles à leur stratégie guerrière, choisirent le sommet de la montagne pour y bâtir la ville, surplombant ainsi la mer et les vallées environnantes. Les Français qui envahirent cette contrée aux alentours de 1870, donnèrent à Azzeffoun le nom de Port Gueydon, en hommage à l'amiral Comte Louis Henri De Gueydon, gouverneur général de l'Algérie d'avril 1871 à juin 1873. Ce dernier y avait érigé le premier port qui portera son nom jusqu'à la fin du siècle. L'histoire rapporte que l'ancêtre fondateur de cette ville, distante du chef lieu de wilaya de quelque 60 km, est un marabout du nom de Sidi Ahmed Ou Youcef, originaire de Milliana qui vint s'y installer pour y prêcher la parole de Dieu. Ce dernier épousera raconte t-on, une fille de la région et eu d'elle sept garçons. Ces derniers fondirent à leur tour les sept villages environnants à savoir Ighil Mhand, Taguemount, Taâinsert, Oulkhou (village de Tahar Djaout), Agni n Rihan, Thifzouine et Ath Wendlous. Les originaires de ce dernier village seront, parait-il, des rescapés Andalous chassés d'Espagne après la prise de Séville par la reconquista, d'où le nom d'Ath Wendlous, (les gens de l'Andalousie). Azzeffoun, c'est aussi ce gisement inépuisable d'artistes et autres hommes de culture, qui ont marqué en lettres d'or l'histoire de leur pays. Parmi ces artistes dont la plupart se sont enracinés dans La Casbah d'Alger, on peut citer Mohamed Issiakhem, Mohamed Iguerbouchen,Tahar Djaout, Abderrahmane Lounès, Mohamed et Saïd Hilmi, Mohamed Iftissen, Mohamed-Essaid Fellag, Rouiched et Mustapha Badie. Dans la chanson, particulièrement le chaabi, Azzeffoun aura enfanté Hadj Mhamed El Anka, Cheikh Omar Mekraza, Hadj M'Rizek, Boudjemaa El Ankis, Abdelkader Chercham et tant d'autres exégètes à l'image des cheikhs Abu Yaala Ezouaoui, Mohammed Saleh Essadik, Baziz Ben Amar et cheikh Mohand Tazrout. Des paysages restés pour la plupart à l'état vierge, entourent une ville accueillante et prospère, témoin d'un riche patrimoine et d'une histoire aux racines profondes. La présence de l'homme dans cette région, remonte à des temps immémoriaux, la découverte des dolmens dans le village d'Ait Rahouna en est une preuve édifiante. D'ailleurs chercheurs historiens et archéologues sont unanimes à souligner que l'antique Ruzasus, sur laquelle sera construit par la suite le village kabyle ‘‘Thaddart Ouzzeffoun'', a été édifiée par les Romains à l'époque de l'invasion de l'Afrique du Nord. Ces derniers, fidèles à leur stratégie guerrière, choisirent le sommet de la montagne pour y bâtir la ville, surplombant ainsi la mer et les vallées environnantes. Les Français qui envahirent cette contrée aux alentours de 1870, donnèrent à Azzeffoun le nom de Port Gueydon, en hommage à l'amiral Comte Louis Henri De Gueydon, gouverneur général de l'Algérie d'avril 1871 à juin 1873. Ce dernier y avait érigé le premier port qui portera son nom jusqu'à la fin du siècle. L'histoire rapporte que l'ancêtre fondateur de cette ville, distante du chef lieu de wilaya de quelque 60 km, est un marabout du nom de Sidi Ahmed Ou Youcef, originaire de Milliana qui vint s'y installer pour y prêcher la parole de Dieu. Ce dernier épousera raconte t-on, une fille de la région et eu d'elle sept garçons. Ces derniers fondirent à leur tour les sept villages environnants à savoir Ighil Mhand, Taguemount, Taâinsert, Oulkhou (village de Tahar Djaout), Agni n Rihan, Thifzouine et Ath Wendlous. Les originaires de ce dernier village seront, parait-il, des rescapés Andalous chassés d'Espagne après la prise de Séville par la reconquista, d'où le nom d'Ath Wendlous, (les gens de l'Andalousie). Azzeffoun, c'est aussi ce gisement inépuisable d'artistes et autres hommes de culture, qui ont marqué en lettres d'or l'histoire de leur pays. Parmi ces artistes dont la plupart se sont enracinés dans La Casbah d'Alger, on peut citer Mohamed Issiakhem, Mohamed Iguerbouchen,Tahar Djaout, Abderrahmane Lounès, Mohamed et Saïd Hilmi, Mohamed Iftissen, Mohamed-Essaid Fellag, Rouiched et Mustapha Badie. Dans la chanson, particulièrement le chaabi, Azzeffoun aura enfanté Hadj Mhamed El Anka, Cheikh Omar Mekraza, Hadj M'Rizek, Boudjemaa El Ankis, Abdelkader Chercham et tant d'autres exégètes à l'image des cheikhs Abu Yaala Ezouaoui, Mohammed Saleh Essadik, Baziz Ben Amar et cheikh Mohand Tazrout.