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Machaho ou le cinéma amazigh à l'écran
Belkacem Hadjadj
Publié dans Le Midi Libre le 26 - 05 - 2010

Cinéaste producteur depuis les années 90, Belkacem Hadjadj, cet ancien professeur de l'Institut national des sciences de l'information et de la communication (INSIC) d'Alger demeurera toujours la figure de proue du cinéma algérien en général et du cinéma amazigh en particulier.
Lorsqu'il a pris la décision de produire et de réaliser son premier film en tamazigh, d'aucuns ne pensaient pas, à l'époque, que cette production cinématographique, qui vient juste de faire ses premiers pas dans le septième art, allait obtenir autant de succès dans les compétitions nationale et internationale.
Ainsi le film Machaho (Il était une fois…) à la surprise de tout le monde, a pu, depuis sa première projection, aller au delà des attentes, et pulvériser tous les records en matière d'obtention de distinctions et de palmes.
Au Festival méditerranéen de Montpellier par exemple Machaho décrochera en plus de l'Antigone d'or, le premier prix du public. A Ouagadougou (Burkina Faso), il arrachera, avec une rare prouesse, la meilleure interprétation masculine, pour le rôle principal tenu dans le film.
Né le 25 décembre 1950 à Tizi- Ouzou, Belkacem Hadjadj a effectué ses études primaires et secondaires à Saida puis à Oran, tandis que ses études supérieures, il les fera à l'Ecole normale supérieure d'Alger.
Après une thèse de doctoratd e 3ème cycle sous le thème : ‘‘Tradition orale et images en Algérie'', à l'université de Paris Xème, il se lancera dans le cinéma pour réaliser son premier court métrage pour le compte de la TV belge.
De retour en Algérie, il mettra tout son génie créateur au service de son pays et réalisera, tour à tour, une dizaine de courts et longs métrages et des films documentaires, dont principalement Une femme taxi et Taxi El Madjnoun primé à la rencontre du cinéma arabe qui s'est déroulée dans la ville de Sidi Bel Abbes.
El Manara (Le phare), ce long métrage, avec lequel l'Algérie a participé au Festival international du cinéma francophone au Michigan (USA) et qui a subjugué le public américain, figure non seulement parmi les réalisations les plus vues à l'étranger, mais surtout une œuvre cinématographique qui a rehaussé l'image de marque du cinéma algérien.
Cinéaste producteur depuis les années 90, Belkacem Hadjadj, cet ancien professeur de l'Institut national des sciences de l'information et de la communication (INSIC) d'Alger demeurera toujours la figure de proue du cinéma algérien en général et du cinéma amazigh en particulier.
Lorsqu'il a pris la décision de produire et de réaliser son premier film en tamazigh, d'aucuns ne pensaient pas, à l'époque, que cette production cinématographique, qui vient juste de faire ses premiers pas dans le septième art, allait obtenir autant de succès dans les compétitions nationale et internationale.
Ainsi le film Machaho (Il était une fois…) à la surprise de tout le monde, a pu, depuis sa première projection, aller au delà des attentes, et pulvériser tous les records en matière d'obtention de distinctions et de palmes.
Au Festival méditerranéen de Montpellier par exemple Machaho décrochera en plus de l'Antigone d'or, le premier prix du public. A Ouagadougou (Burkina Faso), il arrachera, avec une rare prouesse, la meilleure interprétation masculine, pour le rôle principal tenu dans le film.
Né le 25 décembre 1950 à Tizi- Ouzou, Belkacem Hadjadj a effectué ses études primaires et secondaires à Saida puis à Oran, tandis que ses études supérieures, il les fera à l'Ecole normale supérieure d'Alger.
Après une thèse de doctoratd e 3ème cycle sous le thème : ‘‘Tradition orale et images en Algérie'', à l'université de Paris Xème, il se lancera dans le cinéma pour réaliser son premier court métrage pour le compte de la TV belge.
De retour en Algérie, il mettra tout son génie créateur au service de son pays et réalisera, tour à tour, une dizaine de courts et longs métrages et des films documentaires, dont principalement Une femme taxi et Taxi El Madjnoun primé à la rencontre du cinéma arabe qui s'est déroulée dans la ville de Sidi Bel Abbes.
El Manara (Le phare), ce long métrage, avec lequel l'Algérie a participé au Festival international du cinéma francophone au Michigan (USA) et qui a subjugué le public américain, figure non seulement parmi les réalisations les plus vues à l'étranger, mais surtout une œuvre cinématographique qui a rehaussé l'image de marque du cinéma algérien.


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