L'insuffisance de camions de ramassage fait que les ordures ménagères forment de dangereux et nauséabonds monticules devant les habitations. Les enfants sont les premiers menacés par cette situation, la rue et par extension ces multiples décharges étant leur unique terrain de jeu. L'insuffisance de camions de ramassage fait que les ordures ménagères forment de dangereux et nauséabonds monticules devant les habitations. Les enfants sont les premiers menacés par cette situation, la rue et par extension ces multiples décharges étant leur unique terrain de jeu. D'immenses monticules nauséabonds formés par les ordures ménagères s'amoncellent, depuis quelques jours, devant les habitations du quartier populaire Zoudj Ayoune, situé à la sortie est de la ville de Baraki. L'environnement est gravement menacé, en dehors de l'aspect urbanistique proprement défiguré. Ces multiples décharges se compliquent, encore plus, par des tronçons de routes éventrés, pourtant récemment revêtues, les poubelles sont jetées à même le sol, entravant le mouvement des passants. Elles sont souvent transformées en objets de jeu pour les enfants qui cherchent en cette fin d'année scolaire une aire de jeu pour se défouler. A cause du retard enregistré par les camions de ramassage, les ordures ménagères se sont transformées en véritable calvaire au quotidien pour les habitants de Zoudj Ayoune. Ces derniers ne cesse d'interpeller l'APC pour mettre fin à cette situation alarmante. Celle-ci se plaint, quant à elle, de l'insuffisance de camions de ramassage. Un employé du service d'hygiène au sein de la communa informe, néanmoins de l'imminente dotation du parc roulant d'au moins trois camions bennes pour renforcer le service de ramassage des ordures ménagères. En attendant cette dotation salvatrice les ménages continuent à subir les désagréments de ces ordures qui s'amoncèlent à leurs portes. Les mauvaises odeurs qui s'en dégagent aggravent les maux des personnes atteintes de maladies respiratoires. A l'effet de la chaleur de ce début d'été, les moustiques se mettent de la partie rendant la situation déjà insupportable encore plus invivable. La santé publique est réellement menacée, le SOS des résidants du quartier Zoudj Ayoune est lancé. Ils demandent aux autorités communales de mettre fin à cette situation et stopper le pourrissement du cadre de vie de près de dix mille âmes. D'immenses monticules nauséabonds formés par les ordures ménagères s'amoncellent, depuis quelques jours, devant les habitations du quartier populaire Zoudj Ayoune, situé à la sortie est de la ville de Baraki. L'environnement est gravement menacé, en dehors de l'aspect urbanistique proprement défiguré. Ces multiples décharges se compliquent, encore plus, par des tronçons de routes éventrés, pourtant récemment revêtues, les poubelles sont jetées à même le sol, entravant le mouvement des passants. Elles sont souvent transformées en objets de jeu pour les enfants qui cherchent en cette fin d'année scolaire une aire de jeu pour se défouler. A cause du retard enregistré par les camions de ramassage, les ordures ménagères se sont transformées en véritable calvaire au quotidien pour les habitants de Zoudj Ayoune. Ces derniers ne cesse d'interpeller l'APC pour mettre fin à cette situation alarmante. Celle-ci se plaint, quant à elle, de l'insuffisance de camions de ramassage. Un employé du service d'hygiène au sein de la communa informe, néanmoins de l'imminente dotation du parc roulant d'au moins trois camions bennes pour renforcer le service de ramassage des ordures ménagères. En attendant cette dotation salvatrice les ménages continuent à subir les désagréments de ces ordures qui s'amoncèlent à leurs portes. Les mauvaises odeurs qui s'en dégagent aggravent les maux des personnes atteintes de maladies respiratoires. A l'effet de la chaleur de ce début d'été, les moustiques se mettent de la partie rendant la situation déjà insupportable encore plus invivable. La santé publique est réellement menacée, le SOS des résidants du quartier Zoudj Ayoune est lancé. Ils demandent aux autorités communales de mettre fin à cette situation et stopper le pourrissement du cadre de vie de près de dix mille âmes.