Le nouveau ministre de la Poste et des Technologies de l'Information et de la Communication, M. Moussa Benhamadi, a remis de la semaine écoulée les pendules à l'heure concernant la possibilité de lancer une quatrième licence pour la téléphonie mobile en Algérie. Il a déclaré au cours de la semaine pasée à la radio Chaîne 1 que le ‘'marché national de téléphonie mobile est saturé''. Le nouveau ministre de la Poste et des Technologies de l'Information et de la Communication, M. Moussa Benhamadi, a remis de la semaine écoulée les pendules à l'heure concernant la possibilité de lancer une quatrième licence pour la téléphonie mobile en Algérie. Il a déclaré au cours de la semaine pasée à la radio Chaîne 1 que le ‘'marché national de téléphonie mobile est saturé''. "Trois opérateurs se partagent déjà les parts de marché comme la loi 03-2000 le stipule", a-t-il précisé. A ce sujet, il a rappelé le préjudice qu'a causé le marché de la téléphonie mobile au téléphone fixe. "Durant les années 90, la téléphonie fixe a connu ses moments de gloire, mais depuis l'apparition du téléphone portable, la part de marché du fixe a nettement reculé", a-t-il expliqué. Cependant, M. Benhamadi s'est montré optimiste en estimant que "la généralisation de l'Internet à travers le territoire national permettra au téléphone fixe de reprendre sa place qui lui est destinée". D'ailleurs, Algérie Télécom a lancé une nouvelle solution, la Viosphonie, permettant au client de voir son interlocuteur lors de la communication téléphonique. A cet effet, 400 mille lignes téléphoniques seront créées, dans un premier temps, dans cinq wilayas : Alger, Sétif, Chlef, Constantine et Oran, avant de généraliser cette nouvelle technologie aux autres villes du pays. Interrogé sur la volonté d'Orascom Télécom de vendre sa filiale algérienne Djezzy, le ministre des PTIC n'a pas souhaité s'étaler sur le sujet en déclarant que la "politique de l'Algérie n'a pas changé envers les investisseurs étrangers, néanmoins, ces derniers doivent respecter la législation algérienne". Abordant le dossier Eepad, M. Benhamadi dira que les négociations avec cet opérateur sont rompues depuis quelques mois déjà. "Trois opérateurs se partagent déjà les parts de marché comme la loi 03-2000 le stipule", a-t-il précisé. A ce sujet, il a rappelé le préjudice qu'a causé le marché de la téléphonie mobile au téléphone fixe. "Durant les années 90, la téléphonie fixe a connu ses moments de gloire, mais depuis l'apparition du téléphone portable, la part de marché du fixe a nettement reculé", a-t-il expliqué. Cependant, M. Benhamadi s'est montré optimiste en estimant que "la généralisation de l'Internet à travers le territoire national permettra au téléphone fixe de reprendre sa place qui lui est destinée". D'ailleurs, Algérie Télécom a lancé une nouvelle solution, la Viosphonie, permettant au client de voir son interlocuteur lors de la communication téléphonique. A cet effet, 400 mille lignes téléphoniques seront créées, dans un premier temps, dans cinq wilayas : Alger, Sétif, Chlef, Constantine et Oran, avant de généraliser cette nouvelle technologie aux autres villes du pays. Interrogé sur la volonté d'Orascom Télécom de vendre sa filiale algérienne Djezzy, le ministre des PTIC n'a pas souhaité s'étaler sur le sujet en déclarant que la "politique de l'Algérie n'a pas changé envers les investisseurs étrangers, néanmoins, ces derniers doivent respecter la législation algérienne". Abordant le dossier Eepad, M. Benhamadi dira que les négociations avec cet opérateur sont rompues depuis quelques mois déjà.