Il faut savoir qu'un malade subit une souffrance permanente, qui vient non seulement de sa douleur mais aussi et surtout de son sentiment d'inutilité et de désespoir, des sentiments parfaitement justifiés notamment dans une société qui n'accorde, hélas, pas beaucoup d'attention à ces franges marginalisées. Que dire alors d'un malade démuni qui n'a même pas de quoi se faire soigner, comment peut-il se sentir utile ? Au contraire il se sent comme un fardeau très lourd pour ses proches, la société et même sur la vie. Ces personnes attendent que des âmes charitables interviennent pour les aider pour leurs traitements. Nous souhaitons sensibiliser l'opinion et les pouvoirs publics sur la souffrance et les maladies de ces personnes qui dans leur majorité, sont sans ressources financières ; ils ont besoin d'aide sur le plan médicosocial, mais aussi sur le plan psychologique. Il faut dire qu'actuellement, la prise en charge des hémodialysés se limite à l'épuration du sang uniquement durant douze heures par semaine, chose très insuffisante pour des malades, dont la vie est liée à des machines qui les fait pourtant souffrir mais qui les maintient vivants. Pensez avec moi à ces milliers d'enfants atteints d'insuffisance rénale, c'est plus malheureux que tout, un enfant qui réalise que la vie n'est qu'une machine qui l'aide à l'épuration de son sang et de ses reins et que chaque geste qu'il fait, doit être calculé, le pire est de sentir que même cette machine qui donne la vie, n'est pas abordable pour tout le monde, il faut donc acheter sa vie ! Sachez que des centaines d'enfants meurent avant de connaître la joie de vivre, sans jouer, sans se salir, juste parce qu'ils sont malades et ne se font pas soigner régulièrement. Les enfants insuffisants rénaux doivent bénéficier de la prescription de l'hormone de croissance, ce qui n'est pas le cas actuellement ! Pourquoi ? Par manque de moyens ! Pourtant des médicaments existent sur le marché, mais quel père sans ressources peut-il se rapprocher d'un pharmacien pour offrir la vie à son fils, lui qui court pour garder plusieurs autres vivants. Donnant un peu de nous alors pour offrir la vie à un enfant diminué parce que simplement la vie ne serait pas belle sans le sourire d'un enfant!! * Président de l'association Tendre la main de Guelma Il faut savoir qu'un malade subit une souffrance permanente, qui vient non seulement de sa douleur mais aussi et surtout de son sentiment d'inutilité et de désespoir, des sentiments parfaitement justifiés notamment dans une société qui n'accorde, hélas, pas beaucoup d'attention à ces franges marginalisées. Que dire alors d'un malade démuni qui n'a même pas de quoi se faire soigner, comment peut-il se sentir utile ? Au contraire il se sent comme un fardeau très lourd pour ses proches, la société et même sur la vie. Ces personnes attendent que des âmes charitables interviennent pour les aider pour leurs traitements. Nous souhaitons sensibiliser l'opinion et les pouvoirs publics sur la souffrance et les maladies de ces personnes qui dans leur majorité, sont sans ressources financières ; ils ont besoin d'aide sur le plan médicosocial, mais aussi sur le plan psychologique. Il faut dire qu'actuellement, la prise en charge des hémodialysés se limite à l'épuration du sang uniquement durant douze heures par semaine, chose très insuffisante pour des malades, dont la vie est liée à des machines qui les fait pourtant souffrir mais qui les maintient vivants. Pensez avec moi à ces milliers d'enfants atteints d'insuffisance rénale, c'est plus malheureux que tout, un enfant qui réalise que la vie n'est qu'une machine qui l'aide à l'épuration de son sang et de ses reins et que chaque geste qu'il fait, doit être calculé, le pire est de sentir que même cette machine qui donne la vie, n'est pas abordable pour tout le monde, il faut donc acheter sa vie ! Sachez que des centaines d'enfants meurent avant de connaître la joie de vivre, sans jouer, sans se salir, juste parce qu'ils sont malades et ne se font pas soigner régulièrement. Les enfants insuffisants rénaux doivent bénéficier de la prescription de l'hormone de croissance, ce qui n'est pas le cas actuellement ! Pourquoi ? Par manque de moyens ! Pourtant des médicaments existent sur le marché, mais quel père sans ressources peut-il se rapprocher d'un pharmacien pour offrir la vie à son fils, lui qui court pour garder plusieurs autres vivants. Donnant un peu de nous alors pour offrir la vie à un enfant diminué parce que simplement la vie ne serait pas belle sans le sourire d'un enfant!! * Président de l'association Tendre la main de Guelma