L'équipe nationale de football vient de revenir par la grande porte à la phase finale de la plus prestigieuse compétition sportive mondiale. Après une traversée du désert qui aura duré 24 longues années, les Verts renouent avec la Coupe du monde qui se déroule de surcroît pour la première fois en terre africaine. Un retour triomphal amplement mérité pour les capés de Rabah Saâdane, encore lui, au vu du parcours tonitruant réalisé lors des éliminatoires jumelées CAN/Mondial 2010. Les Fennecs ont atteint le dernier carré lors de la Coupe d'Afrique en Angola, en janvier dernier. Une performance qu'ils n'ont pas réalisée depuis l'unique et seul trophée africain décroché en 1990. L'accession de l'EN en Coupe d'Afrique des Nations, arrachée courageusement à Omdurman (Soudan) un certain 17 novembre 2009, au terme d'une rencontre mémorable. Le tir rageur du virevoltant Antar Yahia dans la cage l'Egyptien Issam El-Hadri restera gravé dans les annales du football. Et puis, l'inédite et indescriptible liesse populaire qui avait suivi cette qualification. Autre moment historique, qui renseigne aussi bien sur la frustration des Algériens, nostalgiques de Gijon et de Mexico, mais aussi sur la passion des Algériens pour le sport-roi et le soutien indéfectible pour leur équipe fétiche. D'ailleurs, ils sont des milliers à se déplacer en Afrique du Sud pour soutenir les Verts, comme ils l'ont déjà fait devant l'Egypte au Soudan. Le retour de l'Algérie dans la cour des grands a été également marqué par le climat de tension qui s'est installé avec l'Egypte. Une campagne médiatique sans précédent. Un acharnement sans limites et des événements collatéraux assez importants qui ont entamé sensiblement les relations algéro-égyptiennes. Passons. Les protégés de Rabah Saâdane sont à pied d'œuvre au pays de Mandela. Les Algériens attendent beaucoup des coéquipiers de Karim Ziani. Bien que la tâche ne soit pas du tout facile, le rêve est permis. Les Fennecs sont bel et bien parvenus à mâter les redoutables Eléphants de Côte d'Ivoire en quarts de finales de la CAN, avec l'art et la manière. D'où l'espoir de tous les Algériens. Un espoir que même les faibles résultats obtenus lors des matchs de préparation n'ont pu entamer. Une chose cependant reste sûre : l'Algérie est mondialiste, autrement dit parmi les meilleures 32 équipes du monde, en attendant mieux. C'est déjà un exploit. Il appartient aux Yedba, Boudebouz, Matmour et autres de bien disputer leur entrée en compétition ce dimanche face à la Slovénie. L'équipe nationale de football vient de revenir par la grande porte à la phase finale de la plus prestigieuse compétition sportive mondiale. Après une traversée du désert qui aura duré 24 longues années, les Verts renouent avec la Coupe du monde qui se déroule de surcroît pour la première fois en terre africaine. Un retour triomphal amplement mérité pour les capés de Rabah Saâdane, encore lui, au vu du parcours tonitruant réalisé lors des éliminatoires jumelées CAN/Mondial 2010. Les Fennecs ont atteint le dernier carré lors de la Coupe d'Afrique en Angola, en janvier dernier. Une performance qu'ils n'ont pas réalisée depuis l'unique et seul trophée africain décroché en 1990. L'accession de l'EN en Coupe d'Afrique des Nations, arrachée courageusement à Omdurman (Soudan) un certain 17 novembre 2009, au terme d'une rencontre mémorable. Le tir rageur du virevoltant Antar Yahia dans la cage l'Egyptien Issam El-Hadri restera gravé dans les annales du football. Et puis, l'inédite et indescriptible liesse populaire qui avait suivi cette qualification. Autre moment historique, qui renseigne aussi bien sur la frustration des Algériens, nostalgiques de Gijon et de Mexico, mais aussi sur la passion des Algériens pour le sport-roi et le soutien indéfectible pour leur équipe fétiche. D'ailleurs, ils sont des milliers à se déplacer en Afrique du Sud pour soutenir les Verts, comme ils l'ont déjà fait devant l'Egypte au Soudan. Le retour de l'Algérie dans la cour des grands a été également marqué par le climat de tension qui s'est installé avec l'Egypte. Une campagne médiatique sans précédent. Un acharnement sans limites et des événements collatéraux assez importants qui ont entamé sensiblement les relations algéro-égyptiennes. Passons. Les protégés de Rabah Saâdane sont à pied d'œuvre au pays de Mandela. Les Algériens attendent beaucoup des coéquipiers de Karim Ziani. Bien que la tâche ne soit pas du tout facile, le rêve est permis. Les Fennecs sont bel et bien parvenus à mâter les redoutables Eléphants de Côte d'Ivoire en quarts de finales de la CAN, avec l'art et la manière. D'où l'espoir de tous les Algériens. Un espoir que même les faibles résultats obtenus lors des matchs de préparation n'ont pu entamer. Une chose cependant reste sûre : l'Algérie est mondialiste, autrement dit parmi les meilleures 32 équipes du monde, en attendant mieux. C'est déjà un exploit. Il appartient aux Yedba, Boudebouz, Matmour et autres de bien disputer leur entrée en compétition ce dimanche face à la Slovénie.