Le président de l'Assemblée populaire nationale (APN), Abdelaziz Ziari a souligné que la construction maghrébine est une «exigence» et un «impératif stratégique» pour l'Algérie, affirmant qu'en dépit des obstacles et des difficultés du moment, «nous sommes convaincus que l'avenir de notre pays est avant tout maghrébin avant d'être euro-méditerranéen. Le président de l'Assemblée populaire nationale (APN), Abdelaziz Ziari a souligné que la construction maghrébine est une «exigence» et un «impératif stratégique» pour l'Algérie, affirmant qu'en dépit des obstacles et des difficultés du moment, «nous sommes convaincus que l'avenir de notre pays est avant tout maghrébin avant d'être euro-méditerranéen. A l'ère des grands ensembles régionaux, l'Union du Maghreb arabe peine à trouver ses marques, du moins sur le plan politique. L'intégration économique, elle, est sur la bonne voie. C'est le constat qui s'est dégagé lors des différentes interventions à la 7e session ordinaire du Conseil consultatif de l'UMA. Le président du Conseil de la nation, Abdelkader Bensalah au cours de son intervention, hier à Alger, à cette session a affirmé que le projet de l'UMA «connaît une réelle dynamique, même si son rythme parait modeste et ne nous permet pas vraiment de faire face aux grands défis qui entravent notre processus tels que les problèmes des jeunes, de sécurité, de terrorisme, de crime organisé, de l'émigration, de changements climatiques, de désertification, d'eau et de sécurité alimentaire». Pour le président le président de la chambre haute du Parlement, en dépit de tout ce qui se dit, l'UMA «est aujourd'hui une réalité palpable. Ses mécanismes fonctionnent normalement et lui permettent de prendre des décisions», se référant à «l'intégration économique maghrébine qui ne cesse de se renforcer». Pour preuve le président du Sénat annonce que «la Banque maghrébine de l'investissement et du commerce tiendra sa réunion constitutive à Tunis avant la fin de l'année» et avance que «le projet, portant création de la communauté économique maghrébine, est sur le point d'être finalisé », avouant toutefois que «la préservation des intérêts des pays du Maghreb arabe exige un travail en commun dans un cadre harmonieux et complémentaire dans leurs relations avec l'Union européenne (UE) et les autres ensembles régionaux». Pour Abdelkader Bensalah, il est impératif pour les pays du Mahgreb de «travailler en commun avec résolution et dans un cadre harmonieux et complémentaire afin de préserver nos intérêts et de faire prévaloir nos cartes dans les négociations avec nos partenaires», prévenant qu'«avancer en rangs divisés dans le cadre des zones de libre-échange au niveau euro-méditerranéen et dans nos relations avec l'UE et les autres ensembles régionaux est susceptible d'affaiblir notre position lors des négociations et de nous priver de l'utilisation des cartes gagnantes à notre disposition dans ces négociations». Il a dans ce cadre, appelé les parlementaires à «œuvrer sérieusement à soutenir tous les efforts visant à renforcer l'action maghrébine commune en vue de développer nos pays et de défendre leurs intérêts suprêmes» De son côté, le président de l'Assemblée populaire nationale (APN), Abdelaziz Ziari a souligné que la construction maghrébine est une «exigence» et un «impératif stratégique» pour l'Algérie, affirmant qu'en dépit des obstacles et des difficultés du moment, «nous sommes convaincus que l'avenir de notre pays est avant tout maghrébin avant d'être euro-méditerranéen ou autre». Il a relevé que la présente session du Conseil consultatif «revêt une importance particulière et reflète d'une certaine façon la pérennité de l'UMA et la solidité de ses institutions», précisant que cette pérennité reste, cependant, «tributaire de la vitalité, du dynamisme et de l'efficacité» des institutions qui composent l'Union. A l'ère des grands ensembles régionaux, l'Union du Maghreb arabe peine à trouver ses marques, du moins sur le plan politique. L'intégration économique, elle, est sur la bonne voie. C'est le constat qui s'est dégagé lors des différentes interventions à la 7e session ordinaire du Conseil consultatif de l'UMA. Le président du Conseil de la nation, Abdelkader Bensalah au cours de son intervention, hier à Alger, à cette session a affirmé que le projet de l'UMA «connaît une réelle dynamique, même si son rythme parait modeste et ne nous permet pas vraiment de faire face aux grands défis qui entravent notre processus tels que les problèmes des jeunes, de sécurité, de terrorisme, de crime organisé, de l'émigration, de changements climatiques, de désertification, d'eau et de sécurité alimentaire». Pour le président le président de la chambre haute du Parlement, en dépit de tout ce qui se dit, l'UMA «est aujourd'hui une réalité palpable. Ses mécanismes fonctionnent normalement et lui permettent de prendre des décisions», se référant à «l'intégration économique maghrébine qui ne cesse de se renforcer». Pour preuve le président du Sénat annonce que «la Banque maghrébine de l'investissement et du commerce tiendra sa réunion constitutive à Tunis avant la fin de l'année» et avance que «le projet, portant création de la communauté économique maghrébine, est sur le point d'être finalisé », avouant toutefois que «la préservation des intérêts des pays du Maghreb arabe exige un travail en commun dans un cadre harmonieux et complémentaire dans leurs relations avec l'Union européenne (UE) et les autres ensembles régionaux». Pour Abdelkader Bensalah, il est impératif pour les pays du Mahgreb de «travailler en commun avec résolution et dans un cadre harmonieux et complémentaire afin de préserver nos intérêts et de faire prévaloir nos cartes dans les négociations avec nos partenaires», prévenant qu'«avancer en rangs divisés dans le cadre des zones de libre-échange au niveau euro-méditerranéen et dans nos relations avec l'UE et les autres ensembles régionaux est susceptible d'affaiblir notre position lors des négociations et de nous priver de l'utilisation des cartes gagnantes à notre disposition dans ces négociations». Il a dans ce cadre, appelé les parlementaires à «œuvrer sérieusement à soutenir tous les efforts visant à renforcer l'action maghrébine commune en vue de développer nos pays et de défendre leurs intérêts suprêmes» De son côté, le président de l'Assemblée populaire nationale (APN), Abdelaziz Ziari a souligné que la construction maghrébine est une «exigence» et un «impératif stratégique» pour l'Algérie, affirmant qu'en dépit des obstacles et des difficultés du moment, «nous sommes convaincus que l'avenir de notre pays est avant tout maghrébin avant d'être euro-méditerranéen ou autre». Il a relevé que la présente session du Conseil consultatif «revêt une importance particulière et reflète d'une certaine façon la pérennité de l'UMA et la solidité de ses institutions», précisant que cette pérennité reste, cependant, «tributaire de la vitalité, du dynamisme et de l'efficacité» des institutions qui composent l'Union.