Les exigences du dossier, entrées en vigueur le 4 avril dernier, pour l'obtention du passeport biométrique n'ont plus court. Le formulaire administratif «va être réduit à sa plus simple expression. Il n'y aura plus de garant d'école, de l'armée, de collègue de travail ou de répondant», a indiqué à la presse, jeudi à Alger, le ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales, Daho Ould Kablia en marge d'une séance plénière du Conseil de la nation consacrée aux questions orales. Les exigences du dossier, entrées en vigueur le 4 avril dernier, pour l'obtention du passeport biométrique n'ont plus court. Le formulaire administratif «va être réduit à sa plus simple expression. Il n'y aura plus de garant d'école, de l'armée, de collègue de travail ou de répondant», a indiqué à la presse, jeudi à Alger, le ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales, Daho Ould Kablia en marge d'une séance plénière du Conseil de la nation consacrée aux questions orales. Selon le ministre, «ce formulaire reprendra les renseignements de l'ancienne fiche verte pour l'obtention du passeport international traditionnel», précisant que «les autres documents, que devaient contenir le dossier d'obtention du passeport biométrique (au nombre de 12), ont été réduits à 5 à savoir notamment l'extrait de naissance 12-S, le certificat de résidence et la carte de groupage». Le gouvernement revoie donc sa copie qui était au départ très contraignante. Une procédure particulièrement lourde à remplir et qui donne lieu à une enquête très précise pour les citoyens désireux d'obtenir le passeport biométrique. Que se soit pour la photo biométrique, sans foulard pour les femmes et sans barbe pour les hommes, la polémique avait fait rage pendant un certain temps avant que gouvernement ne recule sur ces deux points. Les autres exigences pour l'obtention du passeport biométrique ont fait eux aussi couler beaucoup d'encre. Les Algériens ne comprenaient pas le fait qu'ils étaient obligés de remplir, pour obtenir le sésame, un formulaire de douze pages très exhaustif. Moitié arabe, moitié français, le questionnaire se divise en plusieurs sections, qui réclament notamment : la profession et l'employeur du demandeur, le parcours scolaire et universitaire complet, un feuillet sur le père, un autre sur la mère du requérant un feuillet sur le «répondant», soit une personne qui «confirme votre identité et vous connaît depuis au moins deux ans». Les explications du ministre de l'Intérieur, à l'époque Noureddine Yazid Zerhouni, n'ont pas convaincu grand-monde quant à l'utilité de ces renseignements. Le gouvernement s'est vu contraint, une nouvelle fois, de revoir sa copie et de l'alléger selon les normes admises universellement, d'autant plus que les services du ministère de l'Intérieur ne sont pas prêts pour le moment à s'engager dans l'ère biométrique. Les premiers passeports ne verront le jour qu'à partir du mois de novembre prochain et cela après divers reports successifs. Les exigences ne sont plus aussi contraignantes qu'elles l'étaient. «Les autres documents, que devaient contenir le dossier d'obtention du passeport biométrique (au nombre de 12), ont été réduits à 5, à savoir notamment l'extrait de naissance 12-S, le certificat de résidence et la carte de groupage», a avancé le ministre qui observe que «pour certains cas, à l'instar des personnes malades ou missionnaires, un passeport, de la forme actuelle, pour une durée de 12 mois, leur est accordé». «Le gouvernement a pris acte des lourdes contraintes rencontrées et soulevées par les citoyens, en décidant d'apporter des allègements aux procédures initiales, allègements que je compte conforter et compléter», avait déclaré, récemment, Ould Kablia. Dont acte pour les citoyens qui voient ainsi le gouvernement répondre à leurs attentes. Selon le ministre, «ce formulaire reprendra les renseignements de l'ancienne fiche verte pour l'obtention du passeport international traditionnel», précisant que «les autres documents, que devaient contenir le dossier d'obtention du passeport biométrique (au nombre de 12), ont été réduits à 5 à savoir notamment l'extrait de naissance 12-S, le certificat de résidence et la carte de groupage». Le gouvernement revoie donc sa copie qui était au départ très contraignante. Une procédure particulièrement lourde à remplir et qui donne lieu à une enquête très précise pour les citoyens désireux d'obtenir le passeport biométrique. Que se soit pour la photo biométrique, sans foulard pour les femmes et sans barbe pour les hommes, la polémique avait fait rage pendant un certain temps avant que gouvernement ne recule sur ces deux points. Les autres exigences pour l'obtention du passeport biométrique ont fait eux aussi couler beaucoup d'encre. Les Algériens ne comprenaient pas le fait qu'ils étaient obligés de remplir, pour obtenir le sésame, un formulaire de douze pages très exhaustif. Moitié arabe, moitié français, le questionnaire se divise en plusieurs sections, qui réclament notamment : la profession et l'employeur du demandeur, le parcours scolaire et universitaire complet, un feuillet sur le père, un autre sur la mère du requérant un feuillet sur le «répondant», soit une personne qui «confirme votre identité et vous connaît depuis au moins deux ans». Les explications du ministre de l'Intérieur, à l'époque Noureddine Yazid Zerhouni, n'ont pas convaincu grand-monde quant à l'utilité de ces renseignements. Le gouvernement s'est vu contraint, une nouvelle fois, de revoir sa copie et de l'alléger selon les normes admises universellement, d'autant plus que les services du ministère de l'Intérieur ne sont pas prêts pour le moment à s'engager dans l'ère biométrique. Les premiers passeports ne verront le jour qu'à partir du mois de novembre prochain et cela après divers reports successifs. Les exigences ne sont plus aussi contraignantes qu'elles l'étaient. «Les autres documents, que devaient contenir le dossier d'obtention du passeport biométrique (au nombre de 12), ont été réduits à 5, à savoir notamment l'extrait de naissance 12-S, le certificat de résidence et la carte de groupage», a avancé le ministre qui observe que «pour certains cas, à l'instar des personnes malades ou missionnaires, un passeport, de la forme actuelle, pour une durée de 12 mois, leur est accordé». «Le gouvernement a pris acte des lourdes contraintes rencontrées et soulevées par les citoyens, en décidant d'apporter des allègements aux procédures initiales, allègements que je compte conforter et compléter», avait déclaré, récemment, Ould Kablia. Dont acte pour les citoyens qui voient ainsi le gouvernement répondre à leurs attentes.