L'exploit des Verts face à l'Angleterre a été salué par les principaux titres de la presse parisienne. Les commentateurs français ont salué ou au moins reconnu la «résistance» des Algériens et leur détermination à offrir à leurs supporters du beau football. Le ton est désormais à l'hommage après le nul de l'EN face à l'un des favoris tout de même de ce Mondial. Nous reproduisons quelques extraits des grands journaux français. D'abord le quotidien Libération , qui s'était permis des propos déplacés à l'encontre de nos joueurs, «Les Anglais, incapables de bousculer un adversaire valeureux, sont troisièmes du groupe, à égalité de points (2) avec les Etats-Unis, deuxièmes grâce à une meilleure attaque. Les Algériens, derniers malgré ce premier point glané, conservent une plus petite chance d'atteindre le prochain tour, conditionnée notamment à un succès impératif sur les Etats-Unis le 23 juin». Le Monde comme aux premiers matchs décrit la joie des Algériens en titrant «Les Algériens fêtent le point arraché à l'ogre anglais». Le journal écrit : «La déception du premier match perdu de l'Algérie (contre la Slovénie) pour son retour à la Coupe du monde après 24 ans d'absence semble passée. Reste à croire que les Fennecs sauront créer l'exploit en battant les Etats-Unis lorsdu dernier match (le 23 juin) pour décrocher une qualification historique en huitièmes de finale». Le Parisien sous le titre «L'Algérie tient tête à l'Angleterre et peut encore espérer» souligne la solidarité des Verts «après son entame en marche arrière face à la Slovénie, l'Algérie, s'est rassurée avec ce nul. A défaut de se montrer réellement dangereux, fautes de véritables munitions offensives, les joueurs ont au moins affiché une belle solidarité. De quoi peut-être les réconcilier avec leurs supporters». Le figaro concède à Rais Mbolhi le titre de joueur du match et relève la déroute britannique «Car si les Anglais ont globalement dominé la partie, ils n'ont jamais été en mesure de déstabiliser le bloc algérien. C'est simple, hormis une reprise au point de penalty de Lampard bien bloquée par MBolhi et une tête de Gerrard sur corner, les rares opportunités anglaises ont été le fruit de tentatives lointaines», puis comparant les deux gardiens le journal écrit «après les «boulettes» du duo Green-Chaouchi lors du premier match, les gardiens étaient attendus au tournant vendredi soir. Et si «Calamity» James n'a pas vraiment eu l'occasion de briller puisque les Algériens n'ont cadré qu'un seul tir, Raïs MBolhi, lui, a pu se mettre en évidence. Titulaire pour la première fois sous le maillot national, le joueur formé à l'Olympique de Marseille a répondu présent sur les rares situations chaudes anglaises. Et grâce à lui, l'Algérie n'a pas encaissé de but. Une première pour le pays en huit matches de Coupe du monde». L'Equipe considère que «l'Algérie a réalisé un bon match face aux Anglais. Techniquement supérieurs, travailleurs, compacts, les Fennecs ont pu compter sur un bon M'Bohli dans les buts. Le portier formé par Marseille a effectué l'arrêt qu'il fallait face à Lampard. En défense, Bougherra a été énorme contre un Rooney qui a pourtant été le joueur le plus combatif sur le terrain». «C'est terrible de se faire siffler par ses supporters, a ensuite lâché l'attaquant de Manchester United après la rencontre. Devant, Ziani et Matmour ont fait des misères à une arrière-garde anglaise terriblement hésitante». Le Journal du Dimanche dans son édition d'hier titre «L'Angleterre muette contre l'Algérie qui a empoché un premier point bien mérité» selon le journal. Le Nouvel Observateur pense que l'Angleterre a été victime de son «arrogance d'une part et de l'excellente organisation de l'équipe nationale». «Bien organisée et très regroupée, elle empêchait les attaquants anglais de s'approcher de la cage de Mbohli. Le jeune gardien algérien sauvait son camp sur la seule occasion sérieuse des Anglais en réalisant une belle parade sur une frappe de Lampard au point de penalty. En deuxième période, l'Angleterre n'arrivait plus à s'approcher de la surface algérienne. «À l'auxerroise», les Fennecs attendaient leur heure et tentaient leur chance sur coups de pied arrêtés. Sans réussite toutefois». Le plus gros tirage de la presse généraliste française Ouest France consacre aussi un long article sur la belle performance des Fennecs. Sous le titre «L'Algérie accroche l'Angleterre et peut rêver» le journal revient sur le match. «Après l'heure de jeu, les Britanniques reprenaient la maîtrise du jeu et Heskey obtenait une balle de but, sur une belle ouverture de Gerrard. Mais la frappe de l'attaquant d'Aston Villa était contrée et finissait en corner (70'). Dans le dernier quart d'heure, le siège promis par Rooney prenait enfin forme et le match se transformait en attaque-défense. Mais la forteresse algérienne tenait le coup jusqu'au bout. Un match nul qui va embarrasser les sujets de Sa Majesté, mais qui n'a rien de dramatique. Les Anglais seront en effet qualifiés pour les huitièmes de finale s'ils battent les Slovènes, pour leur dernier match de poule. Les Fennecs, eux, peuvent toujours rêver. Un succès face aux Etats-Unis, cumulé à une contre-performance anglaise face à la Slovénie, et ils se retrouveraient automatiquement dans le tableau final du Mondial». L'exploit des Verts face à l'Angleterre a été salué par les principaux titres de la presse parisienne. Les commentateurs français ont salué ou au moins reconnu la «résistance» des Algériens et leur détermination à offrir à leurs supporters du beau football. Le ton est désormais à l'hommage après le nul de l'EN face à l'un des favoris tout de même de ce Mondial. Nous reproduisons quelques extraits des grands journaux français. D'abord le quotidien Libération , qui s'était permis des propos déplacés à l'encontre de nos joueurs, «Les Anglais, incapables de bousculer un adversaire valeureux, sont troisièmes du groupe, à égalité de points (2) avec les Etats-Unis, deuxièmes grâce à une meilleure attaque. Les Algériens, derniers malgré ce premier point glané, conservent une plus petite chance d'atteindre le prochain tour, conditionnée notamment à un succès impératif sur les Etats-Unis le 23 juin». Le Monde comme aux premiers matchs décrit la joie des Algériens en titrant «Les Algériens fêtent le point arraché à l'ogre anglais». Le journal écrit : «La déception du premier match perdu de l'Algérie (contre la Slovénie) pour son retour à la Coupe du monde après 24 ans d'absence semble passée. Reste à croire que les Fennecs sauront créer l'exploit en battant les Etats-Unis lorsdu dernier match (le 23 juin) pour décrocher une qualification historique en huitièmes de finale». Le Parisien sous le titre «L'Algérie tient tête à l'Angleterre et peut encore espérer» souligne la solidarité des Verts «après son entame en marche arrière face à la Slovénie, l'Algérie, s'est rassurée avec ce nul. A défaut de se montrer réellement dangereux, fautes de véritables munitions offensives, les joueurs ont au moins affiché une belle solidarité. De quoi peut-être les réconcilier avec leurs supporters». Le figaro concède à Rais Mbolhi le titre de joueur du match et relève la déroute britannique «Car si les Anglais ont globalement dominé la partie, ils n'ont jamais été en mesure de déstabiliser le bloc algérien. C'est simple, hormis une reprise au point de penalty de Lampard bien bloquée par MBolhi et une tête de Gerrard sur corner, les rares opportunités anglaises ont été le fruit de tentatives lointaines», puis comparant les deux gardiens le journal écrit «après les «boulettes» du duo Green-Chaouchi lors du premier match, les gardiens étaient attendus au tournant vendredi soir. Et si «Calamity» James n'a pas vraiment eu l'occasion de briller puisque les Algériens n'ont cadré qu'un seul tir, Raïs MBolhi, lui, a pu se mettre en évidence. Titulaire pour la première fois sous le maillot national, le joueur formé à l'Olympique de Marseille a répondu présent sur les rares situations chaudes anglaises. Et grâce à lui, l'Algérie n'a pas encaissé de but. Une première pour le pays en huit matches de Coupe du monde». L'Equipe considère que «l'Algérie a réalisé un bon match face aux Anglais. Techniquement supérieurs, travailleurs, compacts, les Fennecs ont pu compter sur un bon M'Bohli dans les buts. Le portier formé par Marseille a effectué l'arrêt qu'il fallait face à Lampard. En défense, Bougherra a été énorme contre un Rooney qui a pourtant été le joueur le plus combatif sur le terrain». «C'est terrible de se faire siffler par ses supporters, a ensuite lâché l'attaquant de Manchester United après la rencontre. Devant, Ziani et Matmour ont fait des misères à une arrière-garde anglaise terriblement hésitante». Le Journal du Dimanche dans son édition d'hier titre «L'Angleterre muette contre l'Algérie qui a empoché un premier point bien mérité» selon le journal. Le Nouvel Observateur pense que l'Angleterre a été victime de son «arrogance d'une part et de l'excellente organisation de l'équipe nationale». «Bien organisée et très regroupée, elle empêchait les attaquants anglais de s'approcher de la cage de Mbohli. Le jeune gardien algérien sauvait son camp sur la seule occasion sérieuse des Anglais en réalisant une belle parade sur une frappe de Lampard au point de penalty. En deuxième période, l'Angleterre n'arrivait plus à s'approcher de la surface algérienne. «À l'auxerroise», les Fennecs attendaient leur heure et tentaient leur chance sur coups de pied arrêtés. Sans réussite toutefois». Le plus gros tirage de la presse généraliste française Ouest France consacre aussi un long article sur la belle performance des Fennecs. Sous le titre «L'Algérie accroche l'Angleterre et peut rêver» le journal revient sur le match. «Après l'heure de jeu, les Britanniques reprenaient la maîtrise du jeu et Heskey obtenait une balle de but, sur une belle ouverture de Gerrard. Mais la frappe de l'attaquant d'Aston Villa était contrée et finissait en corner (70'). Dans le dernier quart d'heure, le siège promis par Rooney prenait enfin forme et le match se transformait en attaque-défense. Mais la forteresse algérienne tenait le coup jusqu'au bout. Un match nul qui va embarrasser les sujets de Sa Majesté, mais qui n'a rien de dramatique. Les Anglais seront en effet qualifiés pour les huitièmes de finale s'ils battent les Slovènes, pour leur dernier match de poule. Les Fennecs, eux, peuvent toujours rêver. Un succès face aux Etats-Unis, cumulé à une contre-performance anglaise face à la Slovénie, et ils se retrouveraient automatiquement dans le tableau final du Mondial».