L'incursion sanglante d'une bande de voyous dans l'intérieur d'une maison sise à la cité populaire El-Safsaf, ces derniers jours, et qui s'est soldée par trois blessés graves hospitalisés dans les services de soins intensifs au CHU d'Annaba a mis en émoi toute la ville. L'incursion sanglante d'une bande de voyous dans l'intérieur d'une maison sise à la cité populaire El-Safsaf, ces derniers jours, et qui s'est soldée par trois blessés graves hospitalisés dans les services de soins intensifs au CHU d'Annaba a mis en émoi toute la ville. Les trois membres de la même famille victime de cette incursion, dont une femme enceinte, ont été surpris en pleine nuit par un gang de malfrats armé de couteaux et d'épées et qui les ont sauvagement agressés et laissés gisant entre vie et mort dans un bain de sang. Pour de nombreux citoyens, c'est une affaire qui interpelle vivement les responsables de la sécurité des biens et des personnes. De l'avis général, la recrudescence de la délinquance à Annaba, 4e ville du pays, a dépassé les limites, et que seule une réponse appropriée et musclée des services de sécurité peut mettre fin à cette insécurité chronique dans la ville de Sidi Brahim qui est en passe de devenir une vrai plaque tournante du crime et de la drogue. "En un mois, la ville a enregistré le sinistre record de 5 crimes de sang, et les agressions à l'arme blanche sont devenues monnaie courante", déplore, avec beaucoup de regret, le responsable de l'Association du quartier de la Vieille ville. "Même le Cours de la Révolution, qui est le cœur battant de la ville, est devenu insécurisé", dénoncent, pour leur part, les patrons des kiosques basés sur le Cours. Ces derniers ont, dans une lettre collective adressée au maire, au wali et au chef de la sûreté de la wilaya, exprimé leur crainte de voir les hordes de braqueurs investir durant les soirées nocturnes de la saison estivale ce lieu de détente privilégié des Annabis et des touristes. Cette demande de sécurisation particulière pour protéger le Cours est intervenue suite aux dernières agressions commises par des voyous en état d'ivresse sur de paisibles citoyens attablés aux terrasses des différents kiosques de la place du 19-Mai. Même les étrangers ne sont pas épargnés. Un ingénieur japonais de COJAAL a été récemment sauvagement braqué dans une ruelle de la Vieille ville et détroussé de son portable et de son portefeuille. Son chauffeur qui l'accompagnait a été également aspergé par un jet de bombe lacrymogène et délesté de sa sacoche qui contenait des documents de travail importants pour l'entreprise COJAAL. Les trois membres de la même famille victime de cette incursion, dont une femme enceinte, ont été surpris en pleine nuit par un gang de malfrats armé de couteaux et d'épées et qui les ont sauvagement agressés et laissés gisant entre vie et mort dans un bain de sang. Pour de nombreux citoyens, c'est une affaire qui interpelle vivement les responsables de la sécurité des biens et des personnes. De l'avis général, la recrudescence de la délinquance à Annaba, 4e ville du pays, a dépassé les limites, et que seule une réponse appropriée et musclée des services de sécurité peut mettre fin à cette insécurité chronique dans la ville de Sidi Brahim qui est en passe de devenir une vrai plaque tournante du crime et de la drogue. "En un mois, la ville a enregistré le sinistre record de 5 crimes de sang, et les agressions à l'arme blanche sont devenues monnaie courante", déplore, avec beaucoup de regret, le responsable de l'Association du quartier de la Vieille ville. "Même le Cours de la Révolution, qui est le cœur battant de la ville, est devenu insécurisé", dénoncent, pour leur part, les patrons des kiosques basés sur le Cours. Ces derniers ont, dans une lettre collective adressée au maire, au wali et au chef de la sûreté de la wilaya, exprimé leur crainte de voir les hordes de braqueurs investir durant les soirées nocturnes de la saison estivale ce lieu de détente privilégié des Annabis et des touristes. Cette demande de sécurisation particulière pour protéger le Cours est intervenue suite aux dernières agressions commises par des voyous en état d'ivresse sur de paisibles citoyens attablés aux terrasses des différents kiosques de la place du 19-Mai. Même les étrangers ne sont pas épargnés. Un ingénieur japonais de COJAAL a été récemment sauvagement braqué dans une ruelle de la Vieille ville et détroussé de son portable et de son portefeuille. Son chauffeur qui l'accompagnait a été également aspergé par un jet de bombe lacrymogène et délesté de sa sacoche qui contenait des documents de travail importants pour l'entreprise COJAAL.