Alors même que la saison estivale n'a pas véritablement atteint sa vitesse de croisière, l'on assiste déjà à un foisonnement d'annonces à travers les artères des localités côtières, où des dizaines de propriétaires de maisons, pour ne pas dire des centaines, affichent leurs intentions de louer leurs habitations durant l'été. Cette nouvelle pratique, qui a fait son petit bonhomme de chemin parmi de nombreuses familles jijeliénnes ces cinq dernières années, notamment, constitue un commerce juteux pour les uns et un moyen pour les autres pour arrondir leurs fins de mois. Longtemps négligé, ce procédé a vite retrouvé ses adeptes avec l'amélioration de la situation sécuritaire dans la région. Il est vrai aussi que le déficit en infrastructures hôtelières, dont souffre la wilaya de Jijel, pour l'accueil des vacanciers, avec à peine plus de 2 mille lits, a contribué grandement à la floraison de la location d'appartements et autres villas. C'est ainsi que de nombreux vacanciers, de passage dans la région, sont attirés par la location d'appartement, au détriment parfois du confort, pourvu qu'ils passent un agréable séjour au bord de la mer. Pour eux, en louant une habitation, ils arrivent à faire des économies, contrairement aux prix pratiqués au niveau des hôtels, jugés exorbitants au vu des commodités de séjour. Quant aux prix proprement pratiqués par ces «loueurs d'occasion», on apprendra qu'ils varient entre 4.500 et 7 mille DA et plus, en fonction de la proximité des habitations de la plage ainsi que de leur ameublement. On ne finira pas sans dire que cette pratique commerciale informelle ne profite guère au Trésor public et échappe totalement au Fisc. Alors même que la saison estivale n'a pas véritablement atteint sa vitesse de croisière, l'on assiste déjà à un foisonnement d'annonces à travers les artères des localités côtières, où des dizaines de propriétaires de maisons, pour ne pas dire des centaines, affichent leurs intentions de louer leurs habitations durant l'été. Cette nouvelle pratique, qui a fait son petit bonhomme de chemin parmi de nombreuses familles jijeliénnes ces cinq dernières années, notamment, constitue un commerce juteux pour les uns et un moyen pour les autres pour arrondir leurs fins de mois. Longtemps négligé, ce procédé a vite retrouvé ses adeptes avec l'amélioration de la situation sécuritaire dans la région. Il est vrai aussi que le déficit en infrastructures hôtelières, dont souffre la wilaya de Jijel, pour l'accueil des vacanciers, avec à peine plus de 2 mille lits, a contribué grandement à la floraison de la location d'appartements et autres villas. C'est ainsi que de nombreux vacanciers, de passage dans la région, sont attirés par la location d'appartement, au détriment parfois du confort, pourvu qu'ils passent un agréable séjour au bord de la mer. Pour eux, en louant une habitation, ils arrivent à faire des économies, contrairement aux prix pratiqués au niveau des hôtels, jugés exorbitants au vu des commodités de séjour. Quant aux prix proprement pratiqués par ces «loueurs d'occasion», on apprendra qu'ils varient entre 4.500 et 7 mille DA et plus, en fonction de la proximité des habitations de la plage ainsi que de leur ameublement. On ne finira pas sans dire que cette pratique commerciale informelle ne profite guère au Trésor public et échappe totalement au Fisc.