Le mot d'ordre de grève générale, décidé par le syndicat d'Arcelor Mittal a été, hier à partir de 5h du matin, scrupuleusement respecté par l'ensemble des sidérurgistes au niveau des différentes chaînes de production et installations du complexe sidérurgique d'El Hadjar, a confirmé Smaïn Kouadria le SG du bureau syndical, cela via plusieurs SMS envoyés à la presse. "L'usine est complètement paralysée, et à l'exception d'un service minimum maintenu pour certaines fonctions vitales, comme la maintenance et l'entretien du haut-fourneau, tous les autres services sont gelés jusqu'à nouvel ordre…" indique-t-il. Même l'unité du port d'Annaba a connu hier une interruption des activités d'approvisionnement de l'usine puisque sur ordre du syndicat, les travailleurs ont refusé le déchargement d'un bateau de 4 mille tonnes de fonte en gueuse. Côté employeur, le directeur général, Vincent Legouik qui a qualifié la veille, le mouvement de grève d'illégal, car décidé selon lui, en infraction avec les démarches légales exigées par la loi, faisant notamment référence à l'absence de procès-verbal de non conciliation, pièce maîtresse délivrée par l'Inspection de travail avant le déclenchement de tout débrayage, a saisi officiellement la justice, hier matin, en déposant une plainte contre le leader syndical, Smaïn Kouadria en tant que premier responsable des représentants des travailleurs. D'où la réaction immédiate du tribunal d'El Hadjar qui illico presto a convoqué le numéro 1 du syndicat pour comparaître, dans la matinée même, suite à deux plaintes, la première demandant la suspension immédiate de la grève et la seconde engageant des poursuites pour déclenchement d'une grève illégale. Encore une fois, le sort de ce débrayage massif, qui risque d'étrangler financièrement le complexe (La dernière grève à causé un préjudice de six millions de dollars à l'entreprise), reste tributaire de la décision de justice qui sera prononcée par le tribunal d'El Hadjar. Le mot d'ordre de grève générale, décidé par le syndicat d'Arcelor Mittal a été, hier à partir de 5h du matin, scrupuleusement respecté par l'ensemble des sidérurgistes au niveau des différentes chaînes de production et installations du complexe sidérurgique d'El Hadjar, a confirmé Smaïn Kouadria le SG du bureau syndical, cela via plusieurs SMS envoyés à la presse. "L'usine est complètement paralysée, et à l'exception d'un service minimum maintenu pour certaines fonctions vitales, comme la maintenance et l'entretien du haut-fourneau, tous les autres services sont gelés jusqu'à nouvel ordre…" indique-t-il. Même l'unité du port d'Annaba a connu hier une interruption des activités d'approvisionnement de l'usine puisque sur ordre du syndicat, les travailleurs ont refusé le déchargement d'un bateau de 4 mille tonnes de fonte en gueuse. Côté employeur, le directeur général, Vincent Legouik qui a qualifié la veille, le mouvement de grève d'illégal, car décidé selon lui, en infraction avec les démarches légales exigées par la loi, faisant notamment référence à l'absence de procès-verbal de non conciliation, pièce maîtresse délivrée par l'Inspection de travail avant le déclenchement de tout débrayage, a saisi officiellement la justice, hier matin, en déposant une plainte contre le leader syndical, Smaïn Kouadria en tant que premier responsable des représentants des travailleurs. D'où la réaction immédiate du tribunal d'El Hadjar qui illico presto a convoqué le numéro 1 du syndicat pour comparaître, dans la matinée même, suite à deux plaintes, la première demandant la suspension immédiate de la grève et la seconde engageant des poursuites pour déclenchement d'une grève illégale. Encore une fois, le sort de ce débrayage massif, qui risque d'étrangler financièrement le complexe (La dernière grève à causé un préjudice de six millions de dollars à l'entreprise), reste tributaire de la décision de justice qui sera prononcée par le tribunal d'El Hadjar.