Le secrétaire général du FLN, Abdelaziz Belkhadem, à l'entame de son deuxième mandat à la tête du vieux parti, a clairement affiché ses ambitions de hisser au sein de l'échiquier politique national sa formation politique. Ce n'est pas sans peine que le patron du vieux parti est venu à bout de la restructuration de la formation politique qu'il dirige depuis l'éviction de l'ex-secrétaire général, Ali Benflis. Cela a pris du temps et mobiliser beaucoup d'énergie de la direction centrale pour freiner certaines ardeurs et ambitions affichées des membres des différentes structures qui avaient en tête l'idée de se positionner pour se servir de tremplin afin de gravir les échelons lors des élections locales ou nationales. Place maintenant au renouvellement de la composante de ces structures, kasmas et mouhafadath. Il était prévu que cette opération soit menée tambour battant durant cet été pour être au rendez-vous de la rentrée sociale. Il était prévu également de lancer l'opération de renouvellement de ces structures simultanément à partir du 1er juin dernier. Le plan tracé par Abdelaziz Belkhadem comportait des risques que le patron du FLN ne pouvait ignorer. Le clivage entre redresseurs et légalistes ne s'est pas estompé. La sérénité de façade affichée au lendemain du 9e congrès a laissé place à une certaine grogne exprimée par les anciens membres du secrétariat de l'instance exécutive, éliminés de la nouvelle structure, le Bureau politique du parti. Ils seraient tentés de mener la vie dure au secrétaire général, lors de cette opération, où ils sont sûrs de trouver un appui, dans les kasmas et Mouhafadath, des fidèles de Ali Benflis qui ne pardonnent pas à la direction du parti leur marginalisation. En tout état de cause, Abdelaziz Belkhadem compte y avancer doucement. Le renouvellement des kasmas a été dissocié de celui des mouhafadath. Lancé le 1er juin, le renouvellement des kasmas se poursuit selon le calendrier fixé. La clôture est prévue pour octobre prochain. Le parti a mis en place les moyens nécessaires pour réussir l'opération. Ainsi, pas moins de 300 membres du Comité central ont été ventilés sur le territoire national pour encadrer l'assemblée générale dans les six grandes kasmas au Nord et 4 au Sud. Le vieux parti s'attend à ce qu'il y ait des contestations ou des litiges lors de l'opération. Des membres du BP auront la tâche de superviser le déroulement des opérations de vote et, dans le cas où il y a des contestations, une réunion conjointe BP/CC sera habilitée à trancher dans les litiges. Cela pour le renouvellement des kasmas. Pour celui des mouhafadath, les choses risquent d'être plus compliquées.Abdelaziz Belkhadem ne s'aventure pas à chasser deux lièvres à la fois, au risque de perdre sur tous les plans. Sage décision que celle prise de reporter le renouvellement de la composante des mouhafadath courant novembre ou décembre prochain. Le patron ne voudrait pas vivre les mêmes mésaventures vécues lors de l'opération de la restructuration du parti où le FLN a failli imploser, étant dans l'incapacité d'imposer une discipline à toute une faune d'opportunistes, tentés de se frayer un chemin politique à la faveur de l'aura du vieux parti. Le secrétaire général du FLN, Abdelaziz Belkhadem, à l'entame de son deuxième mandat à la tête du vieux parti, a clairement affiché ses ambitions de hisser au sein de l'échiquier politique national sa formation politique. Ce n'est pas sans peine que le patron du vieux parti est venu à bout de la restructuration de la formation politique qu'il dirige depuis l'éviction de l'ex-secrétaire général, Ali Benflis. Cela a pris du temps et mobiliser beaucoup d'énergie de la direction centrale pour freiner certaines ardeurs et ambitions affichées des membres des différentes structures qui avaient en tête l'idée de se positionner pour se servir de tremplin afin de gravir les échelons lors des élections locales ou nationales. Place maintenant au renouvellement de la composante de ces structures, kasmas et mouhafadath. Il était prévu que cette opération soit menée tambour battant durant cet été pour être au rendez-vous de la rentrée sociale. Il était prévu également de lancer l'opération de renouvellement de ces structures simultanément à partir du 1er juin dernier. Le plan tracé par Abdelaziz Belkhadem comportait des risques que le patron du FLN ne pouvait ignorer. Le clivage entre redresseurs et légalistes ne s'est pas estompé. La sérénité de façade affichée au lendemain du 9e congrès a laissé place à une certaine grogne exprimée par les anciens membres du secrétariat de l'instance exécutive, éliminés de la nouvelle structure, le Bureau politique du parti. Ils seraient tentés de mener la vie dure au secrétaire général, lors de cette opération, où ils sont sûrs de trouver un appui, dans les kasmas et Mouhafadath, des fidèles de Ali Benflis qui ne pardonnent pas à la direction du parti leur marginalisation. En tout état de cause, Abdelaziz Belkhadem compte y avancer doucement. Le renouvellement des kasmas a été dissocié de celui des mouhafadath. Lancé le 1er juin, le renouvellement des kasmas se poursuit selon le calendrier fixé. La clôture est prévue pour octobre prochain. Le parti a mis en place les moyens nécessaires pour réussir l'opération. Ainsi, pas moins de 300 membres du Comité central ont été ventilés sur le territoire national pour encadrer l'assemblée générale dans les six grandes kasmas au Nord et 4 au Sud. Le vieux parti s'attend à ce qu'il y ait des contestations ou des litiges lors de l'opération. Des membres du BP auront la tâche de superviser le déroulement des opérations de vote et, dans le cas où il y a des contestations, une réunion conjointe BP/CC sera habilitée à trancher dans les litiges. Cela pour le renouvellement des kasmas. Pour celui des mouhafadath, les choses risquent d'être plus compliquées.Abdelaziz Belkhadem ne s'aventure pas à chasser deux lièvres à la fois, au risque de perdre sur tous les plans. Sage décision que celle prise de reporter le renouvellement de la composante des mouhafadath courant novembre ou décembre prochain. Le patron ne voudrait pas vivre les mêmes mésaventures vécues lors de l'opération de la restructuration du parti où le FLN a failli imploser, étant dans l'incapacité d'imposer une discipline à toute une faune d'opportunistes, tentés de se frayer un chemin politique à la faveur de l'aura du vieux parti.