Le patrimoine archéologique de la wilaya de Jijel se trouve dans un état des plus déplorables, offrant des images affligeantes qui n'honorent en rien l'histoire millénaire de la région. Les cris de détresse lancés depuis des années pour sa sauvegarde semblent, a priori, trouver peu d'écho auprès des autorités locales de la wilaya qui trouvent que cette question ne fait pas partie de leurs priorités de l'heure. Sinon, comment expliquer le fait que les travaux pour la protection des sites archéologiques de Rabta (Jijel), Chobae (Ziama-Mansouriah) et Tissilil (Settara) n'ont pas été lancés, en dépit de l'existence d'une enveloppe financière. Notons ici que le ministère de la Culture a dégagé, il y a une année de cela, quelque 6 milliards de centimes pour l'entame des travaux de préservation des sites précités. A l'époque, la nouvelle a été accueillie favorablement par de nombreux passionnés qui se battent pour la sauvegarde de la mémoire et de l'identité de la région. D'aucuns s'interrogent, d'ailleurs, sur les raisons qui ont retardé le démarrage des travaux de préservation de ce qui reste encore de ce patrimoine en déperdition, lorsqu'on sait que le nerf de tout projet, à savoir l'argent, est disponible. Néanmoins, cela ne doit pas nous occulter une chose : le lancement, à l'avenir, d'un tel projet recommande plus de doigté et nécessite la présence sur les chantiers d'hommes de métier, à savoir des archéologues spécialisés en la matière. Le patrimoine archéologique de la wilaya de Jijel se trouve dans un état des plus déplorables, offrant des images affligeantes qui n'honorent en rien l'histoire millénaire de la région. Les cris de détresse lancés depuis des années pour sa sauvegarde semblent, a priori, trouver peu d'écho auprès des autorités locales de la wilaya qui trouvent que cette question ne fait pas partie de leurs priorités de l'heure. Sinon, comment expliquer le fait que les travaux pour la protection des sites archéologiques de Rabta (Jijel), Chobae (Ziama-Mansouriah) et Tissilil (Settara) n'ont pas été lancés, en dépit de l'existence d'une enveloppe financière. Notons ici que le ministère de la Culture a dégagé, il y a une année de cela, quelque 6 milliards de centimes pour l'entame des travaux de préservation des sites précités. A l'époque, la nouvelle a été accueillie favorablement par de nombreux passionnés qui se battent pour la sauvegarde de la mémoire et de l'identité de la région. D'aucuns s'interrogent, d'ailleurs, sur les raisons qui ont retardé le démarrage des travaux de préservation de ce qui reste encore de ce patrimoine en déperdition, lorsqu'on sait que le nerf de tout projet, à savoir l'argent, est disponible. Néanmoins, cela ne doit pas nous occulter une chose : le lancement, à l'avenir, d'un tel projet recommande plus de doigté et nécessite la présence sur les chantiers d'hommes de métier, à savoir des archéologues spécialisés en la matière.