Le ministre des Affaires étrangères Manouchehr Mottaki a tenu, lors d'une conférence de presse, à préciser que le gel des discussions ne concerne que les négociations avec le groupe 5+1" (les cinq membres permanents du Conseil de sécurité plus l'Allemagne. Le ministre des Affaires étrangères Manouchehr Mottaki a tenu, lors d'une conférence de presse, à préciser que le gel des discussions ne concerne que les négociations avec le groupe 5+1" (les cinq membres permanents du Conseil de sécurité plus l'Allemagne. La polémique est relancée quant à la fabrication par l'Iran de la bombe atomique. La CIA en fait une fixation et avance que l'Iran cultive l'ambiguïté et dispose de suffisamment d'uranium faiblement enrichi pour fabriquer deux bombes nucléaires. Le patron de la CIA Léon Panetta déclarait, dimanche dernier, qu'il fallait à l'Iran une année pour fabriquer la bombe atomique et une autre année pour développer le moyen de la lancer. Téhéran agacé par ces allégations y voit une manœuvre de «guerre psychologique» d'autant que ces propos font suite aux sanctions imposées contre l'Iran. Pour une experte du Centre d'études stratégiques et internationales (CSIS, les deux ans paraissent beaucoup eu regard au volume d'uranium faiblement enrichi estimé à 1.800 kg. Malgré toutes ces supputations, le ministre des Affaires étrangères Manouchehr Mottaki a tenu, lors d'une conférence de presse, à préciser que le gel des discussions ne concerne que les négociations avec le groupe 5+1" (les cinq membres permanents du Conseil de sécurité plus l'Allemagne. Il a en outre déclaré qu'une rencontre avec ses homologues turc et brésilien était en préparation pour évoquer les suites de l'offre d'échange de combustible nucléaire avec les grandes puissances faite en mai par l'Iran avec la caution de la Turquie et du Brésil. Cette offre envisage l'échange en Turquie de 1.200 kilos d'uranium faiblement enrichi iranien contre 120 kilos de combustible enrichi à 20% dont Téhéran dit avoir besoin pour son réacteur de recherche nucléaire. Il reste que La communauté internationale s'inquiète particulièrement de la politique d'enrichissement d'uranium de l'Iran, notamment sa production depuis février d'uranium enrichi à 20%, redoutant que Téhéran ne cherche malgré ses démentis répétés à se doter de l'arme nucléaire Le chef de l'Organisation iranienne de l'énergie atomique, Ali Akbar Salehi, avait pour sa part déclaré le 23 juin dernier,que l'Iran n'était pas pressé de produire en grandes quantités de l'uranium enrichi à 20%. «Nous adapterons notre production en fonction des besoins de l'unité de production des plaques de combustible» pour le réacteur de recherche nucléaire de Téhéran. En réponse à l'initiative turco-brésilienne, la Russie, qui n'a pas agréé, la France et les Etats-Unis ont proposé au directeur général de l'AIEA d'organiser une réunion des experts techniques des trois pays avec des experts iraniens pour résoudre la question de l'approvisionnement en carburant du réacteur de recherche de Téhéran en cas d'accord de l'Iran pour cesser l'enrichissement d'uranium, à 20%, a déclaré mardi dernier, le ministre des Affaires étrangères russes M. Lavrov qui se trouvait à Jérusalem. La Turquie a appelé mardi l'Iran et les grandes puissances à mettre en œuvre un accord d'échange de combustible, dont elle est cosignataire, et de lancer des discussions sur le programme nucléaire de Téhéran, avant qu'il ne soit trop tard, mais le président Ahmadinejad a gelé les discussions jusqu'au au mois d'août avec les grandes puissances sur son programme nucléaire controversé et a posé plusieurs conditions pour leur reprise, en réponse aux nouvelles sanctions adoptées par l'Onu. La polémique est relancée quant à la fabrication par l'Iran de la bombe atomique. La CIA en fait une fixation et avance que l'Iran cultive l'ambiguïté et dispose de suffisamment d'uranium faiblement enrichi pour fabriquer deux bombes nucléaires. Le patron de la CIA Léon Panetta déclarait, dimanche dernier, qu'il fallait à l'Iran une année pour fabriquer la bombe atomique et une autre année pour développer le moyen de la lancer. Téhéran agacé par ces allégations y voit une manœuvre de «guerre psychologique» d'autant que ces propos font suite aux sanctions imposées contre l'Iran. Pour une experte du Centre d'études stratégiques et internationales (CSIS, les deux ans paraissent beaucoup eu regard au volume d'uranium faiblement enrichi estimé à 1.800 kg. Malgré toutes ces supputations, le ministre des Affaires étrangères Manouchehr Mottaki a tenu, lors d'une conférence de presse, à préciser que le gel des discussions ne concerne que les négociations avec le groupe 5+1" (les cinq membres permanents du Conseil de sécurité plus l'Allemagne. Il a en outre déclaré qu'une rencontre avec ses homologues turc et brésilien était en préparation pour évoquer les suites de l'offre d'échange de combustible nucléaire avec les grandes puissances faite en mai par l'Iran avec la caution de la Turquie et du Brésil. Cette offre envisage l'échange en Turquie de 1.200 kilos d'uranium faiblement enrichi iranien contre 120 kilos de combustible enrichi à 20% dont Téhéran dit avoir besoin pour son réacteur de recherche nucléaire. Il reste que La communauté internationale s'inquiète particulièrement de la politique d'enrichissement d'uranium de l'Iran, notamment sa production depuis février d'uranium enrichi à 20%, redoutant que Téhéran ne cherche malgré ses démentis répétés à se doter de l'arme nucléaire Le chef de l'Organisation iranienne de l'énergie atomique, Ali Akbar Salehi, avait pour sa part déclaré le 23 juin dernier,que l'Iran n'était pas pressé de produire en grandes quantités de l'uranium enrichi à 20%. «Nous adapterons notre production en fonction des besoins de l'unité de production des plaques de combustible» pour le réacteur de recherche nucléaire de Téhéran. En réponse à l'initiative turco-brésilienne, la Russie, qui n'a pas agréé, la France et les Etats-Unis ont proposé au directeur général de l'AIEA d'organiser une réunion des experts techniques des trois pays avec des experts iraniens pour résoudre la question de l'approvisionnement en carburant du réacteur de recherche de Téhéran en cas d'accord de l'Iran pour cesser l'enrichissement d'uranium, à 20%, a déclaré mardi dernier, le ministre des Affaires étrangères russes M. Lavrov qui se trouvait à Jérusalem. La Turquie a appelé mardi l'Iran et les grandes puissances à mettre en œuvre un accord d'échange de combustible, dont elle est cosignataire, et de lancer des discussions sur le programme nucléaire de Téhéran, avant qu'il ne soit trop tard, mais le président Ahmadinejad a gelé les discussions jusqu'au au mois d'août avec les grandes puissances sur son programme nucléaire controversé et a posé plusieurs conditions pour leur reprise, en réponse aux nouvelles sanctions adoptées par l'Onu.