Douze nouveaux gènes prédisposant au diabète de type 2, la forme la plus répandue dans le monde, ont été identifiés, ce qui porte à 38 leur nombre au total, selon une étude internationale sur près de 150 mille personnes d'origine européenne. Ces résultats, publiés dimanche en ligne par la revue Nature Genetics, vont permettre de mieux établir le profil des personnes à risque élevé de diabète de type 2 (DT2), notamment chez des sujets jeunes en surpoids et qui ont du diabète dans la famille. Ils devraient également contribuer à la recherche de nouveaux traitements, selon les chercheurs. La nouvelle analyse a permis d'identifier 12 gènes, jusque-là passés inaperçus, relève le Pr Philippe Froguel (Institut Pasteur-Lille/Imperial College London), co-auteur de l'étude. La carte génétique du DT2 comporte, désormais, 38 gènes. La plupart de ces gènes agissent au niveau du pancréas, qui fabrique l'insuline, et la plupart des mutations (anomalies) observées font baisser la production de cette hormone, faisant normalement diminuer le taux de sucre dans le sang. Les recherches se poursuivent sur des mutations plus rares afin d'avancer vers une médecine plus personnalisée de patients. Douze nouveaux gènes prédisposant au diabète de type 2, la forme la plus répandue dans le monde, ont été identifiés, ce qui porte à 38 leur nombre au total, selon une étude internationale sur près de 150 mille personnes d'origine européenne. Ces résultats, publiés dimanche en ligne par la revue Nature Genetics, vont permettre de mieux établir le profil des personnes à risque élevé de diabète de type 2 (DT2), notamment chez des sujets jeunes en surpoids et qui ont du diabète dans la famille. Ils devraient également contribuer à la recherche de nouveaux traitements, selon les chercheurs. La nouvelle analyse a permis d'identifier 12 gènes, jusque-là passés inaperçus, relève le Pr Philippe Froguel (Institut Pasteur-Lille/Imperial College London), co-auteur de l'étude. La carte génétique du DT2 comporte, désormais, 38 gènes. La plupart de ces gènes agissent au niveau du pancréas, qui fabrique l'insuline, et la plupart des mutations (anomalies) observées font baisser la production de cette hormone, faisant normalement diminuer le taux de sucre dans le sang. Les recherches se poursuivent sur des mutations plus rares afin d'avancer vers une médecine plus personnalisée de patients.