Le mois de juillet s'est illustré par un soleil ardent, un taux d'humidité élevé et des températures qui dépassent les 40° C. Des commerçants ont saisi cette opportunité et se sont investis dans le créneau lucratif de l'électroménager, particulièrement dans le froid et la climatisation. Le mois de juillet s'est illustré par un soleil ardent, un taux d'humidité élevé et des températures qui dépassent les 40° C. Des commerçants ont saisi cette opportunité et se sont investis dans le créneau lucratif de l'électroménager, particulièrement dans le froid et la climatisation. D'aucuns s'accordent à reconnaître que la ville de Guelma étouffe chaque été et ce, depuis de nombreuses années, et seuls les climatologues sont en mesure d'expliquer ce phénomène qui empoisonne la vie des autochtones. En effet, le mois de juillet s'est illustré par un soleil ardent, un taux d'humidité élevé et des températures qui atteignent les 40° C, les dépassant allègrement parfois. Les maîtresses de maison calfeutrent leur intérieur pour assurer un minimum de fraîcheur et elles n'ouvrent les volets qu'à la tombée de la nuit. Les enfants ne sont pas autorisés à sortir car les cas d'insolation sont fréquents et qui touchent également les personnes âgées, les bébés, les asthmatiques qui prennent quotidiennement des douches et consomment de l'eau fraîche à volonté. Le chef-lieu de wilaya a la particularité d'abriter des bâtiments collectifs, des villas, des magasins et des édifices publics et privés dôtés de climatiseurs qui fonctionnent sans relâche. C'est à croire que nous sommes au Sahara ou au Mexique, réputé pour son man's land en période estivale ! Des commerçants ont saisi cette opportunité et se sont investis dans le créneau lucratif de l'électroménager, particulièrement dans le froid et la climatisation. Les clients ont l'embarras du choix car ces magasins spécialisés, qui ont pignon sur rue, proposent une large gamme de climatiseurs allant de 9 mille à 12 mille voire 18 mille BTU qui disposent d'un riche label de marques de renommée mondiale. Les prix proposés oscillent entre 28 mille et 52 mille dinars et ces appareils se vendent comme des petits pains car ils sont devenus indispensables et ne sont plus considérés comme un signe d'aisance ou de richesse. Les retraités et les travailleurs de condition modeste font des économies et des prouesses pour acquérir ces climatiseurs qui permettent à la maisonnée de faire la sieste et de dormir la nuit dans un climat de fraîcheur. Une pléiade de jeunes et d'artisans proposent leurs services pour l'installation de ces appareils tant convoités et les tarifs varient entre deux mille et quatre mille dinars. D'autre part, certaines familles optent pour des ventilateurs de différentes dimensions, dont les prix varient entre deux mille dinars et cinq mille dinars. Durant la période estivale, la consommation d'énergie électrique augmente énormément ce qui engendre souvent des délestages ou des coupures momentanées. Les usagers de Sonelgaz appréhendent, à juste titre, la facture salée du troisième trimestre car elle dépasse fréquemment les dix mille dinars ! C'est la rançon du bien-être ! D'aucuns s'accordent à reconnaître que la ville de Guelma étouffe chaque été et ce, depuis de nombreuses années, et seuls les climatologues sont en mesure d'expliquer ce phénomène qui empoisonne la vie des autochtones. En effet, le mois de juillet s'est illustré par un soleil ardent, un taux d'humidité élevé et des températures qui atteignent les 40° C, les dépassant allègrement parfois. Les maîtresses de maison calfeutrent leur intérieur pour assurer un minimum de fraîcheur et elles n'ouvrent les volets qu'à la tombée de la nuit. Les enfants ne sont pas autorisés à sortir car les cas d'insolation sont fréquents et qui touchent également les personnes âgées, les bébés, les asthmatiques qui prennent quotidiennement des douches et consomment de l'eau fraîche à volonté. Le chef-lieu de wilaya a la particularité d'abriter des bâtiments collectifs, des villas, des magasins et des édifices publics et privés dôtés de climatiseurs qui fonctionnent sans relâche. C'est à croire que nous sommes au Sahara ou au Mexique, réputé pour son man's land en période estivale ! Des commerçants ont saisi cette opportunité et se sont investis dans le créneau lucratif de l'électroménager, particulièrement dans le froid et la climatisation. Les clients ont l'embarras du choix car ces magasins spécialisés, qui ont pignon sur rue, proposent une large gamme de climatiseurs allant de 9 mille à 12 mille voire 18 mille BTU qui disposent d'un riche label de marques de renommée mondiale. Les prix proposés oscillent entre 28 mille et 52 mille dinars et ces appareils se vendent comme des petits pains car ils sont devenus indispensables et ne sont plus considérés comme un signe d'aisance ou de richesse. Les retraités et les travailleurs de condition modeste font des économies et des prouesses pour acquérir ces climatiseurs qui permettent à la maisonnée de faire la sieste et de dormir la nuit dans un climat de fraîcheur. Une pléiade de jeunes et d'artisans proposent leurs services pour l'installation de ces appareils tant convoités et les tarifs varient entre deux mille et quatre mille dinars. D'autre part, certaines familles optent pour des ventilateurs de différentes dimensions, dont les prix varient entre deux mille dinars et cinq mille dinars. Durant la période estivale, la consommation d'énergie électrique augmente énormément ce qui engendre souvent des délestages ou des coupures momentanées. Les usagers de Sonelgaz appréhendent, à juste titre, la facture salée du troisième trimestre car elle dépasse fréquemment les dix mille dinars ! C'est la rançon du bien-être !