De toute évidence, ce retour de la fraîcheur constitue une bonne nouvelle pour les citoyens. De la fraîcheur est prévue pour ce week-end selon Algérie météo. De 25 à 32 degrés à Alger et plus de 30 dans les wilayas intérieures. Selon Algérie météo, ce sont des températures saisonnières malgré qu'elles soient de 4 degrés plus élevées que la normale. Cela est dû à une dépression méditerranéenne indique cette source. Depuis plusieurs mois, les différents modèles saisonniers venant des quatre coins de la planète présentaient une tendance mitigée pour l'été. Nous devrions connaître un été très chaud cette année. Ceci plus particulièrement avec des excédents dépassant ponctuellement 4 à 5 degrés, ce qui est remarquable pour une moyenne trimestrielle, indique Algérie Météo! Toutefois, les températures s'annoncent élevées au cours des prochains mois, plus particulièrement pour la fin de la saison. Août pourrait être le mois le plus chaud. C'est vrai que le pays connaît une situation dépressionnaire depuis la mi-mai. Ces dernières semaines, des flux du Sud ont favorisé des remontées pluviométriques instables. Algérie Météo annonce un retour à des températures plus douces après la canicule qui a duré plusieurs jours. Le taux d'humidité avoisinait 29. Au Sud, Illizi et In-Salah, les regions les plus chaudes du pays, pourront enregistrer chacune 42°C. Un premier pic a été franchi le 15 mai avec 32°C. Selon l'Office national de météorologie l'Algérie est sous l'emprise d'un climat semi-aride. Le printemps se manifeste chez nous par des fluctuations. Le pays peut avoir des températures qui dépassent la normale, mais ce n'est pas un phénomène singulier. Une baisse du mercure est donc attendue à partir de ce week-end dans le pays. Ce regain de clémence sera perceptible au Centre, puis à l'Est à partir de demain. De toute évidence, ce retour de la fraîcheur constitue une bonne nouvelle pour les citoyens. En 2007, le mois de juin a été moins torride. Il avait fait 28°C à Alger et 36 à Illizi. Paradoxalement, juillet et août étaient chauds. Septembre quant à lui, s'est distingué par des hausses à hauteur de 36°C qui n'ont plus été enregistrées depuis 50 ans.