les stations de bus de la circonscription administrative de Baraki sont littéralement prises d'assaut par les familles et les nombreux jeunes venant des localités rurales et des sites urbains avoisinants. Les plages de Bordj El-Kiffan et de Bordj El-Bahri en ces journées caniculaires étant la destination de prédilection. les stations de bus de la circonscription administrative de Baraki sont littéralement prises d'assaut par les familles et les nombreux jeunes venant des localités rurales et des sites urbains avoisinants. Les plages de Bordj El-Kiffan et de Bordj El-Bahri en ces journées caniculaires étant la destination de prédilection. En raison de la chaleur caniculaire, sévissant ces jours-ci, un nombre impressionnant de personnes ont tous pour destination la côte et pouvoir se rafraîchir dans la Grande-Bleue. L'idée de fuir la fournaise des cités fait se cotoyer des centaines de personnes toutes vers la même direction, à savoir les plages d'Alger Est. De ce fait les stations de bus de la circonscription administrative de Baraki sont investies et prises d'assaut par les familles et les nombreux jeunes venant des localités rurales et sites urbains tous pour la même destination : Bordj El-Kiffan et Bordj El-Bahri. Les usagers du transport urbain sont en perpetuelle déplacement à travers les grands centres commerciaux en pleine expansion à Sidi Moussa et de Baraki, ce qui ne fait qu'aggraver un peu plus cet afflux. Les étudiants, qui ratent parfois le transport universitaire en cette fin d'année universitaire, se regroupent eux aussi au niveau de ces arrêts bondés dans l'espoir d'avoir un bus. Les étudiants de Larbaa, Rais ou Nezali ne manquent pas d'ailleurs d'afficher leur mécontentement face aux prestations du transport universitaire, en fait un seul bus leur est affecté et ne peut faire face à la demande. En outre, les petits commerçants activant dans les localités périphériques utilisent moins ces moyens de transport en commun et préfèrent en général utiliser les véhicules particuliers surtout ceux étant en bâches, et ce pour faire aboutir leurs marchandises aux boutiques existantes aux sites semi urbains. Pis, aux heures de pointe, on voit les citoyens, souvent chargés des emplettes effectuées dans la journée, poireauter au niveau des arrêts de bus situés aux entrées des contrées rurales, comme Belaouadi, près de Rais, où la chaleur est particulièrement torride à cause de sa position par rapport à la plaine de Mitidja. Sans concurrence, les taxis clandestins ont la partie belle pour transporter les familles ou les froupes de jeunes vers les plages d'Alger Est. Sur la même ligne reliant Larbaâ aux Eucalyptus, on peut voit également des groupes de jeunes faire du stop avec l'espoir que l'un des automobilistes ne prenne en pitié leur longue attente sous le soleil brûlant et ne décide de s'arrêter pour les conduire vers leur destination finale ou du moins les en rapprocher. En conclusion le quotidien est loin d'être rose et de tout repos dans ces contrées isolées où le transport est loin de répondre aux attentes légitimes des familles. En raison de la chaleur caniculaire, sévissant ces jours-ci, un nombre impressionnant de personnes ont tous pour destination la côte et pouvoir se rafraîchir dans la Grande-Bleue. L'idée de fuir la fournaise des cités fait se cotoyer des centaines de personnes toutes vers la même direction, à savoir les plages d'Alger Est. De ce fait les stations de bus de la circonscription administrative de Baraki sont investies et prises d'assaut par les familles et les nombreux jeunes venant des localités rurales et sites urbains tous pour la même destination : Bordj El-Kiffan et Bordj El-Bahri. Les usagers du transport urbain sont en perpetuelle déplacement à travers les grands centres commerciaux en pleine expansion à Sidi Moussa et de Baraki, ce qui ne fait qu'aggraver un peu plus cet afflux. Les étudiants, qui ratent parfois le transport universitaire en cette fin d'année universitaire, se regroupent eux aussi au niveau de ces arrêts bondés dans l'espoir d'avoir un bus. Les étudiants de Larbaa, Rais ou Nezali ne manquent pas d'ailleurs d'afficher leur mécontentement face aux prestations du transport universitaire, en fait un seul bus leur est affecté et ne peut faire face à la demande. En outre, les petits commerçants activant dans les localités périphériques utilisent moins ces moyens de transport en commun et préfèrent en général utiliser les véhicules particuliers surtout ceux étant en bâches, et ce pour faire aboutir leurs marchandises aux boutiques existantes aux sites semi urbains. Pis, aux heures de pointe, on voit les citoyens, souvent chargés des emplettes effectuées dans la journée, poireauter au niveau des arrêts de bus situés aux entrées des contrées rurales, comme Belaouadi, près de Rais, où la chaleur est particulièrement torride à cause de sa position par rapport à la plaine de Mitidja. Sans concurrence, les taxis clandestins ont la partie belle pour transporter les familles ou les froupes de jeunes vers les plages d'Alger Est. Sur la même ligne reliant Larbaâ aux Eucalyptus, on peut voit également des groupes de jeunes faire du stop avec l'espoir que l'un des automobilistes ne prenne en pitié leur longue attente sous le soleil brûlant et ne décide de s'arrêter pour les conduire vers leur destination finale ou du moins les en rapprocher. En conclusion le quotidien est loin d'être rose et de tout repos dans ces contrées isolées où le transport est loin de répondre aux attentes légitimes des familles.