La crise que connaît le secteur du bâtiment dans la wilaya de Jijel, depuis des années, en matière de déficit en main-d'œuvre qualifiée, n'a pu être surmontée, en dépit de l'ouverture pour les jeunes d'un large éventail de filières par le secteur de la formation professionnelle. La crise que connaît le secteur du bâtiment dans la wilaya de Jijel, depuis des années, en matière de déficit en main-d'œuvre qualifiée, n'a pu être surmontée, en dépit de l'ouverture pour les jeunes d'un large éventail de filières par le secteur de la formation professionnelle. Le programme d'investissements publics sur le point d'être engagé par les autorités locales de la wilaya de Jijel, pour les prochaines années, fera face à certains écueils et non des moindres. Le problème du foncier et de la main-d'œuvre constitue un sérieux obstacle qu'il faudrait surmonter. En effet, la crise que connaît le secteur du bâtiment dans la wilaya de Jijel, depuis des années, en matière de déficit en main-d'œuvre qualifiée, n'a pu être surmontée, en dépit de l'ouverture pour les jeunes d'un large éventail de filières par le secteur de la formation professionnelle. Cette politique de formation devait répondre aux enjeux considérables auxquels est confrontée la wilaya en matière de développement tous azimuts. Face au sempiternel problème de main-d'œuvre, dont souffrent les chantiers du bâtiment, le chef de l'exécutif s'est montré récemment disposé à «ouvrir les portes de la formation professionnelle aux entreprises désireuses de former ses propres ressources humaines». Outre le problème lancinant de main-d'œuvres qualifiée, le déficit en moyens de réalisation dans la région continue de sévir avec acuité et se fait ressentir à chaque lancement de projets, ce qui n'était pas sans conséquence sur la réception dans les délais de dizaines de chantiers. Dès lors, et en l'absence de grandes entreprises de réalisation dans le bâtiment et les travaux publics au niveau de la wilaya, les autorités locales ont été, à chaque fois, appelées à solliciter plusieurs entrepreneurs pour finaliser un même projet, une manière d'accélérer la cadence des travaux et gagner la bataille des délais. En vue d'atteindre les objectifs assignés au programme d'investissement publics pour les quatre prochaines années, les jeunes sont plus que jamais appelés à se «constituer en coopérative, avec le soutien de l'Etat, prêt à les aider dans le montage de leurs propres entreprises». Il est question aussi de résoudre, avant l'entame de cet ambitieux programme de développement, la problématique des assiettes foncières pour la réalisation de centaines de projets. D'aucuns estiment que la nature juridique des terrains reste un défi complexe à surmonter dans plusieurs localités, rendant souvent hypothétique la réalisation d'un nombre d'infrastructures publiques. C'est pour cette raison qu'il est recommandé aux responsables des communes de faire des efforts supplémentaires, en s'assurant d'abord de leur portefeuille foncier, avant de se lancer dans de futurs chantiers. Le programme d'investissements publics sur le point d'être engagé par les autorités locales de la wilaya de Jijel, pour les prochaines années, fera face à certains écueils et non des moindres. Le problème du foncier et de la main-d'œuvre constitue un sérieux obstacle qu'il faudrait surmonter. En effet, la crise que connaît le secteur du bâtiment dans la wilaya de Jijel, depuis des années, en matière de déficit en main-d'œuvre qualifiée, n'a pu être surmontée, en dépit de l'ouverture pour les jeunes d'un large éventail de filières par le secteur de la formation professionnelle. Cette politique de formation devait répondre aux enjeux considérables auxquels est confrontée la wilaya en matière de développement tous azimuts. Face au sempiternel problème de main-d'œuvre, dont souffrent les chantiers du bâtiment, le chef de l'exécutif s'est montré récemment disposé à «ouvrir les portes de la formation professionnelle aux entreprises désireuses de former ses propres ressources humaines». Outre le problème lancinant de main-d'œuvres qualifiée, le déficit en moyens de réalisation dans la région continue de sévir avec acuité et se fait ressentir à chaque lancement de projets, ce qui n'était pas sans conséquence sur la réception dans les délais de dizaines de chantiers. Dès lors, et en l'absence de grandes entreprises de réalisation dans le bâtiment et les travaux publics au niveau de la wilaya, les autorités locales ont été, à chaque fois, appelées à solliciter plusieurs entrepreneurs pour finaliser un même projet, une manière d'accélérer la cadence des travaux et gagner la bataille des délais. En vue d'atteindre les objectifs assignés au programme d'investissement publics pour les quatre prochaines années, les jeunes sont plus que jamais appelés à se «constituer en coopérative, avec le soutien de l'Etat, prêt à les aider dans le montage de leurs propres entreprises». Il est question aussi de résoudre, avant l'entame de cet ambitieux programme de développement, la problématique des assiettes foncières pour la réalisation de centaines de projets. D'aucuns estiment que la nature juridique des terrains reste un défi complexe à surmonter dans plusieurs localités, rendant souvent hypothétique la réalisation d'un nombre d'infrastructures publiques. C'est pour cette raison qu'il est recommandé aux responsables des communes de faire des efforts supplémentaires, en s'assurant d'abord de leur portefeuille foncier, avant de se lancer dans de futurs chantiers.