Plusieurs changements ont été opérés au sein des universités algériennes dont plusieurs postes importants, à l'instar de ceux de recteurs, secrétaire général et de doyens. En effet, selon le Journal officiel, il a été mis fin aux fonctions de plusieurs hauts postes au niveau de certaines université et facultés. Ainsi, plusieurs décrets dans le Journal officiel no 38 mettent fin aux fonctions de deux recteurs dans les universités de Tizi Ouzou et de Boumerdes, qui sont respectivement M. Rabah Kahlouche et Mme Rafika Kesri. Cette dernière, soulignons-le, s'est vue arrêtée de ses fonctions, comme le précise le décret, à compter du 10 janvier passé. Ces derniers, souligne le Journal officiel, sont appelés à exercer d'autres fonctions. Pour sa part, l'Université de Laghouat, elle aussi, n'a pas été épargnée car il a également été mis fin aux fonctions de son secrétaire général, en l'occurrence M. Tahar Teggari. Même situation pour l'université de Tlemcen où il a été procédé à la mise en fin des fonctions de doyens de trois facultés. Les doyens concernés sont M. Okacha Chaïf, doyen de la faculté des lettres, des sciences humaines et des sciences sociales, M. Djilali Tchouar, doyen de la faculté de droit et de M. Abdesselam Bendiabdellah, doyen de la faculté des sciences économiques et des sciences de gestion. Suite à ces différents changements survenus, récemment, dans des postes importants de plusieurs universités algériennes, il va de soi de se demander si ce n'est que le début d'un feuilleton. Lequel feuilleton s'étalera, sans nul doute, sur une série de suspensions d'ici la nouvelle rentrée universitaire, en septembre prochain. Il est de s'interroger, donc, si d'autres cadres seront appelés, eux aussi, à exercer d'autres fonctions. Pour l'instant, rien n'a encore filtré sur ce sujet, ou du moins permettant de connaître les vraies raisons pour lesquelles il a été mis fin aux fonctions de certains. Cela dit, cette situation ne peut que laisser prêter à une large spéculation quant à savoir si ladite série qui suivra touchera ainsi d'autres cadres du secteur de l'enseignement supérieur. Il est à souligner qu'au niveau du ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, aucune personne n'a daigné nous recevoir. Plusieurs changements ont été opérés au sein des universités algériennes dont plusieurs postes importants, à l'instar de ceux de recteurs, secrétaire général et de doyens. En effet, selon le Journal officiel, il a été mis fin aux fonctions de plusieurs hauts postes au niveau de certaines université et facultés. Ainsi, plusieurs décrets dans le Journal officiel no 38 mettent fin aux fonctions de deux recteurs dans les universités de Tizi Ouzou et de Boumerdes, qui sont respectivement M. Rabah Kahlouche et Mme Rafika Kesri. Cette dernière, soulignons-le, s'est vue arrêtée de ses fonctions, comme le précise le décret, à compter du 10 janvier passé. Ces derniers, souligne le Journal officiel, sont appelés à exercer d'autres fonctions. Pour sa part, l'Université de Laghouat, elle aussi, n'a pas été épargnée car il a également été mis fin aux fonctions de son secrétaire général, en l'occurrence M. Tahar Teggari. Même situation pour l'université de Tlemcen où il a été procédé à la mise en fin des fonctions de doyens de trois facultés. Les doyens concernés sont M. Okacha Chaïf, doyen de la faculté des lettres, des sciences humaines et des sciences sociales, M. Djilali Tchouar, doyen de la faculté de droit et de M. Abdesselam Bendiabdellah, doyen de la faculté des sciences économiques et des sciences de gestion. Suite à ces différents changements survenus, récemment, dans des postes importants de plusieurs universités algériennes, il va de soi de se demander si ce n'est que le début d'un feuilleton. Lequel feuilleton s'étalera, sans nul doute, sur une série de suspensions d'ici la nouvelle rentrée universitaire, en septembre prochain. Il est de s'interroger, donc, si d'autres cadres seront appelés, eux aussi, à exercer d'autres fonctions. Pour l'instant, rien n'a encore filtré sur ce sujet, ou du moins permettant de connaître les vraies raisons pour lesquelles il a été mis fin aux fonctions de certains. Cela dit, cette situation ne peut que laisser prêter à une large spéculation quant à savoir si ladite série qui suivra touchera ainsi d'autres cadres du secteur de l'enseignement supérieur. Il est à souligner qu'au niveau du ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, aucune personne n'a daigné nous recevoir.