Les rues, les jardins et autres places publiques de la ville de Boumerdes connaissent, dès la tombée de la nuit, un mouvement des plus fébriles créé par des familles fuyant la canicule qui viennent en ces lieux caressés par la brise marine à la recherche de détente et de fraîcheur. Le boulevard du front de mer, où il est loisible à tout promeneur de déambuler pour prendre un bol d'air marin et écouter le clapotis des vagues qui viennent échouer sur le rivage, constitue la destination préférée par les familles, à l'instar de Hadja Fatima et de ses quatre filles qui viennent chaque soir en ce lieu pour ne le quitter qu'à une heure tardive de la nuit.Profitant de la clémence des lieux, Hadja Fatima and Co se mêlent à d'autres familles du voisinage, pour faire des va-et-vient le long du rivage, avant de s'asseoir en cercle pour engager de longues discussions et deviser sur les difficultés de la vie, dans une ambiance faite d'intimité et garantie par la complicité de la nuit.Le soir venu, les rues de la ville de Boumerdes ne désemplissent pas. Des gens, toutes catégories sociales et d'âges confondues, y viennent pour déambuler en toute insouciance et nonchalance, au grand dam des automobilistes qui sont contraints de jouer du klaxon pour se frayer un passage, fait qui n'est pas souvent facile au vu de ces personnes distraites marchant au milieu de la route, tout en dégustant une glace. D'autres noctambules, en quête de sérénité et de repos, jettent leur dévolu sur le vaste jardin public du centre ville, un véritable havre de paix et de détente, propice à des veillées tranquilles, loin du boucan de la ville, dont les habitants déplorent le manque d'activités artistiques et culturelles pour meubler leurs longues soirées estivales. APS Les rues, les jardins et autres places publiques de la ville de Boumerdes connaissent, dès la tombée de la nuit, un mouvement des plus fébriles créé par des familles fuyant la canicule qui viennent en ces lieux caressés par la brise marine à la recherche de détente et de fraîcheur. Le boulevard du front de mer, où il est loisible à tout promeneur de déambuler pour prendre un bol d'air marin et écouter le clapotis des vagues qui viennent échouer sur le rivage, constitue la destination préférée par les familles, à l'instar de Hadja Fatima et de ses quatre filles qui viennent chaque soir en ce lieu pour ne le quitter qu'à une heure tardive de la nuit.Profitant de la clémence des lieux, Hadja Fatima and Co se mêlent à d'autres familles du voisinage, pour faire des va-et-vient le long du rivage, avant de s'asseoir en cercle pour engager de longues discussions et deviser sur les difficultés de la vie, dans une ambiance faite d'intimité et garantie par la complicité de la nuit.Le soir venu, les rues de la ville de Boumerdes ne désemplissent pas. Des gens, toutes catégories sociales et d'âges confondues, y viennent pour déambuler en toute insouciance et nonchalance, au grand dam des automobilistes qui sont contraints de jouer du klaxon pour se frayer un passage, fait qui n'est pas souvent facile au vu de ces personnes distraites marchant au milieu de la route, tout en dégustant une glace. D'autres noctambules, en quête de sérénité et de repos, jettent leur dévolu sur le vaste jardin public du centre ville, un véritable havre de paix et de détente, propice à des veillées tranquilles, loin du boucan de la ville, dont les habitants déplorent le manque d'activités artistiques et culturelles pour meubler leurs longues soirées estivales. APS