Le coup d'envoi de la deuxième édition du festival de Djoua a été donné, jeudi soir, en présence de plusieurs invités, venus des quatre coins du pays, et de la communauté des émigrés de France. C'est sur le mont de Djoua dans la commune de Boukhelifa (daïra de Tichy) illuminé de mille et un feux et dans une ambiance familiale que se sont rassemblés près de huit cents invités avant que Youcef Khalfaoui, président de l'association patrimoine et tourisme de Djoua ne donne le coup d'envoi de cette cérémonie inaugurale du deuxième Festival de Djoua qui s'échelonnera jusqu'au 22 du mois en cours. Toutes les commodités pour le bien-être des visiteurs ont été mises en place, des tentes installées pour les différents ateliers, hébergement, restauration et plusieurs expositions d'objets d'arts traditionnels de la région. Trois cents jeunes étudiants sont désignés pour l'accueil et l'orientation des visiteurs. Voulant donner une empreinte de plus au festival destiné aux chants et à la musique, les organisateurs ont intégré s des ateliers d'apprentissage et de métiers, comme le charbon, la sculpture du bois, l'artisanat et la gastronomie traditionnelle, avec le couscous, la galette et autres plats de la région.En traversant les différents stands d'expositions, on remarquera la riche diversité des objets exposés. En effet, l'artisanat occupe la grande place dans ce festival avec la poterie, la couture traditionnelle, la céramique, la sculpture, la peinture sur soie, la broderie et le tissage. D'autres stands sont réservés à la littérature, avec plusieurs ouvrages et de la documentation. Côté artistiques, plusieurs chanteurs sont au programme comme cheikh Sidi Bémol, les Abranis, Djamel Allam, le groupe Tagrawla, Cheikh Cherifa du Maroc, des troupes argentines et brésiliennes. Le mont Djoua vivra des belles soirées musicales dans une atmosphère de fête jamais égalée. Les estivants et visiteurs de la capitale des Hammadides ne manqueront pas de faire une virée vers Djoua, à une altitude de mille mètres de la mer et une distance de trente kilomètres de Béjaïa où tous les moyens de transports sont mis à leur disposition à partir de la maison de la culture de Béjaïa. Le coup d'envoi de la deuxième édition du festival de Djoua a été donné, jeudi soir, en présence de plusieurs invités, venus des quatre coins du pays, et de la communauté des émigrés de France. C'est sur le mont de Djoua dans la commune de Boukhelifa (daïra de Tichy) illuminé de mille et un feux et dans une ambiance familiale que se sont rassemblés près de huit cents invités avant que Youcef Khalfaoui, président de l'association patrimoine et tourisme de Djoua ne donne le coup d'envoi de cette cérémonie inaugurale du deuxième Festival de Djoua qui s'échelonnera jusqu'au 22 du mois en cours. Toutes les commodités pour le bien-être des visiteurs ont été mises en place, des tentes installées pour les différents ateliers, hébergement, restauration et plusieurs expositions d'objets d'arts traditionnels de la région. Trois cents jeunes étudiants sont désignés pour l'accueil et l'orientation des visiteurs. Voulant donner une empreinte de plus au festival destiné aux chants et à la musique, les organisateurs ont intégré s des ateliers d'apprentissage et de métiers, comme le charbon, la sculpture du bois, l'artisanat et la gastronomie traditionnelle, avec le couscous, la galette et autres plats de la région.En traversant les différents stands d'expositions, on remarquera la riche diversité des objets exposés. En effet, l'artisanat occupe la grande place dans ce festival avec la poterie, la couture traditionnelle, la céramique, la sculpture, la peinture sur soie, la broderie et le tissage. D'autres stands sont réservés à la littérature, avec plusieurs ouvrages et de la documentation. Côté artistiques, plusieurs chanteurs sont au programme comme cheikh Sidi Bémol, les Abranis, Djamel Allam, le groupe Tagrawla, Cheikh Cherifa du Maroc, des troupes argentines et brésiliennes. Le mont Djoua vivra des belles soirées musicales dans une atmosphère de fête jamais égalée. Les estivants et visiteurs de la capitale des Hammadides ne manqueront pas de faire une virée vers Djoua, à une altitude de mille mètres de la mer et une distance de trente kilomètres de Béjaïa où tous les moyens de transports sont mis à leur disposition à partir de la maison de la culture de Béjaïa.