Dans le cadre du dispositif d'aide à l'insertion professionnelle, 12.596 contrats ont été signés depuis deux ans. Ces contrats ont touché, d'après la déclaration du directeur de l'emploi devant la deuxième session ordinaire de l'APW de Souk-Ahras qui s'est tenue la semaine écoulée, 2.903 diplômés type CID, 2.446 type CIP et 6.947 type CFI repartis sur les trois secteurs (administratif, économique public et privé). Le secteur administratif est cependant le plus grand bénéficiaire de ce dispositif avec 10.735 contrats dont 2.341 diplômés. Le budget réservé à cet effet s'élève à plus de 88 milliards de cts. La relation entre la direction et l'agence de l'emploi et l'accueil ont été les principaux points soulevés par l'assistance lors des débats sur le dossier de l'emploi. Les élus ont fortement critiqué le mauvais accueil réservé aux jeunes demandeurs d'emploi surtout au niveau de l'agence. L'intervention des concernés (le directeur de l'emploi et celui de l'agence) a permis de dissiper le doute sur le différend qui les a opposés avant l'arrivée du nouveau directeur, un différend qui a eu un impact négatif sur le rôle de ces deux structures stratégiques. « L'agence, disent-ils, reçoit les dossiers, les achemine vers la direction qui les vise après vérification conformément à la loi et selon le nombre de postes disponibles en assurant la gestion administrative et financière du dispositif ». Les élus trouvent ce nombre insuffisant en comparaison avec le taux de chômage enregistré. D'autres élus trouvent qu'à Souk-Ahras il n'y a pas de chômage, car en plus du dispositif d'aide à l'insertion professionnelle (DAIP), les micros entreprises créées avec l'intervention de l'Agence nationale de soutien de l'emploi jeunes (ANSEJ) et de la Caisse nationale d'assurance chômage (CNAC) tous les jeunes subviennent à leurs besoin d'une façon ou d'une autre même en se transformant en vendeur à la sauvette. D'autres ont critiqué les jeunes qui refusent de travailler dans les chantiers ou dans l'agriculture vu que la majorité des communes est à vocation rurale. K. M. Dans le cadre du dispositif d'aide à l'insertion professionnelle, 12.596 contrats ont été signés depuis deux ans. Ces contrats ont touché, d'après la déclaration du directeur de l'emploi devant la deuxième session ordinaire de l'APW de Souk-Ahras qui s'est tenue la semaine écoulée, 2.903 diplômés type CID, 2.446 type CIP et 6.947 type CFI repartis sur les trois secteurs (administratif, économique public et privé). Le secteur administratif est cependant le plus grand bénéficiaire de ce dispositif avec 10.735 contrats dont 2.341 diplômés. Le budget réservé à cet effet s'élève à plus de 88 milliards de cts. La relation entre la direction et l'agence de l'emploi et l'accueil ont été les principaux points soulevés par l'assistance lors des débats sur le dossier de l'emploi. Les élus ont fortement critiqué le mauvais accueil réservé aux jeunes demandeurs d'emploi surtout au niveau de l'agence. L'intervention des concernés (le directeur de l'emploi et celui de l'agence) a permis de dissiper le doute sur le différend qui les a opposés avant l'arrivée du nouveau directeur, un différend qui a eu un impact négatif sur le rôle de ces deux structures stratégiques. « L'agence, disent-ils, reçoit les dossiers, les achemine vers la direction qui les vise après vérification conformément à la loi et selon le nombre de postes disponibles en assurant la gestion administrative et financière du dispositif ». Les élus trouvent ce nombre insuffisant en comparaison avec le taux de chômage enregistré. D'autres élus trouvent qu'à Souk-Ahras il n'y a pas de chômage, car en plus du dispositif d'aide à l'insertion professionnelle (DAIP), les micros entreprises créées avec l'intervention de l'Agence nationale de soutien de l'emploi jeunes (ANSEJ) et de la Caisse nationale d'assurance chômage (CNAC) tous les jeunes subviennent à leurs besoin d'une façon ou d'une autre même en se transformant en vendeur à la sauvette. D'autres ont critiqué les jeunes qui refusent de travailler dans les chantiers ou dans l'agriculture vu que la majorité des communes est à vocation rurale. K. M.