Un projet de création d'une «Coopérative du miel» en Algérie a été proposé au ministre de l'Agriculture par la Fédération algérienne des apiculteurs. Cette coopérative aura comme but principal de s'occuper de la collecte des miels et de leur distribution à l'échelle nationale. Un projet de création d'une «Coopérative du miel» en Algérie a été proposé au ministre de l'Agriculture par la Fédération algérienne des apiculteurs. Cette coopérative aura comme but principal de s'occuper de la collecte des miels et de leur distribution à l'échelle nationale. En dépit d'une production nationale satisfaisante, les Algériens ont du mal à s'offrir du bon miel produit localement. Selon les apiculteurs, le manque de produits locaux sur les étals est dû à l'absence d'un réseau de commercialisation et d'une structure fédératrice qui gèrera la filière. Ils affirment qu'ils ne peuvent à la fois produire et commercialiser leurs produits. A ce propos, un projet de création d'une «Coopérative du miel» en Algérie a été proposé au ministre de l'Agriculture par la fédération algérienne des apiculteurs. Cette coopérative aura comme but principal de s'occuper de la collecte des miels et de leur distribution à l'échelle nationale. Selon le président de la fédération, M. Mahmoud Lakehal, la production nationale de miel a atteint les 30 mille tonnes en 2009 alors que l'on s'attend à quelque 39 mille tonnes aux cours de cette année. Cette quantité est amplement suffisante pour satisfaire la demande nationale, affirme-t-il. «Avec la mise en place d'une coopérative bien structurée, la production sera beaucoup plus importante et on pourra même exporter notre miel à l'étranger», a-t-il ajouté. Les autorités concernées sont ainsi interpellées afin de trouver les formules adéquates pour promouvoir le miel dans les marchés du pays. D'un autre côté, les apiculteurs ont également fait état de plusieurs difficultés qui nuisent à la filière, notamment le traitement chimique des vergers néfastes pour les abeilles, la déforestation etc. A ce titre, et afin de rapprocher la production aux consommateurs, la Fédération algérienne des apiculteurs, en collaboration avec l'APC d'Alger-centre, ont organisé la deuxième édition du salon national du miel et ses dérivés. La manifestation se déroule actuellement à la place de la Liberté de la presse, au boulevard Hassiba Ben-Bouali, et ce, jusqu'au 25 juillet prochain. Une vingtaine d'exposants, venus de neufs wilayas du pays, y proposent à la vente, avec dégustation, du miel en tout genre, de la gelée royale, la propolis, le pollen et les produits cosmétiques naturels à base de miel, tels que des crèmes anti-taches et anti-rides, du savon, de la cire etc. La première édition du salon, rappelons-le, a été organisée, l'année dernière, le long du boulevard Aïssat-Idir, à la place du 1er-Mai. Cependant, et afin de s'approcher davantage de tous les citoyens de la capitale, qui se sont plaints de l'absence flagrante du miel local sur les marchés, la fédération annonce la tenue prochaine de plusieurs foires du genre. En septembre, une foire du miel aura lieu à l'esplanade Kettani de Bab El Oued, alors d'une seconde est prévue à la place de la Grande-Poste, à la première semaine de novembre. L'objectif de ces salons régionaux, selon M.Lakehal, est de sensibiliser les citoyens sur la production nationale de bonne qualité et proposée à des prix raisonnables. Ainsi, les pots d'un kilo sont cédés entre 1.200 et 2.600 DA, selon la fleur butinée, à savoir, la fleur d'eucalyptus, de sainfoin, d'agrumes, etc. chaque miel a son goût et ses propres couleurs mais surtout ses bienfaits sur la santé. En dépit d'une production nationale satisfaisante, les Algériens ont du mal à s'offrir du bon miel produit localement. Selon les apiculteurs, le manque de produits locaux sur les étals est dû à l'absence d'un réseau de commercialisation et d'une structure fédératrice qui gèrera la filière. Ils affirment qu'ils ne peuvent à la fois produire et commercialiser leurs produits. A ce propos, un projet de création d'une «Coopérative du miel» en Algérie a été proposé au ministre de l'Agriculture par la fédération algérienne des apiculteurs. Cette coopérative aura comme but principal de s'occuper de la collecte des miels et de leur distribution à l'échelle nationale. Selon le président de la fédération, M. Mahmoud Lakehal, la production nationale de miel a atteint les 30 mille tonnes en 2009 alors que l'on s'attend à quelque 39 mille tonnes aux cours de cette année. Cette quantité est amplement suffisante pour satisfaire la demande nationale, affirme-t-il. «Avec la mise en place d'une coopérative bien structurée, la production sera beaucoup plus importante et on pourra même exporter notre miel à l'étranger», a-t-il ajouté. Les autorités concernées sont ainsi interpellées afin de trouver les formules adéquates pour promouvoir le miel dans les marchés du pays. D'un autre côté, les apiculteurs ont également fait état de plusieurs difficultés qui nuisent à la filière, notamment le traitement chimique des vergers néfastes pour les abeilles, la déforestation etc. A ce titre, et afin de rapprocher la production aux consommateurs, la Fédération algérienne des apiculteurs, en collaboration avec l'APC d'Alger-centre, ont organisé la deuxième édition du salon national du miel et ses dérivés. La manifestation se déroule actuellement à la place de la Liberté de la presse, au boulevard Hassiba Ben-Bouali, et ce, jusqu'au 25 juillet prochain. Une vingtaine d'exposants, venus de neufs wilayas du pays, y proposent à la vente, avec dégustation, du miel en tout genre, de la gelée royale, la propolis, le pollen et les produits cosmétiques naturels à base de miel, tels que des crèmes anti-taches et anti-rides, du savon, de la cire etc. La première édition du salon, rappelons-le, a été organisée, l'année dernière, le long du boulevard Aïssat-Idir, à la place du 1er-Mai. Cependant, et afin de s'approcher davantage de tous les citoyens de la capitale, qui se sont plaints de l'absence flagrante du miel local sur les marchés, la fédération annonce la tenue prochaine de plusieurs foires du genre. En septembre, une foire du miel aura lieu à l'esplanade Kettani de Bab El Oued, alors d'une seconde est prévue à la place de la Grande-Poste, à la première semaine de novembre. L'objectif de ces salons régionaux, selon M.Lakehal, est de sensibiliser les citoyens sur la production nationale de bonne qualité et proposée à des prix raisonnables. Ainsi, les pots d'un kilo sont cédés entre 1.200 et 2.600 DA, selon la fleur butinée, à savoir, la fleur d'eucalyptus, de sainfoin, d'agrumes, etc. chaque miel a son goût et ses propres couleurs mais surtout ses bienfaits sur la santé.