C'est dans une ambiance festive que s'est déroulée, hier, la cérémonie de clôture de la quatrième édition du Festival arabo-africain de la danse folklorique, à la grande salle de la maison de la culture Mouloud-Mammeri de Tizi-Ouzou. C'est dans une ambiance festive que s'est déroulée, hier, la cérémonie de clôture de la quatrième édition du Festival arabo-africain de la danse folklorique, à la grande salle de la maison de la culture Mouloud-Mammeri de Tizi-Ouzou. L'ensemble des troupes participantes ont été appelées sur scène pour y recevoir les félicitations et récompenses attribuées par les responsables de la région. Mais avant tout, c'est la troupe folklorique Tafat d'Imsouhal qui a animé un spectacle avec des airs musicaux kabyles. Les jeunes de la troupe, hommes et femmes arboraient des tenues traditionnelles où le jaune, symbole de la région, dominait. El Hadi Ould Ali, commissaire du festival et directeur de la culture de la wilaya de Tizi-Ouzou a déclaré d'emblée : «Nous voici arrivés aux termes de la 5e édition du Festival arabo-africain de la danse folklorique. Un événement qui entre définitivement dans la tradition culturelle algérienne et régionale tant il véhicule des valeurs de création, d'innovations et de découvertes». L'orateur a indiqué devant une salle archicomble que cette cinquième édition, à l'instar des précédentes, a été un franc succès : d'abord par l'engouement qu'elle a suscité aussi bien de la part des participants et des acteurs de l'action culturelle que de la part du public, puis par la générosité des productions et leur excellence et enfin par la force de l'effort collectif qui conduit chaque fois à la réussite. Le festival de Tizi-Ouzou a eu le mérite de révéler le potentiel culturel et artistique du continent africain et des pays arabes. Il constitue également un carrefour d'expression à toutes ces jeunes troupes qui partagent leurs talents et arts avec un public avide de découvertes et d'évasion. Ce festival est également un pont reliant, par l'amitié et l'amour, deux continents, deux civilisations et diverses cultures. El Hadi Ould Ali, en faisant le bilan de cette édition a souligné que la créativité qui accompagne chaque édition montre, si besoin est, que la danse est un art dynamique qui évolue avec le temps : «Je veux mentionner le pas qualitatif que cette édition a marqué en portant la danse en dehors des frontières de la curiosité culturelle figée et en la présentant comme un art qui puise son âme des tréfonds de la civilisation humaine», dira-t-il. L'orateur a conclu que les troupes participantes ont été fortement impliquées et que leurs productions ont été largement suivies et applaudies : «C'est une preuve suffisante de leur bonne qualité. Ce festival est le vôtre. Il vous appartient et vous devez le pérenniser. Penser à la prochaine édition en est une manière de le faire puisqu'elle se prépare dès maintenant. Nous vous y donnons rendez-vous pour plus de joie et d'amitié». La première troupe à avoir reçu un prix, hier, était celle du Sénégal qui a été primée par le secrétaire général de la wilaya de Tizi-Ouzou, représentant le wali. Le SG, quant à lui, a remis une récompense pour la troupe de la Côte d'Ivoire. La représentante de cette dernière a été longuement applaudie ayant arborée, pour la circonstance, une belle robe traditionnelle kabyle. Les autres troupes ont toutes reçu des prix à l'image de celles du Mali et de la Guinée, primées par le président de l'assemblée populaire de wilaya. Le représentant de l'ambassade de Jordanie à Alger et un représentant de la Palestine étaient également présents sur scène pour la remise des prix aux troupes de Khenchela, Sidi Bel-Abbès, Tlemcen, Constantine, la Tunisie et la Syrie. L'ambiance a atteint son apogée au moment où toutes les troupes ont investi le plateau pour un final d'anthologie. L'ensemble des troupes participantes ont été appelées sur scène pour y recevoir les félicitations et récompenses attribuées par les responsables de la région. Mais avant tout, c'est la troupe folklorique Tafat d'Imsouhal qui a animé un spectacle avec des airs musicaux kabyles. Les jeunes de la troupe, hommes et femmes arboraient des tenues traditionnelles où le jaune, symbole de la région, dominait. El Hadi Ould Ali, commissaire du festival et directeur de la culture de la wilaya de Tizi-Ouzou a déclaré d'emblée : «Nous voici arrivés aux termes de la 5e édition du Festival arabo-africain de la danse folklorique. Un événement qui entre définitivement dans la tradition culturelle algérienne et régionale tant il véhicule des valeurs de création, d'innovations et de découvertes». L'orateur a indiqué devant une salle archicomble que cette cinquième édition, à l'instar des précédentes, a été un franc succès : d'abord par l'engouement qu'elle a suscité aussi bien de la part des participants et des acteurs de l'action culturelle que de la part du public, puis par la générosité des productions et leur excellence et enfin par la force de l'effort collectif qui conduit chaque fois à la réussite. Le festival de Tizi-Ouzou a eu le mérite de révéler le potentiel culturel et artistique du continent africain et des pays arabes. Il constitue également un carrefour d'expression à toutes ces jeunes troupes qui partagent leurs talents et arts avec un public avide de découvertes et d'évasion. Ce festival est également un pont reliant, par l'amitié et l'amour, deux continents, deux civilisations et diverses cultures. El Hadi Ould Ali, en faisant le bilan de cette édition a souligné que la créativité qui accompagne chaque édition montre, si besoin est, que la danse est un art dynamique qui évolue avec le temps : «Je veux mentionner le pas qualitatif que cette édition a marqué en portant la danse en dehors des frontières de la curiosité culturelle figée et en la présentant comme un art qui puise son âme des tréfonds de la civilisation humaine», dira-t-il. L'orateur a conclu que les troupes participantes ont été fortement impliquées et que leurs productions ont été largement suivies et applaudies : «C'est une preuve suffisante de leur bonne qualité. Ce festival est le vôtre. Il vous appartient et vous devez le pérenniser. Penser à la prochaine édition en est une manière de le faire puisqu'elle se prépare dès maintenant. Nous vous y donnons rendez-vous pour plus de joie et d'amitié». La première troupe à avoir reçu un prix, hier, était celle du Sénégal qui a été primée par le secrétaire général de la wilaya de Tizi-Ouzou, représentant le wali. Le SG, quant à lui, a remis une récompense pour la troupe de la Côte d'Ivoire. La représentante de cette dernière a été longuement applaudie ayant arborée, pour la circonstance, une belle robe traditionnelle kabyle. Les autres troupes ont toutes reçu des prix à l'image de celles du Mali et de la Guinée, primées par le président de l'assemblée populaire de wilaya. Le représentant de l'ambassade de Jordanie à Alger et un représentant de la Palestine étaient également présents sur scène pour la remise des prix aux troupes de Khenchela, Sidi Bel-Abbès, Tlemcen, Constantine, la Tunisie et la Syrie. L'ambiance a atteint son apogée au moment où toutes les troupes ont investi le plateau pour un final d'anthologie.