Chaque jour, nous perdons entre une cinquantaine et une centaine de cheveux, c'est normal ! En revanche, au-delà, cela devient inquiétant. Il existe de multiples raisons expliquant une perte accrue de cheveux. Voici les plus courantes, l'idée étant d'identifier la cause afin de stopper toute perte anormale de cheveux. Chaque jour, nous perdons entre une cinquantaine et une centaine de cheveux, c'est normal ! En revanche, au-delà, cela devient inquiétant. Il existe de multiples raisons expliquant une perte accrue de cheveux. Voici les plus courantes, l'idée étant d'identifier la cause afin de stopper toute perte anormale de cheveux. Le rôle des hormones dans la perte de cheveux La chute des cheveux est souvent la conséquence d'une surproduction d'hormones masculines, la testostérone. Cette imprégnation hormonale stimule trop fortement la croissance des cheveux, ce qui a pour effet d'épuiser le capital pileux. Progressivement, les cheveux deviennent de plus en plus fins, ils tombent vite et sont de moins en moins nombreux. Les femmes sont souvent touchées par les variations hormonales, comme lors de la grossesse ou de la ménopause, en cas de trouble thyroïdien ou de l'hypophyse. La part de l'hérédité La prédisposition génétique est fréquente. Souvent, on est dégarni de père en fils. Dans le cas de l'alopécie androgénétique, les facteurs génétiques sont couplés à un excès d'hormone testostérone. Cette cause de la chute de cheveux est la plus fréquente : plus de 80% des cas. Les variations saisonnières L'entrée de l'automne est une saison propice à la chute des cheveux. Toutefois, cette chute de cheveux est ponctuelle, elle ne dure que quelques semaines. Le début du printemps est une autre période propice à la chute de cheveux passagère. La pelade Les maladies du cuir chevelu, et notamment la pelade, s'accompagnent d'une perte de cheveux importante. C'est une maladie inflammatoire chronique qui touche les follicules pileux et qui évolue par poussées. Se forment des plaques entières sans cheveux. Stress et chocs émotionnels Le stress et les chocs émotionnels (décès, divorce...) peuvent se traduire par une chute de cheveux importante et soudaine, parfois de façon différée. Là encore, l'origine est hormonale (hormones des glandes surrénales). À noter que le stress agit aussi en ralentissant la circulation sanguine, ce qui se traduit par un cuir chevelu mal irrigué et donc une chute de cheveux. Les traumatismes du cuir chevelu Entrent dans cette catégorie les gestes agressifs, comme les tresses trop serrées, un brossage trop vigoureux, les queues de cheval trop serrées, etc. La chimiothérapie La chute des cheveux est un effet secondaire bien connu de la chimiothérapie. Mais d'autres médicaments peuvent avoir aussi cet inconvénient. À noter que la pousse des cheveux reprend dès l'arrêt du traitement. Le régime alimentaire Une carence alimentaire peut être à l'origine d'une perte de cheveux. Les vaisseaux sanguins situés sous le cuir chevelu apportent aux follicules pileux les éléments nutritifs nécessaires : vitamines, minéraux, oligo-éléments, acides aminés. En conclusion, toute perte de cheveux anormale doit alerter. Si elle perdure et si les causes ne sont pas évidentes, il est conseillé de consulter son médecin. Il est plus facile de prendre en charge une chute de cheveux à ses débuts, que de faire repousser des cheveux ! Le rôle des hormones dans la perte de cheveux La chute des cheveux est souvent la conséquence d'une surproduction d'hormones masculines, la testostérone. Cette imprégnation hormonale stimule trop fortement la croissance des cheveux, ce qui a pour effet d'épuiser le capital pileux. Progressivement, les cheveux deviennent de plus en plus fins, ils tombent vite et sont de moins en moins nombreux. Les femmes sont souvent touchées par les variations hormonales, comme lors de la grossesse ou de la ménopause, en cas de trouble thyroïdien ou de l'hypophyse. La part de l'hérédité La prédisposition génétique est fréquente. Souvent, on est dégarni de père en fils. Dans le cas de l'alopécie androgénétique, les facteurs génétiques sont couplés à un excès d'hormone testostérone. Cette cause de la chute de cheveux est la plus fréquente : plus de 80% des cas. Les variations saisonnières L'entrée de l'automne est une saison propice à la chute des cheveux. Toutefois, cette chute de cheveux est ponctuelle, elle ne dure que quelques semaines. Le début du printemps est une autre période propice à la chute de cheveux passagère. La pelade Les maladies du cuir chevelu, et notamment la pelade, s'accompagnent d'une perte de cheveux importante. C'est une maladie inflammatoire chronique qui touche les follicules pileux et qui évolue par poussées. Se forment des plaques entières sans cheveux. Stress et chocs émotionnels Le stress et les chocs émotionnels (décès, divorce...) peuvent se traduire par une chute de cheveux importante et soudaine, parfois de façon différée. Là encore, l'origine est hormonale (hormones des glandes surrénales). À noter que le stress agit aussi en ralentissant la circulation sanguine, ce qui se traduit par un cuir chevelu mal irrigué et donc une chute de cheveux. Les traumatismes du cuir chevelu Entrent dans cette catégorie les gestes agressifs, comme les tresses trop serrées, un brossage trop vigoureux, les queues de cheval trop serrées, etc. La chimiothérapie La chute des cheveux est un effet secondaire bien connu de la chimiothérapie. Mais d'autres médicaments peuvent avoir aussi cet inconvénient. À noter que la pousse des cheveux reprend dès l'arrêt du traitement. Le régime alimentaire Une carence alimentaire peut être à l'origine d'une perte de cheveux. Les vaisseaux sanguins situés sous le cuir chevelu apportent aux follicules pileux les éléments nutritifs nécessaires : vitamines, minéraux, oligo-éléments, acides aminés. En conclusion, toute perte de cheveux anormale doit alerter. Si elle perdure et si les causes ne sont pas évidentes, il est conseillé de consulter son médecin. Il est plus facile de prendre en charge une chute de cheveux à ses débuts, que de faire repousser des cheveux !