L'UGCAA, dans un rapport adressé au wali, au Chef de sûreté, à la Direction du commerce et au secrétariat de l'Union nationale, menace carrément, si aucune mesure n'est prise pour éradiquer le commerce anarchique qui pénalise le commerce légal, de fermer pour une période indéterminée tous les magasins du centre-ville et des quartiers périphériques. L'UGCAA, dans un rapport adressé au wali, au Chef de sûreté, à la Direction du commerce et au secrétariat de l'Union nationale, menace carrément, si aucune mesure n'est prise pour éradiquer le commerce anarchique qui pénalise le commerce légal, de fermer pour une période indéterminée tous les magasins du centre-ville et des quartiers périphériques. L'affaire se corse sérieusement cette fois-ci et l'UGCAA (Union générale des commerçants et artisans d'Annaba) revient à la charge en mettant en garde les autorités locales sur la prolifération inquiétante du commerce informel au niveau du Chef-lieu de wilaya. En effet, L'UGCAA, dans un rapport accablant adressé au wali, au Chef de sûreté, à la Direction du commerce, et au secrétariat de l'Union nationale, menace carrément, si aucune mesure définitive n'est prise pour éradiquer le commerce anarchique qui pénalise le commerce légal, de fermer pour une période indéterminée tous les magasins du centre-ville et dans les quartiers périphériques pour laisser libre cours, comme il est précisé dans le document, au commerce informel devenu par la force de l'inertie des décideurs le maître absolu des lieux. Pour Moussa Kachi, coordinateur de L'UGCAA, il est impératif et urgent d'assainir ces espaces publics et les libérer de l'emprise de la mafia du trabendo. « C'est le ras-le-bol général, notre corporation est vivement excédée par la passivité des responsables qui a permis jusqu' ici aux trabendistes d'occuper les artères vitales de la ville de Sidi Brahim comme les rues Ibn Khaldoun, et Laarbi Tbissi devenues des bastions du marché noir, de l'insécurité et de l'anarchie totale » déplore-t-il. Les commerçants affiliés à L'UGCAA après avoir à maintes reprises interpellé les autorités sur l'expansion dangereuse du phénomène du commerce informel entendent passer à l'acte si, comme il est souligné dans la requête adressée aux pouvoirs publics, leurs revendications restent lettres mortes. « Nous avons déjà exprimé notre colère et indignation par des grèves sporadiques mais, apparemment, cela n'a pas donné beaucoup à réfléchir à l'administration qui gère paradoxalement l'informel et qui répond à chaque fois par des mesures ponctuelles et non définitives. Alors nous demandons que le wali de Annaba règle définitivement le problème par une intervention ferme et permanente » exige L'UGCAA. Cette dernière met également l'accent sur les risques d'affrontement qui peuvent résulter de ce bras de fer quotidien entre les commerçants légaux et les trabendistes qui se sont déjà illustrés par des réactions agressives. « Des commerçants ont été sauvagement agressés à l'arme blanche par ces individus qui ne respectent ni la loi ni personne » dénonce le coordinateur de L'UGCAA . L'affaire se corse sérieusement cette fois-ci et l'UGCAA (Union générale des commerçants et artisans d'Annaba) revient à la charge en mettant en garde les autorités locales sur la prolifération inquiétante du commerce informel au niveau du Chef-lieu de wilaya. En effet, L'UGCAA, dans un rapport accablant adressé au wali, au Chef de sûreté, à la Direction du commerce, et au secrétariat de l'Union nationale, menace carrément, si aucune mesure définitive n'est prise pour éradiquer le commerce anarchique qui pénalise le commerce légal, de fermer pour une période indéterminée tous les magasins du centre-ville et dans les quartiers périphériques pour laisser libre cours, comme il est précisé dans le document, au commerce informel devenu par la force de l'inertie des décideurs le maître absolu des lieux. Pour Moussa Kachi, coordinateur de L'UGCAA, il est impératif et urgent d'assainir ces espaces publics et les libérer de l'emprise de la mafia du trabendo. « C'est le ras-le-bol général, notre corporation est vivement excédée par la passivité des responsables qui a permis jusqu' ici aux trabendistes d'occuper les artères vitales de la ville de Sidi Brahim comme les rues Ibn Khaldoun, et Laarbi Tbissi devenues des bastions du marché noir, de l'insécurité et de l'anarchie totale » déplore-t-il. Les commerçants affiliés à L'UGCAA après avoir à maintes reprises interpellé les autorités sur l'expansion dangereuse du phénomène du commerce informel entendent passer à l'acte si, comme il est souligné dans la requête adressée aux pouvoirs publics, leurs revendications restent lettres mortes. « Nous avons déjà exprimé notre colère et indignation par des grèves sporadiques mais, apparemment, cela n'a pas donné beaucoup à réfléchir à l'administration qui gère paradoxalement l'informel et qui répond à chaque fois par des mesures ponctuelles et non définitives. Alors nous demandons que le wali de Annaba règle définitivement le problème par une intervention ferme et permanente » exige L'UGCAA. Cette dernière met également l'accent sur les risques d'affrontement qui peuvent résulter de ce bras de fer quotidien entre les commerçants légaux et les trabendistes qui se sont déjà illustrés par des réactions agressives. « Des commerçants ont été sauvagement agressés à l'arme blanche par ces individus qui ne respectent ni la loi ni personne » dénonce le coordinateur de L'UGCAA .