Les promoteurs du logement socio-participatif ont failli à leur promesse de livrer la totalité des logements accusant un retard dépassant les trois années, depuis 2006, en dépit des facilités accordées par la wilaya de Batna en matière d'assiettes de terrain acquises symboliquement. Les promoteurs du logement socio-participatif ont failli à leur promesse de livrer la totalité des logements accusant un retard dépassant les trois années, depuis 2006, en dépit des facilités accordées par la wilaya de Batna en matière d'assiettes de terrain acquises symboliquement. Ce projet, entre dans le cadre de la résorption du déficit en logements dans la wilaya de Batna qui recense un besoin de 25 mille demandeurs. L'actuel wali, Bouazghi Abdelkader a, à son installation en septembre 2005, opté pour la formule du logement social participatif(LSP). «Une bouée de sauvetage pour les salariés inéligibles au logement social locatif et pauvres pour l'achat clés en main chez le privé ou les EPLF». (Entreprise de promotion du logement familial) avait déclaré le chef de l'Exécutif au cours d'une conférence de presse.Dans ce contexte, la mise à disposition de terrains, relevant du domaine de l'Etat à Hamla (commune à quelques encablures de l'Hôtel de la wilaya), a permis le lancement d'un ambitieux programme dans cette formule dite LSP ou l'Etat participe pour un montant de 500 mille DA relevé dernièrement à 700 mille DA, une participation personnelle de 500 mille DA et le reste devant être financé sur prêt bancaire que contracte le demandeur qui aura déposé son dossier chez l'un des trente-deux promoteurs. L'opération chère au wali a eu un écho positif auprès des sans toits et l'offre de 7 mille logements LSP du quinquennat 2004/2009 a été renforcée par 2000 autres unités du programme des Hauts-Plateaux. Des milliers d'emplois ont été générés. Cependant, le revers de la médaille est bien illustré par les banques "qui, après de longues tergiversations, rejettent les dossiers des demandes de prêts formulées par l'emprunteur candidat au LSP" s'inquiète un jeune couple locataire d'un F3 dans la périphérie de la ville pour la bagatelle de 10.000 DA/Mois. A cette contrainte de taille s'ajoute celle de l'indisponibilité des matériaux (ciment) et celle de la main-d'œuvre (ouvriers professionnels). La spéculation sur le ciment est toujours de mise. Renseignement pris au niveau des chantiers de la nouvelle ville de Hamla, les promoteurs évaluent le taux d'avancement des travaux à 90 % et ce, en dépit des retards des banques pour débloquer les prêts à leurs clients. Les banques n'ont pas accompagné la politique du gouvernement déclaree un promoteur. Il faut noter que dans ce chaos, de grands contentieux sont attendus entre les bénéficiaires et les promoteurs qui ont, dans la plupart des cas, bâclé les travaux et exigent un complément, occultant que le grand retard accusé leur incombe. Selon les autorités wilayales, tout sera réceptionné avant la fin de l'année 2010. L'espoir est toujours permis. B. A.
Ce projet, entre dans le cadre de la résorption du déficit en logements dans la wilaya de Batna qui recense un besoin de 25 mille demandeurs. L'actuel wali, Bouazghi Abdelkader a, à son installation en septembre 2005, opté pour la formule du logement social participatif(LSP). «Une bouée de sauvetage pour les salariés inéligibles au logement social locatif et pauvres pour l'achat clés en main chez le privé ou les EPLF». (Entreprise de promotion du logement familial) avait déclaré le chef de l'Exécutif au cours d'une conférence de presse.Dans ce contexte, la mise à disposition de terrains, relevant du domaine de l'Etat à Hamla (commune à quelques encablures de l'Hôtel de la wilaya), a permis le lancement d'un ambitieux programme dans cette formule dite LSP ou l'Etat participe pour un montant de 500 mille DA relevé dernièrement à 700 mille DA, une participation personnelle de 500 mille DA et le reste devant être financé sur prêt bancaire que contracte le demandeur qui aura déposé son dossier chez l'un des trente-deux promoteurs. L'opération chère au wali a eu un écho positif auprès des sans toits et l'offre de 7 mille logements LSP du quinquennat 2004/2009 a été renforcée par 2000 autres unités du programme des Hauts-Plateaux. Des milliers d'emplois ont été générés. Cependant, le revers de la médaille est bien illustré par les banques "qui, après de longues tergiversations, rejettent les dossiers des demandes de prêts formulées par l'emprunteur candidat au LSP" s'inquiète un jeune couple locataire d'un F3 dans la périphérie de la ville pour la bagatelle de 10.000 DA/Mois. A cette contrainte de taille s'ajoute celle de l'indisponibilité des matériaux (ciment) et celle de la main-d'œuvre (ouvriers professionnels). La spéculation sur le ciment est toujours de mise. Renseignement pris au niveau des chantiers de la nouvelle ville de Hamla, les promoteurs évaluent le taux d'avancement des travaux à 90 % et ce, en dépit des retards des banques pour débloquer les prêts à leurs clients. Les banques n'ont pas accompagné la politique du gouvernement déclaree un promoteur. Il faut noter que dans ce chaos, de grands contentieux sont attendus entre les bénéficiaires et les promoteurs qui ont, dans la plupart des cas, bâclé les travaux et exigent un complément, occultant que le grand retard accusé leur incombe. Selon les autorités wilayales, tout sera réceptionné avant la fin de l'année 2010. L'espoir est toujours permis. B. A.