Celles qui se retrouvent enceintes dans les six mois après leur fausse couche ont les meilleures chances d'avoir une grossesse avec les taux les plus bas de complications selon l'étude mise en ligne vendredi par le British Medical Journal (BMJ). Celles qui se retrouvent enceintes dans les six mois après leur fausse couche ont les meilleures chances d'avoir une grossesse avec les taux les plus bas de complications selon l'étude mise en ligne vendredi par le British Medical Journal (BMJ). Les femmes qui viennent de faire une fauche couche ne devraient pas attendre trop longtemps avant d'essayer de devenir à nouveau enceintes, selon une étude conduite sur plus de 30 mille femmes, rapportée par les agences de presse. Au contraire celles qui se retrouvent enceintes dans les six mois après leur fausse couche ont les meilleures chances d'avoir une grossesse avec les taux les plus bas de complications (nouvelle fausse couche, grossesse "ectopique", c'est-à-dire en dehors de l'utérus, accouchement avant terme...), selon l'étude mise en ligne vendredi par le British Medical Journal (BMJ). 30.937 femmes d'Ecosse, enrôlées entre 1981 et 2000, ont participé à ce travail conduit par Sohinee Bhattacharya de l'université d'Aberdeen (Royaume-Uni). Le taux de naissance vivante le plus élevé a été relevé parmi celles qui ont entamé une nouvelle grossesse moins de six mois après leur première fausse couche et le plus bas parmi celles qui avaient attendu plus de deux ans. La plupart des fausses couches interviennent au cours du premier trimestre de grossesse et environ une grossesse sur cinq se termine par une fausse couche avant la 24e semaine de grossesse, relèvent les auteurs. "Notre recherche montre qu'il est inutile que les femmes retardent une nouvelle conception après une fausse couche", notent les responsables de l'étude. Il existe toutefois des motifs médicaux pour attendre, comme par exemple des signes d'infection, dont les femmes doivent être averties, indiquent-ils. La recommandation actuelle de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) aux femmes qui viennent de perdre leur fœtus d'attendre au moins six mois avant de devenir à nouveau enceinte, mériteraient peut-être d'être revue, relèvent-ils. Repousser le moment d'être à nouveau enceinte est particulièrement problématique dans les pays occidentaux où les femmes ont tendance à avoir leurs enfants de plus en plus tard, relèvent les auteurs. I. A. Les femmes qui viennent de faire une fauche couche ne devraient pas attendre trop longtemps avant d'essayer de devenir à nouveau enceintes, selon une étude conduite sur plus de 30 mille femmes, rapportée par les agences de presse. Au contraire celles qui se retrouvent enceintes dans les six mois après leur fausse couche ont les meilleures chances d'avoir une grossesse avec les taux les plus bas de complications (nouvelle fausse couche, grossesse "ectopique", c'est-à-dire en dehors de l'utérus, accouchement avant terme...), selon l'étude mise en ligne vendredi par le British Medical Journal (BMJ). 30.937 femmes d'Ecosse, enrôlées entre 1981 et 2000, ont participé à ce travail conduit par Sohinee Bhattacharya de l'université d'Aberdeen (Royaume-Uni). Le taux de naissance vivante le plus élevé a été relevé parmi celles qui ont entamé une nouvelle grossesse moins de six mois après leur première fausse couche et le plus bas parmi celles qui avaient attendu plus de deux ans. La plupart des fausses couches interviennent au cours du premier trimestre de grossesse et environ une grossesse sur cinq se termine par une fausse couche avant la 24e semaine de grossesse, relèvent les auteurs. "Notre recherche montre qu'il est inutile que les femmes retardent une nouvelle conception après une fausse couche", notent les responsables de l'étude. Il existe toutefois des motifs médicaux pour attendre, comme par exemple des signes d'infection, dont les femmes doivent être averties, indiquent-ils. La recommandation actuelle de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) aux femmes qui viennent de perdre leur fœtus d'attendre au moins six mois avant de devenir à nouveau enceinte, mériteraient peut-être d'être revue, relèvent-ils. Repousser le moment d'être à nouveau enceinte est particulièrement problématique dans les pays occidentaux où les femmes ont tendance à avoir leurs enfants de plus en plus tard, relèvent les auteurs. I. A.