Des opérateurs privés et publics, dont des sociétés étrangères, installés en Algérie se voient sommés de payer leurs redevances. Au total, ils sont 208 opérateurs à ne pas avoir souscrit à ces obligations. Des opérateurs privés et publics, dont des sociétés étrangères, installés en Algérie se voient sommés de payer leurs redevances. Au total, ils sont 208 opérateurs à ne pas avoir souscrit à ces obligations. L'Autorité de régulation de la poste et des télécommunications (ARPT) a mis en garde, dans un communiqué rendu public sur son site Internet, des opérateurs et clients n'ayant pas réglé leurs redevances pour des services Internet/fréquences, contractés à son niveau. Ainsi des opérateurs privés et publics, dont des sociétés étrangères, installés en Algérie se voient sommés de payer leurs redevances. Au total, ils sont 208 opérateurs à ne pas avoir souscrit à ces obligations. Le plus impressionnant est de se rendre compte que parmi ces clients, qu'il faudrait alors qualifier de « mauvais payeurs » ayant une autorisation d'exploitation des fréquences de transmissions radios ou de services Internet, figurent plusieurs compagnies d'aviation étrangères, qui sont loin d'avoir des soucis de porte-feuille, à savoir Turkish Airlines, Tunis Air, Saudi Arabian Airlines, Sahara Airlines, Egypt Air, la Française Air Lib et Qatar Airways. Ces dernières ont des redevances non payées dont certaines remontent à plusieurs mois. «Constatant le résultat infructueux, à l'égard de certains opérateurs de la procédure habituelle de notification de ces factures de redevance par voie de poste recommandée », écrit l'ARPT, avant d'appeler les titulaires d'autorisations figurant dans le tableau mis en ligne sur leur site, à « se rapprocher de ses services chargés de la facturation à l'effet de retirer leurs factures retournées relatives aux redevances correspondantes à leurs autorisations ». Ils sont nombreux à peu se soucier des lois algériennes, à en juger par cette longue liste diffusée par l'ARPT. Des cabinets et bureaux d'études, des sociétés de consulting, des entreprises publiques, une institution de l'Etat et la liste n'en est pas à sa fin. Tous ont un délai de 15 jours pour s'acquitter de leurs factures non réglées, a indiqué l'ARPT dans le même document. « Les titulaires visés sont invités à procéder au retrait de leurs factures au niveau du siège de l'Autorité situé au 1er rue Kaddour-Rahim Hussein-Dey Alger, dans un délai de 15 jours à compter de la date de parution du présent communiqué ». Interrogé hier à ce sujet, la compagnie Turkish Airlines Algérie, nous a indiqué « n'être nullement informé par l'ARPT de ce sujet ». « Les factures en question ne nous concernent pas du moment que rien ne nous a été transmis, cela doit concerner sans nul doute la maison mère », s'est contenté d'expliquer Mlle Hazrallah, du service commercial, jointe par téléphone. Même réponse du côté de la compagnie aérienne Qatar Airways Algeria. « Nous n'avons jamais été informé de cela », a fait savoir Amine Hamdad, responsable marketing au sein de la même compagnie. Néanmoins, après vérification, il indiquera qu' « il s'agit de facture remontant à l'année 2008 ». Et d'ajouter « la facture a été envoyée à notre ancienne adresse par voie de poste recommandée et comme nous avions changé d'adresse depuis, elle n'est donc pas arrivée à bon port ». «Nous allons nous arranger pour régler cette redevance car en effet, nous avons contracté une prestation fréquence et services Internet avec l'ARPT », a-t-il poursuivi. L'ARPT, pour sa part, a expliqué qu'il s'agit de factures non payées par ces opérateurs d'où l'avertissement de mise en garde émis par ses service. Il est nécessaire, voire indispensable de rappeler à l'ordre ces sociétés étrangères installées en Algérie, qui faut-il le signaler, semblent, non pas pour la majorité, ignorer totalement les lois en vigueur dans le pays en optant pour le « non paiement de leurs factures ». Quand bien même il est utile de souligner que l'ARPT, par le biais de ce communiqué, est du moins que l'on puisse dire «gênée», face à des clients qui n'honorent pas leurs engagements contractuels. Le non retrait de ces factures dans le délai indiqué, a précisé l'ARPT dans son document, exposera leurs titulaires aux mises en demeure réglementaires et seront passibles de sanctions conformément à ce qui est prévu par la loi. L'Autorité de régulation de la poste et des télécommunications (ARPT) a mis en garde, dans un communiqué rendu public sur son site Internet, des opérateurs et clients n'ayant pas réglé leurs redevances pour des services Internet/fréquences, contractés à son niveau. Ainsi des opérateurs privés et publics, dont des sociétés étrangères, installés en Algérie se voient sommés de payer leurs redevances. Au total, ils sont 208 opérateurs à ne pas avoir souscrit à ces obligations. Le plus impressionnant est de se rendre compte que parmi ces clients, qu'il faudrait alors qualifier de « mauvais payeurs » ayant une autorisation d'exploitation des fréquences de transmissions radios ou de services Internet, figurent plusieurs compagnies d'aviation étrangères, qui sont loin d'avoir des soucis de porte-feuille, à savoir Turkish Airlines, Tunis Air, Saudi Arabian Airlines, Sahara Airlines, Egypt Air, la Française Air Lib et Qatar Airways. Ces dernières ont des redevances non payées dont certaines remontent à plusieurs mois. «Constatant le résultat infructueux, à l'égard de certains opérateurs de la procédure habituelle de notification de ces factures de redevance par voie de poste recommandée », écrit l'ARPT, avant d'appeler les titulaires d'autorisations figurant dans le tableau mis en ligne sur leur site, à « se rapprocher de ses services chargés de la facturation à l'effet de retirer leurs factures retournées relatives aux redevances correspondantes à leurs autorisations ». Ils sont nombreux à peu se soucier des lois algériennes, à en juger par cette longue liste diffusée par l'ARPT. Des cabinets et bureaux d'études, des sociétés de consulting, des entreprises publiques, une institution de l'Etat et la liste n'en est pas à sa fin. Tous ont un délai de 15 jours pour s'acquitter de leurs factures non réglées, a indiqué l'ARPT dans le même document. « Les titulaires visés sont invités à procéder au retrait de leurs factures au niveau du siège de l'Autorité situé au 1er rue Kaddour-Rahim Hussein-Dey Alger, dans un délai de 15 jours à compter de la date de parution du présent communiqué ». Interrogé hier à ce sujet, la compagnie Turkish Airlines Algérie, nous a indiqué « n'être nullement informé par l'ARPT de ce sujet ». « Les factures en question ne nous concernent pas du moment que rien ne nous a été transmis, cela doit concerner sans nul doute la maison mère », s'est contenté d'expliquer Mlle Hazrallah, du service commercial, jointe par téléphone. Même réponse du côté de la compagnie aérienne Qatar Airways Algeria. « Nous n'avons jamais été informé de cela », a fait savoir Amine Hamdad, responsable marketing au sein de la même compagnie. Néanmoins, après vérification, il indiquera qu' « il s'agit de facture remontant à l'année 2008 ». Et d'ajouter « la facture a été envoyée à notre ancienne adresse par voie de poste recommandée et comme nous avions changé d'adresse depuis, elle n'est donc pas arrivée à bon port ». «Nous allons nous arranger pour régler cette redevance car en effet, nous avons contracté une prestation fréquence et services Internet avec l'ARPT », a-t-il poursuivi. L'ARPT, pour sa part, a expliqué qu'il s'agit de factures non payées par ces opérateurs d'où l'avertissement de mise en garde émis par ses service. Il est nécessaire, voire indispensable de rappeler à l'ordre ces sociétés étrangères installées en Algérie, qui faut-il le signaler, semblent, non pas pour la majorité, ignorer totalement les lois en vigueur dans le pays en optant pour le « non paiement de leurs factures ». Quand bien même il est utile de souligner que l'ARPT, par le biais de ce communiqué, est du moins que l'on puisse dire «gênée», face à des clients qui n'honorent pas leurs engagements contractuels. Le non retrait de ces factures dans le délai indiqué, a précisé l'ARPT dans son document, exposera leurs titulaires aux mises en demeure réglementaires et seront passibles de sanctions conformément à ce qui est prévu par la loi.