Tahar Ouettar, journaliste et romancier, a été inhumé hier, après-midi, au cimetière d'El Alia. Mais auparavant, vers 11h, sa dépouille mortelle a été exposée au Palais de la culture. Drapée de l'emblème national, la dépouille a été exposée durant une heure dans la grande salle du Palais de la culture. Tahar Ouettar, journaliste et romancier, a été inhumé hier, après-midi, au cimetière d'El Alia. Mais auparavant, vers 11h, sa dépouille mortelle a été exposée au Palais de la culture. Drapée de l'emblème national, la dépouille a été exposée durant une heure dans la grande salle du Palais de la culture. Abdelaziz Belkhadem, ministre d'Etat, représentant personnel du président de la République, Khalida Toumi, ministre de la Culture, Abdelkader Bensalah, président du Conseil de la nation, Bouabdalleh Ghlamallah, ministre des Affaires religieuses et des Wakfs, Azzedine Mihoubi, Amine Zaoui et beaucoup d'autres personnalités nationales connues dans le domaine artistique à l'image de Lamine Becheche, Dalila Halilou, comédiens et beaucoup d'autres artistes ont effectué le déplacement au Palais de la culture pour rendre un dernier hommage et accompagner la dépouille du défunt à sa dernière demeure. Dans l'oraison funèbre, il a été mis en exergue les grandes qualités humaines et morales du défunt lequel, selon l'orateur, a servi avec abnégation non seulement la culture algérienne, mais également la culture arabe et même universelle. « Tahar Ouettar n'était pas seulement un homme de Lettres, mais il a rejoint dès le début les rangs de l'Armée algérienne pour la libération du pays. Il était parmi les fondateurs de la Littérature arabe en algérie. C'était un homme infatigable, doté d'un courage et d'un héroïsme exceptionnels » a déclaré l'orateur. Et d'ajouter « le défunt a grandement contribué, après l'Indépendance, à l'émergeance de la Littérature arabe. Il était un grand animateur, une personne infatigable qui ne laissait rien au hasard. Ce symbole du courage, grâce à sa simplicité et à son statut a pu hisser très haut la Littérature algérienne ». De son côté l'écrivain Wassini Laâredj a reconnu les grandes qualités de cet homme de lettres, il dira : « Tahar Ouettar était un homme très proche de la société, il a participé à plusieurs campagnes de volontariat. Pour nous il était l'illustration vivante de ce qu'on vivait durant cette période. Il restera un grand écrivain, on peut le placer dans un cadre historique » a-t-il affirmé. « C'était un grand homme de la littérature arabe, il faut le reconnaître » souligne Azeddine Mihoubi qui reconnaît de son côté que « Tahar Ouettar a beaucoup donné à la Littérature algérienne en général et arabe en particulier ». Abdelaziz Belkhadem, ministre d'Etat, représentant personnel du président de la République, Khalida Toumi, ministre de la Culture, Abdelkader Bensalah, président du Conseil de la nation, Bouabdalleh Ghlamallah, ministre des Affaires religieuses et des Wakfs, Azzedine Mihoubi, Amine Zaoui et beaucoup d'autres personnalités nationales connues dans le domaine artistique à l'image de Lamine Becheche, Dalila Halilou, comédiens et beaucoup d'autres artistes ont effectué le déplacement au Palais de la culture pour rendre un dernier hommage et accompagner la dépouille du défunt à sa dernière demeure. Dans l'oraison funèbre, il a été mis en exergue les grandes qualités humaines et morales du défunt lequel, selon l'orateur, a servi avec abnégation non seulement la culture algérienne, mais également la culture arabe et même universelle. « Tahar Ouettar n'était pas seulement un homme de Lettres, mais il a rejoint dès le début les rangs de l'Armée algérienne pour la libération du pays. Il était parmi les fondateurs de la Littérature arabe en algérie. C'était un homme infatigable, doté d'un courage et d'un héroïsme exceptionnels » a déclaré l'orateur. Et d'ajouter « le défunt a grandement contribué, après l'Indépendance, à l'émergeance de la Littérature arabe. Il était un grand animateur, une personne infatigable qui ne laissait rien au hasard. Ce symbole du courage, grâce à sa simplicité et à son statut a pu hisser très haut la Littérature algérienne ». De son côté l'écrivain Wassini Laâredj a reconnu les grandes qualités de cet homme de lettres, il dira : « Tahar Ouettar était un homme très proche de la société, il a participé à plusieurs campagnes de volontariat. Pour nous il était l'illustration vivante de ce qu'on vivait durant cette période. Il restera un grand écrivain, on peut le placer dans un cadre historique » a-t-il affirmé. « C'était un grand homme de la littérature arabe, il faut le reconnaître » souligne Azeddine Mihoubi qui reconnaît de son côté que « Tahar Ouettar a beaucoup donné à la Littérature algérienne en général et arabe en particulier ».