Devant le manque de sérieux de la part de l'EPLF de Boumerdès, le projet de 60 logements sociaux participatifs (LSP), initié à Bougara, demeure à l'arrêt à ce jour alors que ses bénéficiaires continuent de souffrir moralement et matériellement. Tout a commencé en 2002, quant l'organisme logeur de Boumerdes proposa de réaliser des logements sous la forme LSP au prix de 120 millions de centimes l'unité F3, ce qui lui a permis de trouver facilement des acquéreurs. Les bénéficiaires, pour la plupart de simples fonctionnaires, avaient cru au miracle en déposant l'apport personnel de 30 millions de centimes en juin 2002 et en engageant toutes les procédures auprès de la CNL et des banques pour les autres apports légaux. Les travaux ont démarré en août 2003, avant de s'arrêter quatre mois plus tard.. Au terme de longues tractations avec le promoteur, le projet redémarra en 2004, mais des malfaçons constatées par le CTC ont remis en question la reprise des travaux. Le projet de Bougara, comme d'ailleurs celui de Larba (200 logements) et de Meftah (56 logements) sombra dans l'oubli et l'abandon malgré les différents rappels des bénéficiaires. Devant leur insistance, des réunions furent tenues entre les différentes parties au niveau de la wilaya de Blida où un terrain d'entente fut trouvé faisant passer le prix de cession du logement de 120 millions à 142 millions de centimes, car le promoteur arguant la hausse des prix des matériaux de construction. Faisant contre mauvaise fortune bon cœur et animés de l'espoir de voir les travaux reprendre, les acquéreurs acceptèrent cela et l'entreprise s'engagea à reprendre la réalisation aussitôt après, mais rien n'y fit, car une nouvelle fois, l'EPLF refusa le prix de cession de 142 millions pour demander 190 millions de centime le logement de type F3 et malgré cela le projet resta en l'état.Au regard de cette situation, la wilaya de Blida dont le projet est implanté sur son territoire a engagé une action en justice contre cette l'entreprise de Boumerdes qui devait aboutir à la réalisation du projet par l'OPGI de Blida. Une fois de plus, les candidats à ce programme croyaient leur peine terminée, mais ils furent surpris par le prix de cession qui a été porté cette fois à 250 millions de centimes, soit plus du double du prix initial. Ces citoyens, dont la plupart s'étaient endettés pour payer les 30 millions de l'apport initial en 2002 n'en reviennent pas de ces coups du sort qui les guettent alors qu'à chaque fois, ils croient leur problème résolu. Maintenant, ils se demandent à qui se plaindre pour recouvrer leurs droits. Devant le manque de sérieux de la part de l'EPLF de Boumerdès, le projet de 60 logements sociaux participatifs (LSP), initié à Bougara, demeure à l'arrêt à ce jour alors que ses bénéficiaires continuent de souffrir moralement et matériellement. Tout a commencé en 2002, quant l'organisme logeur de Boumerdes proposa de réaliser des logements sous la forme LSP au prix de 120 millions de centimes l'unité F3, ce qui lui a permis de trouver facilement des acquéreurs. Les bénéficiaires, pour la plupart de simples fonctionnaires, avaient cru au miracle en déposant l'apport personnel de 30 millions de centimes en juin 2002 et en engageant toutes les procédures auprès de la CNL et des banques pour les autres apports légaux. Les travaux ont démarré en août 2003, avant de s'arrêter quatre mois plus tard.. Au terme de longues tractations avec le promoteur, le projet redémarra en 2004, mais des malfaçons constatées par le CTC ont remis en question la reprise des travaux. Le projet de Bougara, comme d'ailleurs celui de Larba (200 logements) et de Meftah (56 logements) sombra dans l'oubli et l'abandon malgré les différents rappels des bénéficiaires. Devant leur insistance, des réunions furent tenues entre les différentes parties au niveau de la wilaya de Blida où un terrain d'entente fut trouvé faisant passer le prix de cession du logement de 120 millions à 142 millions de centimes, car le promoteur arguant la hausse des prix des matériaux de construction. Faisant contre mauvaise fortune bon cœur et animés de l'espoir de voir les travaux reprendre, les acquéreurs acceptèrent cela et l'entreprise s'engagea à reprendre la réalisation aussitôt après, mais rien n'y fit, car une nouvelle fois, l'EPLF refusa le prix de cession de 142 millions pour demander 190 millions de centime le logement de type F3 et malgré cela le projet resta en l'état.Au regard de cette situation, la wilaya de Blida dont le projet est implanté sur son territoire a engagé une action en justice contre cette l'entreprise de Boumerdes qui devait aboutir à la réalisation du projet par l'OPGI de Blida. Une fois de plus, les candidats à ce programme croyaient leur peine terminée, mais ils furent surpris par le prix de cession qui a été porté cette fois à 250 millions de centimes, soit plus du double du prix initial. Ces citoyens, dont la plupart s'étaient endettés pour payer les 30 millions de l'apport initial en 2002 n'en reviennent pas de ces coups du sort qui les guettent alors qu'à chaque fois, ils croient leur problème résolu. Maintenant, ils se demandent à qui se plaindre pour recouvrer leurs droits.