La ville de Béjaïa et plusieurs de ses quartiers sont envahis, chaque soir, par des milliers de moustiques. Il est devenu quasiment impossible de faire face à ces insectes, dont les piqures sont particulièrement agressives pour les personnes âgées et les bébés. En ces premiers jours de ramadhan, les cités Ihaddadene et Ighil Ouazzoug sont les plus touchées. En effet, les vides sanitaires des bâtiments pullulent de ces insectes qui se développent rapidement à cause des mares d'eaux stagnant dans les caves des immeubles. A la cité 1.000- Logements, oued Ihadadene, qui traverse la cité et qui débouche dans oued Soummam, est la principale source de la prolifération de ces moustiques. Cet oued constitue un véritable danger pour la santé des riverains. Tous les égouts et les conduites d'eaux usées provenant des quartiers de Tazeboudjt, l'université et Boukhiama se déversent dans cet oued. Les relents nauséabonds qui s'en dégagent rendent l'atmosphère irrespirable. C'est une véritable catastrophe écologiques qui se profile avec cet environnement infect dans lequel les moustiques trouvent le cadre idéal pour se développer. En effet, malgré les multiples réclamations des habitants de ces quartiers auprès des services de la commune pour procéder à des opérations de démoustication ainsi que le curage de l'ensemble des fosses et caves des immeubles, mais aucune réaction jusque là. Selon, un habitant de ces quartiers : « Le problème des moustiques existe depuis plusieurs années, surtout en été avec toute la saleté qui régne à Bejaia. De plus les vides sanitaires des immeubles ne sont jamais néttoyés et l'eau qui y stagne favorisz le développement des larves de ces moustiques qui envahissent nos maisons de jour comme de nuit. C'est vraiment insupportable ». La ville de Béjaïa et plusieurs de ses quartiers sont envahis, chaque soir, par des milliers de moustiques. Il est devenu quasiment impossible de faire face à ces insectes, dont les piqures sont particulièrement agressives pour les personnes âgées et les bébés. En ces premiers jours de ramadhan, les cités Ihaddadene et Ighil Ouazzoug sont les plus touchées. En effet, les vides sanitaires des bâtiments pullulent de ces insectes qui se développent rapidement à cause des mares d'eaux stagnant dans les caves des immeubles. A la cité 1.000- Logements, oued Ihadadene, qui traverse la cité et qui débouche dans oued Soummam, est la principale source de la prolifération de ces moustiques. Cet oued constitue un véritable danger pour la santé des riverains. Tous les égouts et les conduites d'eaux usées provenant des quartiers de Tazeboudjt, l'université et Boukhiama se déversent dans cet oued. Les relents nauséabonds qui s'en dégagent rendent l'atmosphère irrespirable. C'est une véritable catastrophe écologiques qui se profile avec cet environnement infect dans lequel les moustiques trouvent le cadre idéal pour se développer. En effet, malgré les multiples réclamations des habitants de ces quartiers auprès des services de la commune pour procéder à des opérations de démoustication ainsi que le curage de l'ensemble des fosses et caves des immeubles, mais aucune réaction jusque là. Selon, un habitant de ces quartiers : « Le problème des moustiques existe depuis plusieurs années, surtout en été avec toute la saleté qui régne à Bejaia. De plus les vides sanitaires des immeubles ne sont jamais néttoyés et l'eau qui y stagne favorisz le développement des larves de ces moustiques qui envahissent nos maisons de jour comme de nuit. C'est vraiment insupportable ».